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    Kamikaze
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    AMCHI
    AMCHI

    5 091 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2010
    L'histoire est un peu saugrenue mais bien menée les acteurs sont convaincants notamment Michel Galabru. Le cinéma fantastique est peu présent dans le cinéma français et Kamikaze sans être un chef-d'oeuvre du genre est plus qu'honorable.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    116 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    "Kamikaze", film de politique fiction fanstatisque et thriller policier SF, français réalisé par Didier Grousset, sorti en 1986.
    Scénario de Luc Besson. Avec Michel Galabru, Richard Bohringer, Dominique Lavanant, Romane Bohringer et Etienne Chicot. Magnifique prestation de Galabru qui après de nombreux seconds rôles dans les comédies révèle ses grandes qualités d'acteurs. Un personnage haut en couleur pour lui.
    Beau duo entre Richard Bohringe et sa fille, qui a ici son véritable premier rôle au cinéma. Un scénario inventif, une enquête au plus haut niveau, une musique très marquée années 80 d'Eric Serra,
    Un très bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juin 2012
    Un bon petit film des années 80 comme je les aimais .
    Galabru est ignoble, misogyne...un rôle parfait qui le change de ce qui a fait autrefois .
    A voir et a revoir .
    Ghighi19
    Ghighi19

    53 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Un grand plaisir de spectateur ! . Le film a été réedité en dvd et je conseille à tous les curieux de pouvoir le regarder et le découvrir . Produit par Luc Besson qui à l'époque faisait la pluie et le beau au cinéma c'est un "petit" film qui comme ça parait étrange et il l'est mais c'est justement pour nous surprendre . Par son histoire nous sommes d'accords incroyable mais aussi par Michel Galabru qui tient là un de ses meilleurs rôle dramatique . Il est intense ! Richard Borhinger lui aussi tient le haut de l'affiche de ce thriller réussit à la française . A redécouvrir si vous êtes passé à côté à l'époque de sa sortie en salle et comme c'est pas le genre de film qui ressort en salle ou même jamais rediffusé à la tv vous savez ce qu'il vous reste à faire !
    Teresa L.
    Teresa L.

    14 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2014
    Tout est du Besson dans ce film, du scénario aux cadrages en passant par l'inévitable ziquette d'Eric Serra. Héros misanthrope perdu dans un monde ingrat, le personnage joué par Galabru fait montre de peu de sentiments humains, même sa famille n'importe pas pour lui. La seule chose dérangeante dans ce film est l'apparition de Romne Bohriger en fille... de son père. La scène où elle entre dans l'appartement de ce dernier la ramène au rang de poulette à séduire. Du reste elle joue horriblement mal. Pour le reste, le film est méconnu, il ne passe jamais à la télé (j'ai une idée sur la raison de cette éviction). Pour ceux qui doutaient encore de l'immensité du talent de Galabru, il faut voir ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2007
    Injustement bafoué à sa sortie, Kamikaze est un film certes tiré par les cheveux mais emmené par un Galabru qui sait se rendre tantôt émouvant, tantôt crapuleux ; bref un rôle qu'il n'a pas eu souvent l'occasion de jouer.
    Plastiquement, c'est superbement filmé (un peu à la manière de Subway) mais Didier Grousset a participé à la réalisation de ce-dernier, ce qui explique forcément cela.

    Quand on rajoute à ça un B.O. géniale (comme d'habitude) d'Eric Serra, non franchement, on ne peut-être qu'enchanté à la vision de ce film.
    illuminati
    illuminati

    14 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2007
    Certe la réalisation n'est pas au top, le scénario pêche un peu par moment et les dialogues aurraient pu être un poil mieux, mais ça tien malgré tout très bien la route, l'idée est excellente et Gallabru joue à merveille... un film trés originale à voir absolument.
    Benoit Schmidt
    Benoit Schmidt

