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    Moonlight
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    4,0
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    515 critiques spectateurs

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    Greg B.
    Greg B.

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 février 2017
    Un film très plat, on s'ennuie vite, tout le long du film on espère quelque chose, mais rien n'arrive jamais, seule la qualité du jeu des acteurs ne nous donne pas envie de quitter la salle. filmer et de très près la vie difficile de quelqu'un n'est pas donné à tout le monde, la vie d'Adèle avait réussi cela parfaitement, là je trouve ça raté.
    S5Clem
    S5Clem

    66 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mai 2019
    Quel film vide, long, policé, superficiel, presque inutile. Beaucoup d'autres films ont déjà traité les problématiques de l'amour (homosexuel ou non), du ghetto, ou des deux, et de bien meilleure façon. C'est quoi le délire de la notation là, il suffit de vous mettre une histoire d'amour entre hommes noirs dans un ghetto pour que vous vous enflammiez en éloges ? C'est pathétique redescendez sur Terre sérieusement, y'a RIEN dans ce film (à part le jeu d'acteur, qui est excellent ça d'accord). Dès les premières minutes on comprend tout d'où veut nous mener le scénario si on a lu le synopsis. 2 heures de vide, on n'est jamais surpris, on s’ennuie, ça se veut philosophique ça n'en est rien, c'est tellement bête qu'on anticipe chacune des scènes à venir 15 minutes avant qu'elles se déroulent. C'est long, mou-mou, ça veut surfer sur une ambiance ghetto-craignos alors que c'est politiquement correct au possible. D'ailleurs le ghetto est tellement caricaturé qu'il pique les yeux. Un véritable film de rien, spoiler: où un gosse martyrisé et dont la mère est une camée avec option prostitution (quelle trouvaille du scénariste bravo), va devenir une bête de muscu pour éviter d'assumer sa fragilité, et qui va se rendre compte 10 piges plus tard que son seul ami à ses 16ans (qui lui en colle une pour suivre le groupe, quelle trouvaille du scénariste encore une fois, superbe !) et en fait l'amour de sa vie et réciproquement
    . Plus idiot comme scénario on trouvera pas sincèrement.. Et encore si on avait cherché à faire une histoire de ça, mais non, rien, aucun effort intellectuel pour essayer d'en sortir quelque chose à la fin (autre que spoiler: "oooh trop mignon le gros steak de 100kilos de stéroïdes dans les bras de son cuistot"
    ). Mais alors là ça plait, le bobo est content, satisfait, on lui dit c'est une merveille et il acquiesce sans sourcilier. On lui colle un scénario déjà vu 1 million de fois mais à la sauce "amour entre hommes" et il lui en faut pas plus. Faîtes vous un Romeo Juliet à la place, c'est la "même" problématique abordée mais au moins l'histoire est valable. Remplacez les 2 mecs dans ce film par un gars et une fille et il n'aurait jamais remporté la moindre récompense ni la moindre étoile ici... apparemment il suffit de ça pour que les gens perdent tous sens critique sur la qualité d'un film, pas vraiment rassurant
    Olivier Husson
    Olivier Husson

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2017
    nul nul nul, et trop de clichés
    mélo et pathos en plus
    seule l'image est soignée mais ne suffit pas
    spoiler:
    emma emma
    emma emma

    28 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 février 2017
    Moonlight n'est pas le grand film attendu. J'avais pas aimé la bande-annonce (quelque chose entre un clip de hip hop un peu trop léché et une pub "Schweppes") mais j'avais peur de louper un chef d'oeuvre à cause de mes à priori à 2 balles, et puis 8 nominations aux Oscars… J'y suis donc allée, pleine d'entrain, prête à ramasser une grande baffe…. Bon. Ça démarre pourtant assez fort, avec une première partie pleine de promesses, quand Chiron a une dizaine d'années (et quand la caméra veut bien se stabiliser un peu, merci..) Mais la photo est un peu fade, et ce parti-pris esthétique m'a parfois éloignée du propos, car trop artificiel (la vie est moche, donc l'image est grise.. Même la mer évoque davantage la Mer du Nord que les Bahamas, alors qu'on est à Miami.. Ok, admettons). Pour les 2 autres parties, en revanche, ça se gâte. L'histoire se met à stagner, l'ensemble devient mou, et l'évolution du personnage quasi inexistante, ou pire, pas très intéressante. Un peu à l'image de la dentition en or de Black: ça en jette, mais c'est beaucoup d'esbroufe. Alors après, j'admets que les acteurs sont tous déments, vraiment tous, et que les 2 nommés aux oscars mériteraient bien la statuette, mais là où je m'attendais à prendre une méga baffe de cinéma, Barry Jenkins s'est contenté de me balancer 2-3 pichenettes. Décevant mais 2,5 quand-même pour les acteurs.
    JEANRENE43
    JEANRENE43

