Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Thierry Chèze
Lionel Baier traite ce sujet tragique et complexe avec un mélange audacieux de comédie absurde et de spleen qu'il réussit à tenir de bout en bout. Et il confirme toute la singularité de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le film de Lionel Baier (...) est d’une poilante mélancolie. Avec trois acteurs hors pair, il impose, même sur un sujet grave, le droit de sourire dans la dignité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
En v’là une comédie comme on les aime, si prévisible soit-elle : tendre et féroce, cocasse et touchante, intelligente surtout !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un architecte à la retraite atteint d’une maladie incurable (Patrick Lapp, épatant) se rend en Suisse pour avoir recours à l’aide au suicide. Un sujet tragique, que Lionel Baier ("Les grandes ondes à l’Ouest") traite avec un mélange audacieux de comédie absurde et de spleen.
Critikat.com
par Clément Graminiès
"La Vanité" retombe presque in extremis sur ses pattes malgré un dernier plan dont le joli spleen n’a d’égal que son symbolisme appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet lourd, un film qui dédramatise la situation à la fois par le cocasse et la sensibilité.
Positif
par Eric Derobert
La quasi-unité de lieu impose un esthétique théâtrale où les acteurs sont à l'aise. Les "ouvertures" cinématographiques, notamment le flash-back, sont plus maldroites.
Première
par Isabelle Danel
Le réalisateur suisse de "Garçon stupide" et "Les Grandes Ondes (à l’Ouest)" se distingue par un ton à part dans le paysage cinématographique francophone. Mais, malgré ses louables tentatives pour traiter du droit à mourir dans la dignité, cette tragi-comédie sur les (trompeuses) apparences, engoncée dans sa forme, reste bavarde et théorique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Baie joue la carte de la théâtralité la plus factice. L'unique décor d'un motel moribond des années soixante aux néons verts et rouges respire l'artifice et le tournage en studio. La tragédie attendue bifurque joyeusement au gré de dialogues existentiels et non-sensiques.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Un peu plus de temps à l’idée, et le film aurait peut-être pu faire s’effondrer les murs, du motel et du scénario.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Lionel Baier a choisi un titre bien trop ambitieux pour ce tout petit film, pas mal joué mais anecdotique.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le cinéma de Lionel Baier s’essouffle un peu dans un huis clos rigide et parfois mièvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
A cette comédie bien plus tendre que macabre, le talentueux Lionel Baier a voulu ajouter des éléments encore plus inattendus. (...) Entre cette envie de sophistication parfois assez mystérieuse et des gags bien plus simples, le film perd finalement un peu le nord.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce huis-clos dont l'artificialité théâtrale est omniprésente fait regretter la variété et l'agitation du film précédent de Baier, "Les Grandes ondes".
L'Express
Lionel Baier traite ce sujet tragique et complexe avec un mélange audacieux de comédie absurde et de spleen qu'il réussit à tenir de bout en bout. Et il confirme toute la singularité de son cinéma.
L'Obs
Le film de Lionel Baier (...) est d’une poilante mélancolie. Avec trois acteurs hors pair, il impose, même sur un sujet grave, le droit de sourire dans la dignité.
La Voix du Nord
En v’là une comédie comme on les aime, si prévisible soit-elle : tendre et féroce, cocasse et touchante, intelligente surtout !
Studio Ciné Live
Un architecte à la retraite atteint d’une maladie incurable (Patrick Lapp, épatant) se rend en Suisse pour avoir recours à l’aide au suicide. Un sujet tragique, que Lionel Baier ("Les grandes ondes à l’Ouest") traite avec un mélange audacieux de comédie absurde et de spleen.
Critikat.com
"La Vanité" retombe presque in extremis sur ses pattes malgré un dernier plan dont le joli spleen n’a d’égal que son symbolisme appuyé.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet lourd, un film qui dédramatise la situation à la fois par le cocasse et la sensibilité.
Positif
La quasi-unité de lieu impose un esthétique théâtrale où les acteurs sont à l'aise. Les "ouvertures" cinématographiques, notamment le flash-back, sont plus maldroites.
Première
Le réalisateur suisse de "Garçon stupide" et "Les Grandes Ondes (à l’Ouest)" se distingue par un ton à part dans le paysage cinématographique francophone. Mais, malgré ses louables tentatives pour traiter du droit à mourir dans la dignité, cette tragi-comédie sur les (trompeuses) apparences, engoncée dans sa forme, reste bavarde et théorique.
Transfuge
Baie joue la carte de la théâtralité la plus factice. L'unique décor d'un motel moribond des années soixante aux néons verts et rouges respire l'artifice et le tournage en studio. La tragédie attendue bifurque joyeusement au gré de dialogues existentiels et non-sensiques.
Cahiers du Cinéma
Un peu plus de temps à l’idée, et le film aurait peut-être pu faire s’effondrer les murs, du motel et du scénario.
Les Fiches du Cinéma
Lionel Baier a choisi un titre bien trop ambitieux pour ce tout petit film, pas mal joué mais anecdotique.
Les Inrockuptibles
Le cinéma de Lionel Baier s’essouffle un peu dans un huis clos rigide et parfois mièvre.
Télérama
A cette comédie bien plus tendre que macabre, le talentueux Lionel Baier a voulu ajouter des éléments encore plus inattendus. (...) Entre cette envie de sophistication parfois assez mystérieuse et des gags bien plus simples, le film perd finalement un peu le nord.
L'Humanité
Ce huis-clos dont l'artificialité théâtrale est omniprésente fait regretter la variété et l'agitation du film précédent de Baier, "Les Grandes ondes".