Avis sur Resident Evil: Vendetta

Vendetta !!! Troisième adaptation en images de synthèse de la célèbre saga d’action horrifique. On n’en attendait pas moins de nos amis les japonais, et je dois dire que cette fois, ils ont placé la barre très très haut. Voici donc à quoi ressemble Resident Evil sous l’apogée de la 3D. Le résultat graphique est remarquable de fluidité et de réalisme. Cette fois, les personnages prennent vie. Et quitte à exploiter le visuel, autant le faire avec de vraies bêtes de scène. Faites entrer les monstres !! Les gros méchants, les pas beaux, patibulaires et autres phénomènes de foire à la force herculéenne. Pour la première fois depuis sa mise à l’écran, Les combats prennent une vraie ampleur. Enfin les fans peuvent souffler et proclamer, « cà, c’est du Resident Evil » ! Là on en a pour notre argent. Le tandem entre Leon Kennedy et Chris Redfield est simplement jubilatoire. Et c’est justement parce que c’est un jeu à la base que l’on attendait plus de folie, de furie, et de spectaculaire ! Mais je suis sûr qu’on peut encore faire mieux. Patience. 4,5/5

Bon je dois dire que depuis les 1ers jeux jusqu'au 6ème plus les films d'animation de la licence (je ne compte pas les films avec Milla Jovovitch) il s'en est passé du temps même trop.
Déjà quand on se repenche sur les histoires des premiers jeux, ça ne valait pas grand chose mais ça marchait car c'était un genre nouveau dans le monde du jeu qui a su très bien s'implanter. Mais, depuis l'eau a coulé sous les ponds et c'est un genre qui demeure assez kitch quand il s'agit de combattre un virus zombi et de connaitre le pourquoi du comment.
Il y a eu plusieurs film d'animation RE et ils étaient sympa bien plus que les live action quoiqu'on puisse dire mais il faut savoir tourner la page car on tombe dans le déjà vu puissance mille, dans le réchauffé. On n'a aucune surprise et les motivations du méchant sont si téléphonées. C'est dommage d'ailleurs car il avait une certaine classe ce Glenn Arias.
Après bon ben en tant que fan, j'adore revoir Leon Kennedy qui passe par une phase alcolo mais lol ! 'désolée si dans le jeu 6 , c'est expliqué mais j'ai pas continué tellement je n'accroche plus aux jeux) Mais plus on va et plus on perd complètement du jeune rookie qu'il était dans le 2ème jeu. Bien sûr, faut qu'il évolue et qu'il murisse mais là, je trouve qu'on est à des années lumières du personnage bien qu'il soit attachant et badass. Mais la badasserie ne fait pas tout. Chris est pareil à lui-même et comme d'hab il n'a JAMAIS la même tête ! C'est un polymorphe ? XD
Rebecca, ça m'a fait plaisir de la revoir, dommage qu'elle soit si passive et se retrouve dans une situation de demoiselle en détresse. Attention, je ne dis pas non plus que pour être active, un perso féminin doive toujours combattre physiquement mais quand on sait son passé au sein des S.T.A.R.S on ne s'attend pas à ce qu'elle ne tienne QUE le rôle de scientifique pur et dur. Niveau design, elle n'a pas vieilli d'un pouce ou presque pas, alors que la chronologie suit là notre. Depuis 1998 cela fait bien 20 ans. Elle est censée avoir 38 ans si mes calculs sont bons. Je lui donne à peine 25. C'est quoi ton secret Becky ? ;)
Voire Leon et Chris dans le même film évidemment, ça comble nos désirs de fanservice, tant qu'à faire j'aurais pas été contre de voir Claire avec son frangin et son ..euh.. ami/love interest Leon, couple, qui sera toujours dans notre imagination/ et ce cher Billy Coen de RE 0 qui se fait passer pour mort depuis 20 ans. Cela aurait été pas mal pour le réintroduire vu qu'on a Rebecca.
Que dire du scenar ? Il est capillotracté et c'est tout. C'est presque le genre qui veut ça mais ça n'est pas une raison. Un des points négatifs est la fin si... proprette. La ville spoiler: est "soignée"... Sérieux ?? Imaginez les personnes précédemment infectées qui se bouffaient entre elles ou qui étaient gravement blessées redevenir saines et décontaminées, humaines à nouveau.... Mais... l'horreur !!!?? XD Mieux vaut rester un zombi qu'on crame alors...