    23 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2007
    Le film a beaucoup vieilli mais il reste prenant aux tripes.
    Si seulement une telle invention pouvait exister !!! je regarderai la star ac' tous les vendredis soir !!!!
    Mention spéciale à Michel Galabru... A quand une edition DVD ??
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 474 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2021
    Galabru est un scientifique fou licencié au début du film alors qu'il perfectionnait sur le temps de sa société son engin pour enlever les bouchons des bouteilles. Maintenant coincé à la maison au chômage avec sa jeune nièce et son mari il devient fou et commence à utiliser sa technologie de science-fiction pour assassiner des présentateurs de télévision en les frappant à leur bureau dans le studio avec un faisceau secret à travers son téléviseur. Les effets spéciaux sont mineurs mais bien faits et l'histoire de la folie est travaillée au mieux en développant à la fois son potentiel comique et sérieux. Galabru est vraiment formidable et d'une désinvolture rafraîchissante car il se fiche que le public le déteste dans un rôle que l'on aurait pu attendre d'une grande star comme Michel Serrault...
    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    11 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un film produit par Luc Besson , !!!! et un scénario Luc Besson et bien il nous crée sur papier un super film . Un Michel Galabru magistrale dans " le juge et l assassin et l été meurtrier " ici ont peut mettre ce rôle dans ces 3 plus grands rôles . un rôle de tueur fou sur la TV
    Bohringer excellent aussi avec la petite Romane :)
    ce scénario est très très agréable à suivre , ou la folie peut mener tuer des personnes à travers son écran
    Une superbe musique de E Serra , Besson aurais pu réalise
    thierry1384
    thierry1384

    8 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2008
    Un film de taré pour des tarés je suis un taré..Galabru en méchant ça vaut le coup.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 016 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Assistant réalisateur pour Luc Besson et Claude Lelouch, Didier Grousset se décide en 1986 à voler de ses propres ailes pour ce qui sera une très courte carrière (deux films) qui se prolongera à la télévision. Son premier essai constitue un véritable OVNI qui promettait beaucoup sur la capacité de Didier Grousset à imprimer un style qui lui est propre. Aidé par Luc Besson qui produit le film et le seconde au scénario, il embarque le spectateur dans un enquête pour le moins abracadabrante quant à son postulat de départ mais parfaitement cohérente une fois celui-ci accepté. Albert (Michel Galabru), un chercheur approchant de la retraite doit subir un licenciement mené à la hache. Retranché chez sa nièce, il tente de ronger son frein devant son poste de télévision qui ne le quitte plus. Mais le caractère lénifiant du discours des speakerines et des présentateurs de journaux lui saute à la figure comme une tartufferie organisée par la société pour masquer la dureté des rapports humains qu’elle impose à tous les acteurs du système capitaliste qu’elle promeut. Albert met au point un système lui permettant de tuer à partir de son propre écran de télévision, celles et ceux qui parlant en direct ne lui reviennent pas. Inutile de décrire la panique des politiques devant ses crimes se produisant devant la France entière et qui ne trouvent aucune explication rationnelle. Le commissaire Pascot (Richard Bohringer) est chargé de cette enquête à haut risque. Le point de départ complétement surréaliste du film parfaitement exprimé par la musique d’Eric Serra, n’empêche absolument pas de suivre avec intérêt le déroulement d’une enquête pimentée par divers rebondissements bienvenus (l’intervention du collège de chercheurs dirigé par Etienne Chicot) et par l’affrontement qui oppose à distance Michel Galabru et Richard Bohringer, tous les deux excellents et fort bien secondés par Dominique Lavanant parfaite en secrétaire d’Etat aux ordres d’un Jean-Paul Muel, ministre de l’intérieur à l’autorité surjouée qui trouve quelques prolongements concrets 25 ans plus tard. Derrière sa facture iconoclaste principalement exprimée par un Michel Galabru qui avec Claude Piéplu, Michel Serrault et Jean Poiret était le plus bel acteur nonsensique de l’époque, le film délivre un message sans équivoque sur la dureté d’un système qui secoué par un mouvement brownien générant de plus en plus de laissés pour compte, tente de cacher ses errements en manipulant les masses par médias interposés. Comme « Que les gros salaires lèvent le doigt » (Denys Granier-Deferre en 1982) , « Réveillon chez Bob » (Denys Granier-Deferre en 1984), « Je hais les acteurs » (Gérard Krawczyk en 1986) et quelques autres « Kamikaze » de Didier Grousset fait partie des pépites méconnues d’un cinéma français qui doucement commençait à entrer dans un conformisme qui désormais ne veut plus trop que les sentiers du convenable soient franchis
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    110 abonnés 2 331 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    Pour Michel Galabru qui est simplement énorme dans ce film vieillot, la musique de RXRA est affreuse.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    57 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2019
    On est d'accord. Ce petit film abracadabrantesque, improbable et bancale, n'est pas d'une grande réussite. Néanmoins, une sacré curiosité de genre, qui nous offre quelques petits moments bien jouissif, dans le morose PAF des années 80, relativement monolithique. Et en comparaison, pour vous séduire, Kamikaze ne manque finalement pas d'atout. Pour peu, bien sur, que vous soyez attiré ou nostalgique, d'une certaine esthétique de cette décennie lointaine.

