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    Paris pieds nus
    Note moyenne
    3,1
    21 titres de presse
    • 20 Minutes
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Libération
    • VSD
    • aVoir-aLire.com
    • Bande à part
    • Critikat.com
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • La Septième Obsession
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Studio Ciné Live
    • Télérama
    • L'Obs
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Mais comment font Dominique Abel et Fiona Gordon pour parvenir à garder intacte leur humour poétique et léger tout en réinventant leur cinéma ? Dans "Paris pieds nus", comédie tendre, le duo arpente la capitale, elle en Canadienne perdue à la recherche de sa tante égarée, lui en SDF paumé tombant sous le charme dégingandé de la douce étrangère.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Le Figaro

    par Marie-Sarah Bouleau

    Le duo de réalisateurs et acteurs répand son humour délirant à travers la capitale.

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    Un peu déconcertante pour le profane, cette fable regorge de gags savoureux. Difficile de ne pas éprouver de la sympathie pour la douce folie de ces clowns.  Conviant Emmanuelle Riva et Pierre Richard, ils signent un film aussi tendre que créatif qui se déguste comme une madeleine de Proust.

    Libération

    par Marcos Uzal

    (...) il est indéniable que le cinéma d’Abel et Gordon possède au moins une qualité primordiale. Parce qu’ils sont des burlesques, ils se concentrent constamment sur l’essentiel : la conscience du cadre, le rythme de chaque plan, les postures des corps. Et il est de plus en plus rare de voir des films qui tentent d’avoir au moins une idée par plan.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    VSD

    par bernard achour

    Du burlesque poétique façon Tati revisité.

    aVoir-aLire.com

    par Frédéric Mignard

    Le retour inattendu du duo irrésistible de L’iceberg et La Fée dans un Paris décalé, magnifié par le génie burlesque des cousins de Jacques Tati.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Bande à part

    par Olivier Bombarda

    Concentrés sur leurs rôles, les réalisateurs-acteurs déclinent une palette de maladresses avec la conviction inébranlable que la gaucherie, la balourdise, la gaffe est le symptôme premier de l'être humain.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Critikat.com

    par Gabrielle Adjerad

    Malgré l’hommage esthétique réussi aux grandes œuvres du muet et un éloge charmant des pouvoirs du corps comique, le film ne parvient pas tout à fait à donner au burlesque toute sa force politique.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Film contorsionniste, au propre et au figuré, cette nouvelle collaboration Gordon et Abel est bien dans la continuité créatrice de leurs pairs, Jacques Tati et Pierre Etaix.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    C’est toujours infiniment poétique et gentiment brinquebalant, avec une foule de gags superbes et gracieux. Le ton amusé, mais au fond grave, oscille entre Tati et Kaurismäki. Mais le film s’avère moins sobre et plus évident qu’à l’habitude à cause d’une utilisation souvent trop touristique du décor de Paris.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    Une gourmandise où s’harmonisent subtilement le léger et le grave, le doux et l’acidulé.

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    On les sent bien influencés par Aki Kaurismäki, même s’il leur manque ce je-ne-sais-quoi d’extrême précision dans le cadre et dans la mise en scène qui est patent chez le Finlandais génial.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Ouest France

    par La Rédaction

    Toujours aussi burlesque et déjanté.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Quand le film semble manquer d'équilibre, quand les situations et les péripéties se répètent en mieux, c'est pour mieux retomber sur ses pieds (nus) et nous faire fondre le coeur et l'urne funéraire bio-dégradable.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Studio Ciné Live

    par Laurent Dijan

    Sans tenir sur la longueur, cette fable fourmille d'idées. Elle célèbre la liberté avec grâce, clamant son attachement pour les marginaux de tous poils.

    Télérama

    par Jérémie Couston

    Au terme d'un festival de gags burlesques dans un crématorium, sur une péniche-restaurant et sur la tour Eiffel, le clochard céleste et la touriste déboussolée finiront-ils par s'aimer ? Un indice : "Les Lumières de la ville", de Chaplin, semble le modèle inavoué du duo belgo-canadien depuis ses débuts...

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Une forme de narcissisme de la laideur devenu leur marque de fabrique renforce une impression de complaisance assez embarrassante.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    Qui a vu "L’Iceberg", "Rumba" et "La Fée" connaît la poésie « mélancomique » de ces artistes farfelus qui vénèrent Chaplin, Keaton, Tati et Langdon, ainsi qu’en témoigne la séquence de la Tour Eiffel. On s’irritera peut-être ici des gags autosatisfaits de sieur Abel et de l’absence manifeste d’un metteur en scène digne de ce nom.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    L’univers cocasse et original d’un duo qui cultive avec bonheur le saugrenu, le nonsens, le mime, l’errance, le désordre et la liberté, avec les bonheurs du moment que cela suscite et les inévitables scories qui vont avec.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Les gags un peu appuyés, la langueur du rythme s’accommodent bien de ce parfum de vacances, un peu comme si l’on assistait à un spectacle monté par des amis pour des amis. Il manque à l’univers d’Abel et Gordon l’un des ingrédients essentiels des maîtres comiques du cinéma muet : la cruauté.

    Les Fiches du Cinéma

    par Paul Fabreuil

    Abel et Gordon sont de nouveau au meilleur quand ils s’abandonnent frénétiquement au burlesque, mais à la peine quand ils s’évertuent à raconter une histoire, ce qui contrarie le rythme des gags.

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