Graphiquement, c'est pas mal du tout mais de temps en temps inégal. Parfois, on sent le côté "uncanny valley" sur certains visages ou lors de certaines animations faciales. La bouche de Rebecca par moment me fait un effet étrange, genre plastique qu'on étire... Les animations lors de certaines scènes d'actions, par exemple : Leon sur spoiler: sa moto contre les deux dobermans (d'ailleurs expliquez moi comment ces chiens même atteints d'un virus qui peut booster leurs capacités arrivent sans peine à poursuivre une moto lancée à tout berzingue ? )

Point positif : "the bitch in red dress" n'est pas là et ça fait du bien ! Ada Wong un peu ça va.
Bon, évidemment, à regarder seulement si vous êtes un habitué du jeu sinon vous n'y verrez que peu d'intérêt. Et encore, je pense que certains fans trouveront ça très décevant. Et d'un côté ils n'auront pas tort.
Je pense que la série et ses films d'animation arrivent vraiment à la fin et se trouvent à bout de souffle. Il arrive un moment où il faut savoir s'arrêter même si c'est triste.

suite du deuxième film Resident Evil: Damnation qui était très mauvais. cette suite est mauvaise a cause de nombreuses scènes inacceptables: le méchant est un pauvre type trahi par son gouvernement qui cherche a se venger (embrella corporation n'est JAMAIS évoqué de tout le film SCANDALEUX) leon qui se met a déprimer et devennir alcoolique (hereusement il finiras par arrêter ses caprices), des soldats hésitant toujours a tirer sur un zombie prêt a leurs sauter a la gorge au point d'en devennir ridicule, les multiples chûtes et cognement dans les mur MAIS leon et chris se relèves a chaque fois comme des terminator (faut pas non plus abuser), l'héroine qui au bout de 20 minutes ne se transforme pas en zombie alors que pour les autres victimes cela prend dix secondes SURTOUT QUE c'est un peu con parce que toute la ville est zombifié MAIS sauvé par le remède miracle alors qu'ont nous as toujours dit qu'une transformation était irréverssible, le timer de 20 minutes pour l'héroine ne sert donc a rien, et le remède sort d'où ??? il n'y a jamais eu de remède au virus de zombie.... la qualité de dessin et d'annimation est incroyable faut l'admettre, dommage que le scénario soi aussi bordelique.

Excellente surprise. Globalement, les 4 films d animation Resident Evil sont relativement de qualité. Celui ci l est particulierement. Assez violent, bien sûr bien craqué par moment, il est vraiment bien realisé et respect tout de meme le materiaux d origine, avec de bon clin d oeil au 1er episode.

Épisode de la saga animé Resident Evil qui revient un petit peu au source de la franchise vidéo ludique visuellement et narrativement.
C'est sympa à regarder comme une longue cinématique de jeux.
Le film n'apporte rien à cet univers qui a été selon moi gâché à plusieurs reprise sur tous les supports ,mais il ne le trahit pas non plus.

En bref : pas le pire résident evil

Cinq ans un Resident Evil Damnation époustouflant, un troisième film d’animation voit le jour sous le nom de Resident Evil Vendetta, où Chris et Léon font de nouveau équipe suite aux événements de Resident Evil 6, mais qui marque surtout le grand retour de Rebecca, devenue chercheuse en biologie dans une université de Chicago. Le début rappelle grandement le premier épisode de la saga alors que Chris et son escouade se rendent au Mexique dans un manoir rappelant fortement celui des montagnes Arklay, afin de coincer un trafiquant d’armes biologiques appelé Glenn Arias. Oscillant toujours entre investigation (le manoir et ses couloirs sombres éclairés par des bougies) et action (notamment la scène à la John Wick où Chris et Léon dégomment du zombie aux armes à feu et à mains nues), la réalisation parvient de plus belle à faire mouche avec divers styles de caméra et un bon jeu d’ombres et de lumières. Sans échapper à certains clichés habituels dans la saga, les interactions entre les personnages sont réussies malgré un Chris toujours assez colérique et un Léon qui se noie à son tour dans l’alcool.

