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Xavier B.
12 abonnés
269 critiques
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2,5
Publiée le 13 janvier 2018
Le pensionnaire d’un orphelinat parisien est confié à la femme du garde chasse d’une luxueuse propriété en Sologne. Il découvre ce nouveau monde, s’y adpate et y trouve sa place.
Très belles images de forêt, de ‘’digne’’ chasse à cour … mais tout est propre ; le gamin part en forêt en petite veste et casquette, propre sur lui. Pas un faux pli, pas un grain de poussière. Même le braconnier, campé par François Cluzet, qui vit dans une cabane sur une barge est toujours im, peccable. A force de vouloir faire de jolies images, on perd gravement en crédibilité.
Le scénario, type joli conte de fée, sied à peine au public jeune…
une interprétation magistrale. Des paysages à couper le souffle. j aurai parfois aimé quelques surprises ou quelques rebondissements car j'ai deviné la fin 30 minutes avant la fin du film mais c'est un film génial tout de même.
J'assume totalement d'avoir besoin et d'aimer les films de ce genre, nature, belles images et bons sentiments ou tout le monde finit par s'aimer... Même si il y a controverse autour de son réalisateur, ça fait du bien de s'évader, retrouver une âme d'enfant, se chauffer le coeur et les yeux grâce à un film bucolique et gentil, le cinéma sert à ça selon moi, pas à revivre les horreurs et malheurs de la vie contées au JT !!
Ce film est un petit chef d’œuvre. On découvre des paysages magnifiques de la Sologne. l'histoire est très émouvante et les acteurs excellents. C'est sur, ici on est pas dans les robots et les cyborgs . Ni dans le sensationnel ! Mais dans l'authentique France.
un très beau film, des interprètes bien dans leur peau, des paysages magnifiques, la Sologne, les animaux, le brame .... voilà qui rappelle quelques lectures : "la grande meute" de Paul Vialar, "Raboliot" et "la dernière harde" de Maurice Genevoix, ou un film "ni vu ni connu" d'Yves Robert avec De Funès et son chien "fous le camp" si Michel Serrault était encore là, il aurait pu tenir le rôle de "totoche", mais François CLUZET s'en tire à merveille de la morale, de la beauté à voir, revoir et à consommer sans modération
Un jeune parisien orphelin est placé dans une famille vivant à la campagne. Pour ce jeune citadin se dessine un récit initiatique entre une maman adoptive attentionnée (Valérie Karsenti), un papa garde-champêtre zélé (Eric Elmosnino) du vaste domaine du comte (François Berléand) et Totoche (François Cluzet), braconnier rebelle et sans attache. À travers ces personnages peu originaux et pour certains caricaturaux, Nicolas Vanier fait vivre sa narration sur des sentiers, fussent-ils bucoliques et de la Sologne, maintes fois battus. Les événements racontés ne brillent pas non plus par leur originalité. Le mal titré L'école buissonnière navigue entre Les choristes et Vipère au poing pour finalement échouer à fournir la moindre scène originale et imprévisible. Vaste œuvre de recyclage impersonnelle, L'école buissonnière excelle dans la complaisance et le bien-pensant. Parfaitement calibré, ce nouveau long-métrage de Nicolas Vanier est frappé d’un classicisme suranné, noblesse des sentiments oblige.
Un très bon film qui nous permet de reprendre contact avec la nature, superbes images, des scènes naturelles bien filmées. Les rôles sont tenus par de de très bons acteurs que l'on a plaisir à retrouver. On se sent bien une fois le film terminé, comme ressourcé. L'histoire vaut d'être racontée et l'issue donne raison aux bons contre le bête et méchant, c'est simpliste mais on adore. Qu'est donc un bon film sinon celui qui donne du plaisir à celui qui le regarde?
Une histoire touchante, pleine de charme qui fait chaud au cœur et donne envie de le partager avec des petits enfants. Un film éducatif et riche pour une belle découverte de la nature , une belle carte postale de la Sologne.
Amoureux de la nature , vous ne serez pas déçus ! De splendides paysages naturels de Sologne ( foret , étangs, rivière ) magnifiquement filmés ..des animaux sauvages à foison ( cerfs , sangliers , renards , lapins , rouge gorges , brochets .....) subtilement observés ...La marque " Nicolas Vanier " est bien là , présente , telle que nous la connaissons , et ce , pour notre plus grand bonheur ! Rarement , dans un film ,la nature a été aussi bien mise en valeur ! Mais ce n est pas le seul atout de ce long métrage : l histoire prenante , émouvante , de ce jeune garçon sans parents.... Les acteur , tous formidables ( une mention toute spéciale au jeune Jean Scandel qui joue le role de Paul , l orphelin ....et à Valérie Karsenti ( Célestine ) parfaite ..) . Un film de fin d année, idéal pour se réunir en famille , juste avant les fetes !
Nicolas Vanier est avant tout un amoureux de la nature. Pour rendre hommage à sa Sologne natale, il a donc du trouver une petite histoire à mettre en scène dans ce décor qui lui est cher. Le scénario est malheureusement un peu plat et on devine rapidement la fin du film. Un joli petit film néanmoins, pour les amoureux de la Sologne, qui reprend des thèmes déjà abordés et à mon sens mieux exploités dans d'autres films, comme "les enfants du marais" ou "le grand chemin".
Nicolas Vanier nous offre '' L'école buissonnière '', un joli film avec une distribution de qualité (François Cluzet, Eric Elmosnino, François Berléand et Laurent Gerra sans oublier un jeune talent, Jean Scandel) et des plans magnifiques qui nous plonge en totale immersion dans la nature. C'est aussi le portrait d'une époque qui, hélas, n'existe plus. Seul défaut : l’enchevêtrement des situations qui rend parfois la compréhension de l'histoire difficile. Néanmoins, cela ne gâche pas la magie et le naturel qui émanent du film. A voir donc si cela n'est pas déjà fait.
Après "Belle et Sébastien", Nicolas Vanier signe un nouveau conte moral où la nature est un personnage à part entière. La forêt de Sologne vient remplacer les Alpes mais le cinéaste possède toujours sa capacité à exploiter les décors. Malheureusement, l’intrigue s’éparpille un peu et n’a pas d’enjeux.
Un film un peu naïf avec de très belles images en ode à la nature solognote. En sus, les acteurs dégagent une émotion certaine, avec une mention particulière pour le plus jeune d'entre eux. Dans la lignée des précédentes œuvres du réalisateur.