    10 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2017
    Moonlight un film qui a reçu une pluie de récompenses dont l'oscar du meilleur film il y a quelques jours. Au risque de paraître hermétique à l'art cinématographique, j'avoue ne pas comprendre tous ces prix et le plébiscite des critiques de presse suivi par les spectateurs. Ce film raconte l'histoire d'un jeune enfant noir harcelé et violenté par d'autres à l'école puis au collège ; mal protégé par sa mère droguée et prostituée. Il est pris d'affection par le kaïd des dealers du secteur et il devient à son tour un kaïd. Je préfère de beaucoup le destin réel du dramaturge à l'origine de l'idée du scénario de même le destin du réalisateur qui ont connu la même violence au collège et qui se sortent de l'argent facile mais risqué de la drogue. Que veut-on plébisciter ? La fatalité intergenerationnelle de l'enfer des dealers ? L'impuissance de l'école à changer le cours des destins ? Réveiller les consciences des dirigeants américains ? J'avoue ne pas avoir perçu le message sauf à considérer qu'il n'y en a pas et que c'est seulement l'hitoire houleuse d'un enfant noir jusqu'à sa maturité.
    RODRIGUOH
    RODRIGUOH

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2017
    Sincèrement sublime
    Non seulement l'histoire et magnifique mais elle est aussi d'une profondeur rare à Hollywood
    De plus le film est magnifique a regarder. Les couleurs et l’éclairage s'assemblent et s’harmonisent a merveille. Des scène comme celle dans l'eau sont particulièrement réussi.
    Fabien D
    Fabien D

    167 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mars 2017
    Considéré comme un joyau du ciné indé américain et oscar du meilleur film, Moonlight, sous ses dehors arty, est une œuvre des plus convenus. Accumulant les poncifs (de la mère camée au dealer bodybuildé), le film suit un cahier des charges et évite perpétuellement de traiter complètement son sujet. Si le film possède des qualités esthétiques évidentes, que la mise en scène est souvent inspirée et que les acteurs s'en sortent bien, l'ensemble est trop propre pour pleinement convaincre. Bref du cinéma communautaire LGBT pour grand public, agréable à regarder mais loin de mériter tant d'éloges critiques.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    150 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2017
    Très belle plongée dans une certaine Amérique. Le film montre bien l'articulation entre drame de l'enfance, frustration de l'adolescence et choix d'adulte. Les comédiens sont remarquables. La mise en scène, très fluide, joue l'immersion dans la perception du personnage principal. Et la musique est particulièrement mise en valeur. On m'avait laissé entendre que ça finissait terriblement mal, ce qui m'a effrayé pendant toute la dernière partie. Mais non, ça va, vous pouvez rester zen. Trump n'était pas encore président : les minorités raciales et sexuelles n'avaient pas encore à s'inquiéter des décisions de leur gouvernement...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 février 2017
    Moonlight est un drame social dans lequel on suit à trois étapes de sa vie (enfant, ado et jeune adulte) Chiron qui va essayer de cacher sa sensibilité, ainsi que son homosexualité (même si ce n’est pas le thème majeur du film) en se construisant une façade de dur, voire de caïd, dans un milieu machiste, celle de quartier difficile de Miami à Atlanta. Ce n’est pas la première fois que le sujet du caïd homosexuel est traité. On avait déjà dans la série "The wire" avec le personnage d’Omar Little. D’ailleurs, je me demande s’il n’y a pas un clin d’œil à ce personnage avec le surnom de "Little" donné enfant à Chiron; on entend aussi au début du film le prénom Omar que porte un dealer. L’intelligence du réalisateur Barry Jenkins est dans la suggestion plus que dans la démonstration. De l’intelligence dans la façon de montrer les choses, ce qui change de la plupart des productions actuelles où on cherche à montrer sans pudeur, sans finesse. La faiblesse du film est dans les dialogues, la dernière scène dans le restaurant est longue et assez ennuyeuse. Parfois, pas très bien filmé surtout des mouvements de caméra illisibles au début, ça s’améliore par la suite. Certains personnages ne sont pas vraiment développés. Le film fixe l'attention sur Chiron essentiellement et sa relation avec sa mère. Si je reconnais des qualités à Moonlight, je n’ai pas été très emballé par une histoire somme toute assez banale finalement.
    Mr. Renton
    Mr. Renton