Les retrouvailles entre Chris et Rebecca apportent un certain cachet qui remonte à loin, même si cette dernière a elle aussi beaucoup changé spoiler: tout en ayant failli succomber à la diffusion du
nouveau virus animalité (appelé Virus-A), qui a la particularité de faire déterminer spoiler: aux ABO quelles cibles elles doivent attaquer.
Rebecca y a trouvé un remède et Glenn Arias a autant d’admiration pour les talents d’une femme aussi jeune que pour spoiler: sa ressemblance avec sa femme, tuée le jour de leur mariage par un missile largué par Néo-Umbrella
. Ne restant plus qu’un bras de sa femme défunte, le personnage est assez fou pour spoiler: la remplacer par Rebecca et lui faire greffer le membre
, ce qui en fait un méchant particulièrement atteint mais qui aurait mérité un traitement plus poussé pour arriver au niveau d’une Alex Wesker ou d’une Alexia Ashford. Reste un combat final dantesque comme à l’accoutumée, mais aussi avec sa part de too-much lorsque Léon se la joue Devil may cry à bord de sa moto. Un très bon film d’animation dans la droite lignée des précédents !

Franchise animée qui poursuit son bonhomme de chemin, R.E commence sérieusement à s'essouffler.
La faute à une réalisation sans éclat et y allant de clichés comme il n'est plus permis d'en voir maintenant.
La grenade dégoupillée avec la bouche, le ralenti du gars qui marche avec l'explosion dans son dos, le gars à genoux qui regarde le ciel et se fend d'un "noooooooon", j'en passe d'autres...
La faute à une animation qui ocille entre le trés bon et le pas fameux (la ville de NY est vide etonnamment, les pieds de Rebecca qui ressemblent à ceux des Hobbits), à un scénario foiré, à un méchant qui ressemble furieusement à Wesker, à des coups de barres digne d'un Steven Seagal ( spoiler: se faire projeter à 10 métres par un colosse et se prendre un mur plein dos, en général ça fait un peu mal à la colonne, puis l'injection du virus qui mettra à la louche 1/2 heure à se répandre dans le corps de Rebecca...Gné???) et au charisme de Chris qui parfois semble autiste.

De plus, on a l'impression qu'on est, nous les spectateurs, friands du monstre de chair qui sert de boss à la fin. Non, clairement non, ce qui marche (et encore, plus à mon sens) dans les jeux ne doit pas être systématiquement ressorti dans les films.
Donc, malgré qu'ici on suit la sga un peu plus fidelement que les films "live", ce RE ne vaut pas le coup d'oeil, ou seulement par les fans harcore de la saga qui risquent eux aussi de se sentir floués.

Ce troisième épisode animé, cédant au bourrinnage le plus total, fait preuve d’une belle générosité dans le grand n’importe quoi, quitte à sauter à pieds joints dans le ridicule. C’est décérébré, spectaculaire, techniquement abouti mais ça ne cherche jamais une quelconque forme de cohérence ou d’efficacité narrative.

Chris Redfield, membre de la "Bioterrorism Security Assessment Alliance", convainc l'agent du gouvernement Leon S. Kennedy et le professeur Rebecca Chambers de l'Institut de Biotechnologie Alexander d'arrêter un marchant (littéralement) de mort(s) en quête de vengeance prêt à libérer un virus mortel au cœur de New York.
La qualité visuelle est très bonne, il y a de l'action, et même si la fin est un peu grosse (une fois de plus : littéralement) et somme toute peu novatrice, on prend plaisir à regarder ce nouvel animé.

3e épisode de la saga "Resident Evil" en animation, "Resident Evil: Vendetta" lorgne clairement vers les jeux décérébrés "Resident Evil 5 et 6". Après une introduction clin d'œil référence au 1er jeu datant de 1996, le métrage déploie son intrigue assez simpliste où l'on retrouve ses protagonistes cultes "Chris Redfield", "Leon S. Kennedy" mais aussi "Rebecca Chambers". Un nouveau "Bad Guy" fait également son apparition, "Glenn Arias" (Sorte de "Albert Wesker" revanchard) accompagné de son armée d'infectés qu'il contrôle à sa guise. Orienté vers l'action et seulement l'action, cet opus bénéficie d'une animation plutôt soigné et de "Gun Fight" jubilatoires inspiré du récent "John Wick". Sans surprises, "Resident Evil: Vendetta" n'emballera surement pas les puristes des 1er segments vidéoludiques qui ne retrouveront jamais l'ambiance horrifique typique de la saga de "Capcom" mais aussi des incohérences flagrantes. Malgré tout, le film reste au final assez distrayant et s'avère parfaitement calibré pour une soirée "Geek" pépère !

