Avis sur Holding The Man

J'ai trouvé ce film par hasard sur Netflix ... juste après avoir regarder un film, c'était en suggestion. Je regarde la bande annonce et me dit, pourquoi pas ?

Je m'y lance, on se retrouve en Italie, sans trop comprendre ce qu'il se passe, et nous voila reparti dans les années 70, en compagnie de deux adolescents.
Etre gay à l'époque, c'est compliqué, qui plus ait en pleine découverte du sida et ses ravages.

Je n'irais pas plus loin dans ma critique, mais prévoyez la bouteille d'eau pour vous hydrater, et les mouchoirs pour ne pas tremper le canapé.

Une histoire fascinante, pleine d'amour, de joie, d'humour, mais aussi de drame.
J'ai rarement vu un film avec autant d'intensité, et c'est bien dommage qu'il ne soit que très peu connu par le public français.

Un véritable chef d'oeuvre. On ne peut regarder ce film sans verser les larmes. Un véritable monument d'émotion, de sensibilité mais aussi de rire, de joie... Le deux acteurs principaux sont extraordinaires pour leurs interprétations. Dommage en effet que ce film soit si peu connu, car il devrait pour peut être faire voir d'un autre regard ce qu'à été le combat des gays et du sida dans les années 70... A voir absolument et un grand merci à Netflix pour m'avoir fait découvrir ce magnifique film, un hymne à l'amour.

Une romance gay au long cours qui tourne peu à peu au mélodrame une fois que le SIDA entre dans le récit. On reste étrangement en dehors de l’histoire, peut-être parce qu’elle laisse un sérieux goût de déjà-vu ou parce que les deux comédiens manquent cruellement de charisme (et de crédibilité quand ils jouent les ados!). Ça reste un joli film, mais trop lisse et peu convaincant.

Avant d'être un film, Holding the man était un livre éponyme écrit par Tim pour John. Il fut publié 34 jours avant la mort de ce premier. Même si les émotions d'un livre sont difficiles à retranscrire, je dois dire que le message est passé : spoiler: comme quoi il s'en voulait d'avoir transmis le SIDA à son conjoint et de l'avoir amener à la mort
. Mais dans le fond, lors des quarante premières minutes, je n'ai pas été transcendé par la réalisation, ni touché par ce couple car il me paraissait improbable. Je commençais à m'ennuyer et je me suis posé la question de savoir si j'allais continuer ou pas. Puis, arrive le moment fatidique où les parents des deux jeunes gens sont au courant de leur relation, ceci constitue le vrai démarrage d'Holding the man. Le reste sera beaucoup plus fluide. Il faut persévéré pour un résultat correct voir bon. Dommage que le sujet ait déjà été traité mainte et mainte fois. Pas indispensable.

Une histoire d'amour tragique entre deux hommes depuis l'adolescence en Australie. Sur fond d'homophobie et de sida, un mélodrame tiré d'une histoire vraie, dure et déchirante. Pas gai.

Trouvé par hasard sur Netflix, ce film est une belle histoire sur l'homosexualité et le sida.
Véritable fléau, le film fait état sans concession ni filtre de la maladie et du lourd combat des 2 hommes.

une belle histoire d'amour qui se déroule sur près de 15 ans dont les années sida sont évoquées de manière frontale, rendant ce drame très réaliste. même s'il est d'une grande justesse qu'il bénéficie d'une réalisation maîtrisée et d'une puissante prestation de R. Corr, le film aurait gagné a être plus condensé.

Une histoire d’amour absolu ou presque, qui rappelle que nous n’avons qu’une vie et qu’une mort, ce deuil abyssal de nous-même, inexprimable.

Histoire tirée d'un livre ; bien montée, temoinage de quelques époques ; touchant, dur; et quelle belle histoire d'amour !

Une histoire tirée d'un livre et d'une histoire vécue... Beau film autour de l'arrivée du Sida dans les années 70/80... Cette histoire concerne 2 jeunes étudiants américains qui se rencontrent, s'aiment, s'entraident jusqu'à ce que la mort les sépare en pleine fleur de l'âge... Les acteurs jouent juste et on ne reste pas de marbre face au scénario mélo dramatique à souhait...

Pas mal mais tellement loin de l'émotion que nous porte le livre. J'en avais été tellement touché ! Pas du tout pareil avec le film...

C'est quand même assez fou que Call Me By Your Name soit encore et toujours l'un des films phares de l'homosexualité. Déjà parce qu'il est simplement mauvais et qu'il ne raconte rien. Mais quand des films comme Holding The Man existent, c'est d'autant plus surprenant. Evidemment, rien d'extraordinaire mais c'est un film maîtrisé de bout en bout qui raconte une histoire cohérente, belle et aidée par un bon casting et une bonne réalisation. Très appréciable donc de se plonger dans cette histoire difficile mais qui a été vécue par de nombreux gays au début des années 90.
Le casting est très bon, que ce soit le jeune couple ou les parents et la réalisation rythmée rajoute elle aussi un petit plus au film.

Alors , je suis dur mais je pense que ce film aurait dû montrer autre chose que les années SiDA . Oui , il existe toujours mais maintenant on a la COVID 19 !... Et ainsi de suite ... Une belle histoire d'amour gâchée par le Sida , c'est pathétique cette lente agonie de la mort et de plus ça aurait pu être tellement d'autres maladies horribles et pas forcément que sexuel !... Il faut bien mourrir un jour , ça je je sais , comme tout le monde qui vient au monde et qui devient un vieillard ... C'est comme ça !

Magnifique film ! Une histoire passionnante, tendre, des acteurs vraiment convaincants dans leurs rôles et décriante de vérité sur la vision de l’homosexualité dans les années 70-90. Je n’ai rien a redire sauf de le voir absolument !

Quelle déception ! Je n'ai pas réussi à y croire bien qu'il s'agisse d'une histoire vraie. Du coup je n'ai pas été touché. Cela est peut-être dû au fait qu'en début de film les 2 comédiens sont censés avoir 17 ans alors que dans la vraie vie ils en ont 30 !! Et dans le film ils ont exactement la même tête à 17 ans qu'à 34. Et c'est pas deux perruques ridicules qui vont faire illusion, on n'est pas dupes. Un casting les représentant post-ado et un autre casting les représentant adultes auraient certainement été plus crédibles. Ensuite, j'ai été très surpris de spoiler: la facilité avec laquelle les camarades de classe et la direction de l'école acceptent sans ciller l'homosexualité des 2 protagonistes
. Il ne faudrait quand même pas oublier que l'homosexualité n'a été dépénalisée en Australie qu'en 1990, certes ils se sont rattrapés depuis mais l'action se déroule en 1976..! L'homosexualité était très mal accepté, en témoignent les meurtres homophobes qui ont eu lieu dans les années 80 à Sydney. Et enfin, on a du mal à croire à la légèreté avec laquelle le héros fait le test du HIV spoiler: (alors qu'il a baisé à droite à gauche et au milieu)
. Je peux vous dire qu'à l'époque tu te faisais dessus en attendant le résultat : être positif signifiait que tu étais condamné. Tout cela m'a gâché le plaisir, je pense qu'il vaut mieux lire le livre que de regarder ce film.