    Les quelques savoureuses pointures, recyclé du casting de Subway ou d'ailleurs. La chouette direction artistique de l’ensemble. La mise en scène très généreuse et joliment éclairé. Tout cela vous montre franchement, où est passé le budget, de cette série B à la française. Mais pour vous charmer, il y a aussi la musique typique, du jeune Eric Serra des productions Besson. Ainsi que son caméo rigolo sur un balcon, en traditionnel t-shirt sans manche, avec sa basse Steinberger. Le ton modérément non politiquement correct, et vaguement anar' sur les bords. La présence attendrissante, d'une adorable et toute jeune Romane Bohringer, qui s'en sort plutôt pas mal.
    La géniale prestation en roue libre de son père, égal à lui-même, qui nous sort le grand jeu, du gentil papa et détective stoïque, éclairé et désabusé, pour sauver du naufrage cette histoire navrante, qui n'a ni queue ni tête. Une prestation a mettre directement en parallèle, avec celle d'un Galabru inédit et hypnotisant, incroyablement forcé et décalé, lui aussi un peu perdu en roue libre, et qui cabotine exagérément à tâtons. Un parallèle narratif totalement intentionnel, sur lequel s'articule l’ensemble du récit. Une opposition comparative entre deux personnages, sensé être les deux faces d'une même pièce démonstrative. Subissant tous deux, d'injustes affronts similaires, dans un cadre social professionnel et privé semblable. Mais l'un craque sous la pression de l'absurde et de l'injustice. Tandis que l'autre non. Là où le policier reste humain, en se reposant sur l'amour de sa fille, le scientifique fou, lui, tue l'image de la sienne, en assassinant froidement sa nièce par alliance. Un Galabru habité par l'étrange et l'ignoble, hors de toute proportion logique. Une inoubliable partition haute en couleur, d'un anti héros sympathique qui a mal tourné, et sombre dans la folie, face à l'ingratitude d'un système sociétal brutal et inhumain. Un maniaque psychotique et charismatique, misanthrope fou génial, touché par un complexe de supériorité à moitié justifié, et méchant comme une Tatie Danielle sous crack.
    La superbe esthétique du "cinéma du look ", caractéristique aux années 80, d'un certain genre de nouveau cinéma français. Et cette délirante, mais si charmante histoire scientifico-fantasmagorico-politico-sociale, qui n'a pourtant aucun sens ni crédibilité. Et qui collecte joyeusement sans complexe, une panoplie de poncif et de cliché désuet. Mais sous une forme tellement coloré et pop. Le tout, dans un désordre certain. Mais une réjouissante coolitude d'antan.

    Bref, un nanard, certes. Mais d'abord, un petit nanard. Et ensuite, loin de toute fadeur consensuelle, un joli nanard qui n'hésite pas à tacher un peu la moquette. Gentiment déjanté et sociopathe. Et très souvent fascinant. Un film contenant malgré tout, de la fraicheur et de bonne idées. Mais malheureusement mal employé. De délicieux dialogues kitch "d'autrefois", qui ne sonnent pas toujours justes, et sont souvent joué par de farfelue second rôles un peu amateurs. Mais surtout, de bien belles images, des cadrages au cordeau, et des mouvements de caméra léché, qui tape dans l’œil presque à chaque fois. Même s'il faut bien admettre, qu'à défaut d'être vraiment signifiante, la mise en scène de l'ensemble, est plutôt belle pour être belle. Et finalement, ce n'est déjà pas si mal. Surtout pour une production d'un tout jeune Luc Besson, qui n'avait que deux long métrages à son actif... Et par dessus tout, réalisé par un gars qui, de nos jours, gagne sa croute derrière les caméras de Plus Belle La Vie... Et je terminerais, par une citation entendu sur France Inter, à propos de Anna, le(peut-être tout)dernier film de Luc Besson : " C'est nul. Mais on s'amuse bien ".
    pierrre s.
    pierrre s.

    359 abonnés 3 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2024
    Un film à l'histoire improbable mais qui se regarde avec plaisir et une certaine nostalgie notamment grâce à son casting.
    Les meilleurs films de tous les temps
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