Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Jean A. Gili
Remarquablement photographié par Maurizio Calvesi dans des couleurs brutales et interprété par des acteurs expérimentés (...), "Mauvaise Graine" fait partie de ces films qui laissent une trace profonde dans la mémoire de ceux qui les voient.
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
(Les personnages de Claudio Caligari) ont quelque chose de passionnant dans ce qu'ils incarnent de cette société banlieusarde romaine (...).
L'Obs
par Jérôme Garcin
A la fois néoréaliste et hallucinatoire, désespéré et drôle, nerveux et trop long, ce "Requiem for a Dream" italien et fauché est scénarisé à l’arrache et filmé à la va-vite, avec deux comédiens exceptionnels (Luca Marinelli, vu dans "la Grande Bellezza", et Alessandro Borghi, dans "Suburra").
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Noémie Luciani
A voir.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Caligari manifeste de bout en bout une profonde tendresse pour ses personnages. Ses deux acteurs, Alessandro Borghi et surtout Luca Marinelli, sont remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La rédaction
Réfutant toute forme de glamour, sans basculer pour autant dans le sordide, le cinéaste ne magnifie en rien la chronique mafieuse, évoquant juste les figures qui la composent comme une bande de paumés antipathiques confrontés à l'irrévocabilité d'un passé coupable.
Bande à part
par Jo Fishley
Inspiré par Vittorio de Seta, autre cinéaste des marges, Claudio Caligari filme ces inséparables qui s’abîment avec une formidable énergie vitale, portée par les vibrants Luca Marinelli et Alessandro Borghi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Benoît Smith
"Mauvaise graine" ne tranche pas entre Cesare et Vittorio, et guère plus vivement entre le bien et le mal, l’ordre et le désordre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Ça démarre sur les chapeaux de roues, ça freine un peu dans la deuxième partie, mais le film mérite quand même le détour.
Première
par Eric Vernay
Le film tient la route un moment, porté par l’énergie de son solide duo d’acteurs aux regards hallucinés. La mécanique du récit se grippe hélas ensuite, engluée dans une série de poncifs lourds de pathos sur l’inévitable descente aux enfers des junkies (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
(…) une oeuvre aux allures de tableau social empreint d’une noirceur édulcorée par une pincée d’humour. À défaut de marquer durablement les esprits, l’ultime livraison de Claudio Caligari demeure plutôt enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une vision sombre et passablement désespérée, qui tire un peu trop sur les ficelles de la misère sociale et morale d’une génération perdue.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Tourné avec les meilleures intentions du monde, ce film assez scolaire finit vite par ressembler à la pub d'une campagne "Dites non à la drogue".
Télérama
par Pierre-Julien Marest
C'est la lente chute de cette tête brûlée sans envergure, antihéros sans éclat, qu'on suit avec un mol intérêt qu'hélas rien ne rehausse : ni la peinture, assez inconsistante, d'une banlieue italienne, ni les seconds rôles, tous plus ou moins anodins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Remarquablement photographié par Maurizio Calvesi dans des couleurs brutales et interprété par des acteurs expérimentés (...), "Mauvaise Graine" fait partie de ces films qui laissent une trace profonde dans la mémoire de ceux qui les voient.
Charlie Hebdo
(Les personnages de Claudio Caligari) ont quelque chose de passionnant dans ce qu'ils incarnent de cette société banlieusarde romaine (...).
L'Obs
A la fois néoréaliste et hallucinatoire, désespéré et drôle, nerveux et trop long, ce "Requiem for a Dream" italien et fauché est scénarisé à l’arrache et filmé à la va-vite, avec deux comédiens exceptionnels (Luca Marinelli, vu dans "la Grande Bellezza", et Alessandro Borghi, dans "Suburra").
Le Monde
A voir.
Les Inrockuptibles
Caligari manifeste de bout en bout une profonde tendresse pour ses personnages. Ses deux acteurs, Alessandro Borghi et surtout Luca Marinelli, sont remarquables.
Libération
Réfutant toute forme de glamour, sans basculer pour autant dans le sordide, le cinéaste ne magnifie en rien la chronique mafieuse, évoquant juste les figures qui la composent comme une bande de paumés antipathiques confrontés à l'irrévocabilité d'un passé coupable.
Bande à part
Inspiré par Vittorio de Seta, autre cinéaste des marges, Claudio Caligari filme ces inséparables qui s’abîment avec une formidable énergie vitale, portée par les vibrants Luca Marinelli et Alessandro Borghi.
Critikat.com
"Mauvaise graine" ne tranche pas entre Cesare et Vittorio, et guère plus vivement entre le bien et le mal, l’ordre et le désordre.
L'Express
Ça démarre sur les chapeaux de roues, ça freine un peu dans la deuxième partie, mais le film mérite quand même le détour.
Première
Le film tient la route un moment, porté par l’énergie de son solide duo d’acteurs aux regards hallucinés. La mécanique du récit se grippe hélas ensuite, engluée dans une série de poncifs lourds de pathos sur l’inévitable descente aux enfers des junkies (...).
aVoir-aLire.com
(…) une oeuvre aux allures de tableau social empreint d’une noirceur édulcorée par une pincée d’humour. À défaut de marquer durablement les esprits, l’ultime livraison de Claudio Caligari demeure plutôt enthousiasmante.
Le Dauphiné Libéré
Une vision sombre et passablement désespérée, qui tire un peu trop sur les ficelles de la misère sociale et morale d’une génération perdue.
Studio Ciné Live
Tourné avec les meilleures intentions du monde, ce film assez scolaire finit vite par ressembler à la pub d'une campagne "Dites non à la drogue".
Télérama
C'est la lente chute de cette tête brûlée sans envergure, antihéros sans éclat, qu'on suit avec un mol intérêt qu'hélas rien ne rehausse : ni la peinture, assez inconsistante, d'une banlieue italienne, ni les seconds rôles, tous plus ou moins anodins.