    123 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2018
    Alors alors, après avoir beaucoup fait parlé de lui sans rien avoir demandé a personne (Oscar du meilleur film, meilleur scénario adapté et meilleur acteur dans un second rôle pour Mahershala Ali) et & an après la hype autour du film j'ai vu Moonlight, LE drame social Américain de 2017. Et force est de reconnaître que c'est excellent. Parce qu'après coup, qu'est ce qui reste au spectateur après le visionnage de Moonlight? En ce qui me concerne: la musique et les images. Et déjà ça devrait vous convaincre de regarder ce film. Moonlight a beau être un pur drame, il n'oublie pas la composante essentielle a tout film, la mise en scène. Parce que y a pas a dire, en terme de réalisation, montage, photographie et colorimétrie ce film réussi un sans faute. On a de tout, du plan séquence, des jeux de focales et de profondeur de champ, des scènes rêvées, de la caméra épaule et chaque plan est en parfaite adéquation avec le récit et renvoi a un élément du scénario. On va pas se mentir, j'ai beau être un très grand admirateur de Damien Chazelle et son La La Land mais clairement, Barry Jenkins n'aurait pas démérité face au Francis si il avait gagné l'Oscar du meilleur réalisateur. D'ailleurs si je devais spéculer sur la façon dont Jenkins a eu toute ses idées de mise en scène, je dirais qui'il a fait une cuite devant L'Enfant des frères Dardenne et que pour soigner son mal de tete il se serait défoncé au LSD devant The Neon Demon. Je vois que ça. Maintenant parlons des acteurs. Enfin pas vraiment, ils sont tous parfaits, des enfant au adultes, aucune fausse note c'est du tout bon rien a ajouter. En terme de scénario, je rappelle que le film parle du jeune Chiron dans les années 80 a Miami qui au fil de sa vie (que l'on suit en 3 parties de ses 8 a 30 ans environ) va découvrir qu'il est gay et s'affirmer en tant que "lui même" le film tournant autour du thème de la découverte de soi. Et on tient la un des gros point fort de Moonlight, la ou n'importe quel autre drame aurait tourné vers le misérabilisme du pauvre petit Chiron noir aux USA a Miami au milieu du traffic de drogue, Jenkins oriente son film vers un coté bien plus universel dans les thèmes abordés qui dépasse le stade du contexte de vie de Chiron, bien que le film aborde le sujet de la drogue et du fait d’être noir aux USA (même si ce n'est clairement pas ce qui intéresse le film). Cela permet une véritable identification a Chiron qui est un personnage très attachant.
    Je terminerais par la musique qui est tout simplement su-blime au point même que comme beaucoup j'ai douté sur les compositions que j'entendais, ne sachant pas si elles étaient classiques ou originales tant elles sont marquantes et accompagne parfaitement le récit. J'ai tout dit en ce qui me concerne, sachez que même si comme moi vous êtes plutôt récalcitrant a voir ce genre de film, Moonlight a peu de chances de vous décevoir, clairement j'ai pas vu d'aussi bon drame social depuis Deehpan de Jacques Audiard. Foncez, c'est du quasi tout bon!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 février 2017
    Moonlight est divisé en trois parties : l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte. Même si l'évolution de l'une à l'autre est d'une justesse et d'une connexion incroyable, il n'en reste pas moins qu'il me manque quelques réponses à certaines questions, la plus importante est spoiler: que devient Juan ? Ce père spirituel qui a tant d'importance dans l'enfance de Blue et qui disparait on ne sait comment dans les deux autres parties...
    Ensuite, certains reproches à Moonlight d'être "Plat", je leur répondrais qu'au moins il n'y a pas de fioriture, ni d'artifice, on ne cherche pas à mentir sur la réalité de certains jeunes noirs homosexuels qui grandissent dans les quartiers tendus. Ici, il y a une grande partie de la réalité, entre une mère toxico et prostituée, la prison et les humiliations. A voir absolument.
    Roger O.
    Roger O.

