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3,4
30 titres de presse
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Femme Actuelle
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Bande à part
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CinemaTeaser
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Elle
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L'Express
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L'Obs
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Le Dauphiné Libéré
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Le Figaro
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Le Parisien
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Ouest France
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Positif
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Public
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Studio Ciné Live
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Télérama
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Voici
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Cahiers du Cinéma
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Franceinfo Culture
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LCI
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La Croix
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La Voix du Nord
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Le Monde
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Les Fiches du Cinéma
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Paris Match
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Première
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Transfuge
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Télé 7 Jours
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Critikat.com
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Le Journal du Dimanche
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Les Inrockuptibles
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Sud Ouest
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Femme Actuelle
Un film magnifique et poétique, servi par une belle brochette de comédiens, dont la prometteuse Lily-Rose Depp en jeune rivale surdouée.
Bande à part
Stéphanie Di Giusto évite l’écueil de la reconstitution historique et du biopic illustré, pour célébrer une femme, une amoureuse, une époque, des héroïnes de leur temps. Et Soko célèbre la beauté du mouvement, le corps vibrant jusqu’en son cœur, dans les battements d’une romance impossible.
CinemaTeaser
À travers cette figure méconnue, c'est un plaidoyer pour la liberté de création qui s'esquisse.
Elle
Dans cette épopée où les séquences ressemblent à des tableaux, Soko habite avec beaucoup d’acuité et de sensibilité son personnage, mal dans son corps au quotidien mais épris de liberté sur scène.
L'Express
Le film pâtit de quelques baisses de rythme, mais elles sont toujours balayées par les fulgurances visuelles, quasi hypnothiques, et la performance de Soko.
L'Obs
Dans ce biopic classique (mais est-ce vraiment grave, docteur ?), qui est aussi son premier film, Stéphanie Di Giusto réussit à nous faire comprendre, dans des scènes saisissantes, ce que fut, il y a un siècle, le génie chorégraphique et visionnaire de Loïe Fuller. Somme toute, c’est la geste d’un geste.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet ambitieux, une reconstitution soignée, un casting alléchant, mais un scénario trop éclaté et un récit qui a tendance à s’éparpiller.
Le Figaro
Pour qui s'y laisse prendre, les deux heures du film sont un envoûtement.
Le Parisien
Si Soko porte le film, totalement investie dans ce personnage dévoré par son art, Lily-Rose Depp capte naturellement la lumière.
Ouest France
L'histoire mériterait à elle seule un film. Il permet surtout à la jeune réalisatrice Stéphanie Di Giusto d'offrir un rôle en or à l'émouvante Soko et de filmer des moments épiques de danse.
Positif
Même lardé çà et là de lourdeurs narratives, ce premier film ébranle. Sans doute aussi parce que son interprète principale, la vibrante Soko, est parfaite. De même que la très médiatique Lily-Rose Depp, assez idéale dans le rôle, court mais déterminant, d'Isadora la peste.
Public
Un magnifique portrait de femme libre incarnée par Soko, vibrante et habitée.
Studio Ciné Live
Sans les prformances de Soko, robuste, habitée, et de Lily-Rose Depp, radieuse, déjà star, "La danseuse" n'envoûterait pas autant.
Télérama
La réalisatrice (...) ose le lyrisme le plus pompier (superbe scène d'entraînement de jeunes danseuses dans un parc digne de Diane chasseresse), invente à Loïe (jouée par Soko) une jeunesse en forme de western, et, plus tard, un partenaire particulier : un dandy éthéré, mélancolique et impuissant, auquel Gaspard Ulliel prête son charme capiteux.
Voici
Un film inégal mais ambitieux et passionné, qui révèle le talent de Soko, en jeune femme libre et touchante.
Cahiers du Cinéma
Il y a un réel souci de célébrer cette extravagante beauté, et le film tient tant qu’il ne quitte pas son héroïne (…) Il aurait pu, et il aurait eu une tout autre ampleur, s’abolir et se brûler dans le spectacle toujours recommencé des tournoiements irisés de la danseuse.
Franceinfo Culture
Soko, bluffante, s'implique totalement dans ce rôle qui lui va comme un gant.
LCI
Malgré quelques lourdeurs narratives et un léger manque de rythme, la magie l’emporte : les numéros, parfaitement chorégraphiés et exécutés, sont sublimés par un minutieux travail de mise en scène et de lumières.
La Croix
Annoncée à Cannes comme la révélation du film, l’interprétation d’Isidora Duncan par Lily-Rose Depp se révèle diaphane, à la limite de l’inconsistance. (...) D’autres acteurs, qui incarnent des personnages secondaires, tirent mieux leur épingle du jeu : Mélanie Thierry, François Damiens et Gaspar Ulliel (...).
La Voix du Nord
Dès les premiers plans (...) la réalisatrice impose sa foi en le cinéma via une héroïne tout feu, tout flamme, une petite boule de rage en lutte contre les puissances aliénantes attelées à freiner sa fiévreuse quête d’identité, d’intégrité, de liberté. Puis le récit perd un peu de son intérêt lorsque le mélo pointe son museau et que déboule la très glamour et très cinégénique Lily-Rose Depp.
Le Monde
S’étant fixé le défi de recréer à l’écran l’art de la danseuse Loïe Fuller, sensation parisienne du début du XXe siècle, Stéphanie Di Giusto propose un film inégal, peu inspiré lorsqu’il s’attaque à la passion amoureuse, mais captivant et finement mis en scène lorsqu’il s’intéresse à la création artistique.
Les Fiches du Cinéma
Porté par un casting fort mené par Soko, ce premier film est une réussite.
Paris Match
Pris dans le tourbillon formel, on finit par s’étouffer et manquer d'air au fil de la descente en enfer de l'héroïne. C'est peut-être la volonté de Stéphanie di Guisto pour que le spectateur ressente au plus près les émotions de Loïe. Son premier essai est en tout cas prometteur.
Première
Plus que de la danse, il s'agissait là d'une performance.
Transfuge
Ouverture grandiose. La première partie est du jamais vu. (...) Le film bifurque ensuite en France (...), perd avec Fuller un peu de sa vitalité redevenant ce qu'il cherchait à éviter : le biopic parisien d'un talent oublié.
Télé 7 Jours
Plus qu'un biopic, un conte cruel sur la passion d'exercer sona rt, quoi qu'il en coûte, et l'estime de soi. Coeur battant du film, la comédienne et chanteuse Soko livre une performance physique époustouflante.
Critikat.com
(...) le film, historique et faisant montre de peu d’audace, privilégie le récit cadré et corseté.
Le Journal du Dimanche
Stéphanie di Giusto (...) sait filmer mais ce biopic sur une inconnue nous laisse à distance faute d’enjeu réel. Et l’énergie de Soko en Loïe Fuller ne crève jamais l’écran. En revanche, Lily-Rose Depp en Isadora dévore le film en quelques scènes. Une révélation.
Les Inrockuptibles
De cette histoire ambitieuse et romanesque, la cinéaste n’extrait qu’un argument de biopic un peu balisé, qui radote quelques refrains récents du cinéma français.
Sud Ouest
Pas sûr que la modernité du personnage nous touche tant que cela, d'autant que le récit lui-même, qui démarre fort, s'enlise peu à peu dans une biographie décorative.