Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Sous le discours social et politique, le cinéaste n’oublie pas de ménager quelques moments de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le réel dramatique tutoie ici l’allégorie politique et sociétale dans un geste cinématographique qui ose aussi l’envolée poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
S’il manque la sensualité qui faisait la beauté du cinéma de Cissé, ce documentaire mû par un sentiment de révolte mais toujours habité par la raison a quelque chose d’émouvant.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
O Ka, c’est cette maison de famille à Bamako qui rattache le réalisateur à ses parents, à son histoire, à ses souvenirs. Sous la menace d’une expulsion, ses quatre sœurs font de la résistance. Face à l’injustice, le vénérable cinéaste malien sort son attirail de cinéaste révolté et son lot d’afféteries à la Terrence Malick.
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur fait de l'anecdote particulière une métaphore de la situation de guerre, et un plaidoyer pour la justice.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Campion
Un sujet fort, nécessaire, traité sans misérabilisme mais sur le mode de l’évocation lyrique, dans une forme hybride assumée mais discutable.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Avec cette ode nostalgique à la grandeur passée du Mali, Souleymane Cissé imbrique l’histoire personnelle de ses quatre héroïnes, expulsées injustement, à celle de son pays.
Critikat.com
par Nicola Brarda
Qu'il s'agisse d'images de ses neveux, ou d'archives du tournage de Yeelen où son fils s'avance sur les dunes, Souleymane Cissé affirme ici le lien indissoluble entre son identité, sa mémoire et sa famille, un lien matérialisé par ce lieu de vie où les générations se succèdent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Trop de méandres et de digressions embrouillent le sujet, amenuisant l'attention nécessaire pour apprécier les réflexions et la pensée d'un auteur qu'on a connu plus limpide.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La captation en urgence rend ce film intéressant un peu erratique. On a aussi du mal à suivre Cissé quand il conclut, un peu vite, du préjudice familial à la destinée de tout un pays.
Première
par Christophe Narbonne
La narration alambiquée et la mise en scène peu inspirée rendent le projet peu engageant. Le film pointe néanmoins certaines dérives de l’administration malienne rongée par la corruption et les abus de pouvoir. En cela, O KA est salutaire mais aurait très bien pu se satisfaire d’un reportage pour Envoyé Spécial.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un projet magnifique, guidé par un besoin de vérité. Pourtant, "O KA" s'éparpille, avançant à un rythme trop indolent pour captiver autant qu'il ne le devrait.
Culturopoing.com
Sous le discours social et politique, le cinéaste n’oublie pas de ménager quelques moments de poésie.
L'Obs
Le réel dramatique tutoie ici l’allégorie politique et sociétale dans un geste cinématographique qui ose aussi l’envolée poétique.
Cahiers du Cinéma
S’il manque la sensualité qui faisait la beauté du cinéma de Cissé, ce documentaire mû par un sentiment de révolte mais toujours habité par la raison a quelque chose d’émouvant.
La Voix du Nord
O Ka, c’est cette maison de famille à Bamako qui rattache le réalisateur à ses parents, à son histoire, à ses souvenirs. Sous la menace d’une expulsion, ses quatre sœurs font de la résistance. Face à l’injustice, le vénérable cinéaste malien sort son attirail de cinéaste révolté et son lot d’afféteries à la Terrence Malick.
Le Figaro
Le réalisateur fait de l'anecdote particulière une métaphore de la situation de guerre, et un plaidoyer pour la justice.
Les Fiches du Cinéma
Un sujet fort, nécessaire, traité sans misérabilisme mais sur le mode de l’évocation lyrique, dans une forme hybride assumée mais discutable.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette ode nostalgique à la grandeur passée du Mali, Souleymane Cissé imbrique l’histoire personnelle de ses quatre héroïnes, expulsées injustement, à celle de son pays.
Critikat.com
Qu'il s'agisse d'images de ses neveux, ou d'archives du tournage de Yeelen où son fils s'avance sur les dunes, Souleymane Cissé affirme ici le lien indissoluble entre son identité, sa mémoire et sa famille, un lien matérialisé par ce lieu de vie où les générations se succèdent.
L'Express
Trop de méandres et de digressions embrouillent le sujet, amenuisant l'attention nécessaire pour apprécier les réflexions et la pensée d'un auteur qu'on a connu plus limpide.
Le Monde
La captation en urgence rend ce film intéressant un peu erratique. On a aussi du mal à suivre Cissé quand il conclut, un peu vite, du préjudice familial à la destinée de tout un pays.
Première
La narration alambiquée et la mise en scène peu inspirée rendent le projet peu engageant. Le film pointe néanmoins certaines dérives de l’administration malienne rongée par la corruption et les abus de pouvoir. En cela, O KA est salutaire mais aurait très bien pu se satisfaire d’un reportage pour Envoyé Spécial.
Studio Ciné Live
Un projet magnifique, guidé par un besoin de vérité. Pourtant, "O KA" s'éparpille, avançant à un rythme trop indolent pour captiver autant qu'il ne le devrait.