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14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Peu de dialogues, encore moins de rebondissements... mais une actrice, Erica Rivas, dont le talent et la grâce explosent.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le troisième long métrage très réussi du cinéaste argentin fait battre le coeur d'une femme dans le Buenos Aires des années 1960.
L'Obs
par Jérôme Garcin
C'est un sujet qui appelle d'ordinaire le lyrisme et le manichéisme, mais que le cinéaste argentin Ariel Rotter ("Solo por hoy", 2001) traite avec une délicatesse de harpiste. Jusqu'à la séance finale de photo de famille, qui résume magistralement ce film où le passé demande seulement un peu de patience à l'avenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
(Un) récit retenu et cruel (...).
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Servi par une superbe image en noir et blanc, ce drame romantique est un très beau film, délicat et intense, aux allures de classique de la littérature.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une étude en noir et blanc subtile, intemporelle et profonde sur le poids du conformisme.
Transfuge
par Sidy Sakho
"Un homme charmant" rappelle que sur le grand écran, les émotions et les sensations, les élans du coeur et de l'esprit ne s'incarnent pas seulement dans les visages et les corps des acteurs. Mais aussi dans ces quatre lignes qui enserrent l'image. Le cinéma ou la géométrie des sentiments.
Télérama
par Pierre Murat
Ariel Rotter filme en noir et blanc cette Argentine des années 1960 que l'épure de sa mise en scène rend intemporelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
Un peu trop sage dans ses partis-pris mais respectable et intègre dans sa démarche, "Un homme charmant" laisse une impression générale d’un film en demi-teinte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Mais le vrai sujet d’"Un homme charmant" est un beau portrait de femme, portée par le jeu subtil d’Erica Rivas. Malgré la torpeur, les scènes tournées avec les deux fillettes se révèlent d’une émouvante tendresse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
S’attardant sur les visages de ses personnages pour mieux sonder leurs âmes, le réalisateur signe un film à la mise en scène aboutie. Nimbé de mélancolie, il est porté par des images superbes et l’interprétation tout en finesse d’Erica Rivas.
Positif
par Éric Derobert
"Un homme charmant" ne joue pas la carte du mélodrame. Mais il joue quand même la carte du destin comme un film à l'ancienne, du type faut-il pleurer, faut-il en rire, qui prend ses marques en noir et blanc.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Trop de rétention produit un inévitable effet de froideur ; laquelle froideur pourrait devenir incandescente, comme chez Bresson, si elle atteignait à une forme de transcendance. Ce n’est pas le cas ici, où l’on n’est guère transporté.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le beau noir et blanc ne comble pas, hélas, un scénario trop plat.
Franceinfo Culture
Peu de dialogues, encore moins de rebondissements... mais une actrice, Erica Rivas, dont le talent et la grâce explosent.
L'Humanité
Le troisième long métrage très réussi du cinéaste argentin fait battre le coeur d'une femme dans le Buenos Aires des années 1960.
L'Obs
C'est un sujet qui appelle d'ordinaire le lyrisme et le manichéisme, mais que le cinéaste argentin Ariel Rotter ("Solo por hoy", 2001) traite avec une délicatesse de harpiste. Jusqu'à la séance finale de photo de famille, qui résume magistralement ce film où le passé demande seulement un peu de patience à l'avenir.
Le Monde
(Un) récit retenu et cruel (...).
Le Parisien
Servi par une superbe image en noir et blanc, ce drame romantique est un très beau film, délicat et intense, aux allures de classique de la littérature.
Les Fiches du Cinéma
Une étude en noir et blanc subtile, intemporelle et profonde sur le poids du conformisme.
Transfuge
"Un homme charmant" rappelle que sur le grand écran, les émotions et les sensations, les élans du coeur et de l'esprit ne s'incarnent pas seulement dans les visages et les corps des acteurs. Mais aussi dans ces quatre lignes qui enserrent l'image. Le cinéma ou la géométrie des sentiments.
Télérama
Ariel Rotter filme en noir et blanc cette Argentine des années 1960 que l'épure de sa mise en scène rend intemporelle.
Critikat.com
Un peu trop sage dans ses partis-pris mais respectable et intègre dans sa démarche, "Un homme charmant" laisse une impression générale d’un film en demi-teinte.
La Croix
Mais le vrai sujet d’"Un homme charmant" est un beau portrait de femme, portée par le jeu subtil d’Erica Rivas. Malgré la torpeur, les scènes tournées avec les deux fillettes se révèlent d’une émouvante tendresse.
Le Journal du Dimanche
S’attardant sur les visages de ses personnages pour mieux sonder leurs âmes, le réalisateur signe un film à la mise en scène aboutie. Nimbé de mélancolie, il est porté par des images superbes et l’interprétation tout en finesse d’Erica Rivas.
Positif
"Un homme charmant" ne joue pas la carte du mélodrame. Mais il joue quand même la carte du destin comme un film à l'ancienne, du type faut-il pleurer, faut-il en rire, qui prend ses marques en noir et blanc.
Les Inrockuptibles
Trop de rétention produit un inévitable effet de froideur ; laquelle froideur pourrait devenir incandescente, comme chez Bresson, si elle atteignait à une forme de transcendance. Ce n’est pas le cas ici, où l’on n’est guère transporté.
Studio Ciné Live
Le beau noir et blanc ne comble pas, hélas, un scénario trop plat.