L’expression “Jamais 2 sans 3” est appliquée ici à double titre puisqu’on retrouve notre pote Leon S. Kennedy mais il aura de la concurrence puisque le véritable héros de l’histoire c’est Chris Redfield ! Une nouvelle fois, le scénario ne fait pas preuve d’une grande inventivité ; un méchant de service et notre pauvre Rebecca Chambers qui doit endosser le rôle de la femme à sauver. Comme pour les autres épisodes de la saga, l’intérêt de Resident Evil : Vendetta ne tient que grâce à ses phases d’action qui offrent une belle récréation mais ont tout de même la saveur du réchauffé. Une nouvelle aventure qui présente peu d’arguments positifs mais le résultat reste toujours mieux que les adaptations live menées par Paul W. S. Anderson (oui c’est vrai c’était pas difficile).

Bof, bof, bof ! Certes l'animation est soignée, fluide, précise et tout et tout... Mais l'histoire est nettement bancale et on peine à rentrer dans ce film qui manque totalement de cohérence scénaristique. De plus, les amateurs de la franchise d'origine ne retrouveront pas la dimension « gore » qui a fait les beaux jours des premiers opus... Avant que les acteurs ne soient définitivement remplacés par de simples images animées par ordinateur. Côté action, toutefois, rien à dire... Tout est mis en œuvre pour que le spectateur ne puisse s'ennuyer une seule seconde, ni réfléchir d'ailleurs ! Ça fonctionne à peu près et on peut se laisser prendre au piège des images défilant à 100 à l'heure, dans un maelström bruyant mais parfois jouissif... Ceci dit, je ne suis tout de même pas convaincu par ce troisième dessin animé qui ressemble finalement plus à une longue cinématique de jeu vidéo qu'à un réel produit fini. Dommage !

Sympa durant le 1er quart d'heure. Pénible par la suite...Ca bavarde trop, ça s'épanche sur les atermoiements du méchant de l'histoire qui finit par devenir pathétique. On perd le rythme du début du film et on s'endort rapidement ou l'on cesse le visionnage pour faire autre chose.

3ème volet de la désormais trilogie animée, celui-ci ne s'est pas montrer explosif dès le départ contrairement à son prédécesseur, en raison de script en longueur, d'un récit un peu plus complexe cette fois-ci scènes ou nos personnages échangèrent bien plus intelligemment. Si ces éléments n'ont pas permis au récit de filer droit de suite, "Resident Evil" version animer à le mérite d'être d'une perfection visuelle démesurer, depuis "Damnation", la 3D s'est encore plus perfectionnée, les couleurs plus vive et la motion-capture rend nos actrices et acteurs bien plus convainquant. Les scènes de fusillades et gores sont d'une fluidité ultime, d'une orchestration de maître pour nous plonger à même dans un jeu-vidéo dernier cri. Les ennemis secondaires n'ont pas briller par leur présence mais mérite d'avoir eues eux-aussi, une perfection visuelle avec mention spéciale à cet homme marier devenu suite à un accident, un véritable colosse monumental aux allures de Bane ("Batman"), un duo furtif qui aurait dû être plus exploiter pour plus de percussion. Un 3ème volet au final tous bonnement explosif et à l'imaginaire exceptionnel qui montre que la réputation "Resident Evil" est de nous emmener dans un univers graphique et visuel d'excellence, vif par ses couleurs d'ensemble et d'un casting "virtuel" excellent aux gesticules parfaites. Hâte de découvrir la série elle aussi animée.

super bon ! : se passant entre les évennement de Resident Evil 6 et Resident Evil 7 , Resident Evil vendetta est une reussite : Chris et Leon sont tout simplement trop badass , le moment ou il combates les zombies dans le couloir c est juste énorme : le duo de choc , heureux du retour de rebecca qu on a vu que dans Resident Evil 1 dans le manoir spencer et dans Resident Evil 0 , bon elle est pas très fort au combat mais elle reste très courageuse , l antagonnite glenn arias est très très styler sa raison de vengance est assez classique mais bien exploiter bon c est pas non plus un antagoniste au niveaux de Wesker mais ça reste un très bon antagonniste, au début du film on a un gros clin d oeuille au premier Resident Evil avec un manoir sombre c est juste énorme , et le combat entre Chris et Arias c est juste epic , la fin laisse presager un vendetta 2 mais je spoil pas , seulment j aurais aimez voir chris rejoindre umbrella a la fin car a la fin du 7 chris est de umbrella et que sa se passe entre le 6 et le 7 ben j aurais aimez voir sa , mais bon y aura le DLC not a hero pour expliquer ça dans RE7 , je suis sur que chris va se faire la famille des psycopathe baker , a mon avis il va les batre facillement , si un homme de la vie quotidienne comme ethan les a batus alors la chris il les explose bref sinon très bon film : bourez de clin d oeuille , scène de combat épic , une bonne scène bien flipante dans le manoir au début 4/5