    10 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2017
    Sous la lune, les garçons noirs ont l'air bleu.
    C'est le titre de la pièce de Tarrel Alvin Mc Craney d'où est tiré le film de Barry Jenkins: trois moments (enfance, adolescence, âge adulte) dans la vie de Chiron, interprété par trois acteurs différents. Un film sensible, émouvant, qui évite le pathos mais pas toujours les clichés ou les mouvements de caméra inutiles. Il illustre de manière parfois naïve la fausseté du célèbre dicton: "L'habit ne fait pas le moine". Ici, il le fait: le gamin qui découvre son homosexualité est malingre et en butte à la violence de ses camarades; l'homme qui la cache a revêtu le costume, la musculature (et les dents) du rappeur gangsta. Tout est donc dans l'apparence: la remarque est juste mais un peu limitée.
    Plus intéressante est la réflexion sur la filiation:  l'enfant Chiron (que l'on surnomme à cet âge de sa vie Little) doté d'une mère droguée, s'est trouvé un père de substitution en la personne d'un dealer costaud mais gentil, bienveillant: il imitera cet homme tant dans son allure physique que dans son comportement de "dur". De même, c'est ce gangsta au cœur tendre qui le conduit sur la plage où, plus tard, au clair de lune, il découvrira le plaisir physique avec Kevin.
    La plus belle des trois grandes séquences du film est la dernière, lorsque Chiron et Kevin (interprété par André Holland, le médecin noir de The Knick, la série de Soderbergh) se retrouvent. Toute en finesse et complexité, elle est poignante comme le souvenir d'un unique moment heureux et le regret d'une vie peut-être gâchée.

    L'ensemble est loin d'être déshonorant mais manque de profondeur: on craint aussi, qu'après les cow-boys de Brockeback Mountain, on ait droit prochainement à un couple de boxeurs ou de footballeurs...
    Gérard F.
    Gérard F.

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 février 2017
    Je suis allé voir ce film sur la base des bonnes critiques a 4 etoiles émises par la presse.
    Au final déçu sur toute la ligne. Ce film a un scénario bâclé, est lent et finalement ennuyeux. Il vaut mieux ne pas se fier a la presse de la bobosphère Le Monde, Libération,...qui émettent des critiques positives sans rapport avec la réalité du film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 février 2017
    Ce film est une espèce de documentaire long et lent, en 3 épisodes, sur la triste vie d'un malheureux jeune Noir, homosexuel sans en être certain : il n'y a qu'une vague histoire, pas de trame dramatique qui tienne en haleine le spectateur même s'il y a quelques moments dramatiques. Les acteurs sont excellents mais le film ennuyeux.
    ffred
    ffred

    1 497 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 février 2017
    Après un mois de janvier bien faiblard, voilà enfin le premier grand film de 2017. Arrivé sur les écrans avec beaucoup (beaucoup) moins de tapage que le consensuel La la land. La différence de profondeur entre les deux films n’a d’égale que l’importance du budget marketing et du tapage médiatique. J’arrête de parler de l’arnaque du film de Damien Chazelle avant de me faire insulter à nouveau. Il y a tout ici. Un scénario d’une belle profondeur, sans pathos, clichés ou autres facilités, subtil mélange des expériences de Tarell Alvin McCraney, auteur du texte d’origine, et du metteur en scène, Barry Jenkins, originaires du même quartier défavorisé de Miami. Un récit, sensible et...
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