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    Alad'2
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    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    152 abonnés 2 752 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Après des aventures de Cendrillon plutôt désastreuses cette suite d'Aladdin est en pleine forme et surpasse presque le premier, en dialogues et situations loufoques.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 octobre 2018
    J’avais beaucoup ri lors du premier film, mais alors là.. c’est vraiment médiocre. L’humour est mauvais, les blagues pas drôle du tout, et ça part dans tous les sens.. extrêmement déçue.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Pas drôle. Les blagues sont souvent autour de l’accent de Maghreb. Ça m’a fait rire une fois mais à un moment donné ça ne marche plus!
    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    55 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2019
    Tout tombe à plat du début à la fin. Kev Adams est ridicule et insupportable. Jamel n est plus que l ombre de lui même tellement il force la caricature. A fuir un des pires films que j'ai vu et j'en ai vu des films.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    Qu’Alad’2 soit un mauvais film n’est pas ce qui heurte le plus. Non, ce qui surprend et interroge, c’est qu’il soit devenu pour bon nombre de critiques amateurs un déversoir de haine et de mépris, convaincus de tenir là l’Infâme à écraser et le cinéma à restaurer. Quel leurre ! Car qu’attendre de la suite des Nouvelles Aventures d’Aladin, sinon une prolongation de ce qui a autrefois été entrepris ? un défilé de célébrités venues faire un petit coucou, une défilade de sketchs parfois réussis parfois ratés, une autodérision qui finit par lasser mais qui indique – avec suffisamment d’insistance, comme ces signaux lumineux sur le bord de la route qui invitent l’automobiliste à réduire sa vitesse ou à passer son chemin – qu’Alad’2 ne doit pas être pris au sérieux. Et le grand paradoxe que suscite le film réside tout entier dans le statut d’interdit qu’il a conquis malgré lui, dans cette aura qui lui confère une autorité certes négative, mais une autorité quand même. Au lieu de disparaître, Alad’2 devient éternel, il grave la mémoire du cinéma français (à gros budget), il s’affirme telle la pierre de touche à partir de laquelle se construit et se situe une communauté de cinéphiles et de spectateurs. Problème. En transformant une production-repoussoir en objet diabolique, donc mythique, on en oublie de véritablement évaluer le film : la tendance est à l’étiquetage automatique des marchandises, et la critique semble céder sa place à cette culture de la réaction qui enferme une œuvre dans l’outrance aveugle, à la manière de l’empereur jugeant un combat en levant ou en baissant le pouce. Alad’2 est un mauvais film parce qu’il est – tout simplement – dépourvu de scénario et de mise en scène : il suffit de voir l’arrivée de l’antagoniste principal pour souffrir de dialogues hasardeux et d’un cadrage approximatif qui tue dans l’œuf la puissance des images (si puissance il pouvait y avoir). Trop basse ou trop haute, la caméra échoue à dire quelque chose, échoue à signifier l’envergure du personnage, échoue à incarner le récit et ses enjeux qu’elle se contente platement d’illustrer. Quant au récit justement, il se cantonne à une succession de prestations comiques ; l’espace de jeu devient celui d’un one man show, et se suivent et se ressemblent des comédiens doués mais ici en roue libre. Le montage suture comme il le peut ces sketchs et tente de se servir de l’éclatement spatial et temporel comme d’un faire-valoir dramatique. Reste que certains échanges comiques fonctionnent et que les seconds rôles assurent le spectacle : voir Gérard Depardieu en Christophe Colomb fait rire, tout comme Isabelle Nanty en standardiste du service après-vente pour génies défectueux. Bourré de bêtises jusqu’à plus soif, Alad’2 respecte son pacte régressif et se résume intégralement dans le conseil que donne à Kev Adams l’hôtesse de l’air : « détendez-vous, racontez-moi n’importe quoi ». Aucun piège là-dedans ; au contraire, une franche honnêteté ! La clausule sous forme de chanson débile achève le ridicule de l’entreprise qu’il est inutile de chercher à intellectualiser, tant cette intellectualisation serait incongrue voire trahirait – et trahit déjà – « l’empressement de montrer de l’esprit, qui est la plus sûre manière de n’en point avoir ».
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 275 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 février 2019
    Dans la lignée du premier opus ou du "Marsipulami" et autre Iznogoud, nous continuons de toucher le fond avec cette nouvelle autocélébration narcissique et puérile. Empilement de personnages sans cohérence, empilement de participations amicales, quelques interludes avec des chansons ridicules assez malaisantes, aucune teneur, ni aucune densité, un film égocentré.
    Ce film mérite cependant une étoile, car la technique tient la route, beaux décors, belle image, belle photo et une réalisation propre dont il convient de saluer l'existence.
    Quelques scènes sympas et le plaisir des jeux de langage de Jamel, qui, il faut bien le dire, reste le fragile fil rouge qui permet de regarder le film de bout en bout, sans lui, à quoi d'autre pourrait-on se raccrocher ?
    Merci aussi à Baptiste R. pour sa critique géniale tout en second degrés.
    MarieShani
    MarieShani

    1 abonné 53 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Sans surprise, c'est ultra mauvais pire encore que le premier et ça c'est le seul exploit du film, dans ce naufrage Kev Adams entraine les guest prestigieux du casting, leurs talents individuels sont comme invalidés par la médiocrité environnante, c'est tellement lourdingue qu'on a envie de fuir en courant. Jamel Debbouze y fait encore la démonstration qu'il est fini il fait presque de la peine. Une distribution de comédiens bankable ne suffit malheureusement pas à combler la vacuité d'une mauvaise production
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    le scénario est très mauvais, pas d'enjeux, pas de réponse à la pauvre intrigue qui tente péniblement à ce mettre en place, cela n'a tout simplement pas d'intérêt. la cohérence avec le premier film n'est même pas respecter, des acteurs change de rôle, je suis vraiment très déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2018
    On s’y attendait, même le film en rigole : après Aladin, Alad’2… Suite logique des Nouvelle Aventures d’Aladin qui a cartonné au box-office il y a deux ans avec plus de quatre millions de spectateurs, ce Alad’2 n’offre ni une variante ni une extension du premier volet. C’est une véritable copie, et le miroir (un de plus) d’une industrie flémarde sujette à une véritable crise d’imagination. Le cinéma français ne sait plus rire, et ne fait définitivement plus rire. On aurait pu compter sur les présences dans ce Alad’ 2 de la famille H recomposée pour l’occasion (Jamel et Ramzi qui rejoignent Eric Judor) et les présences surprises de quelques guests (Bigflo et Oli, Frédéric Lopez et, attention les yeux, Gérard Depardieu). Mais ils ne sont que des parodies d’eux-mêmes. Constat accablant, tandis que l’alarme sonne dans les quatre coins de la salle.

    La comédie française mainstream au plus bas

    Le scénario balisé, la réécriture rigolote d'un conte basée sur la vie déprimante d’un gars ordinaire puis le manque de rythme du premier film sont encore au rendez-vous. Et donc , puisque c’est le même qu’il y a deux ans, on y retrouve forcément les mêmes problèmes. Le père Noël du premier volet, Sam (l’irrattrapable égérie Kev’ Adams) reprend son rôle de conteur : Aladin siège sur le trône avec sa nouvelle femme la princesse-topless Sofia (Vanessa Guide), mais se fait doubler par un tyran "pas trop méchant" du nom de Shah Zaman, joué par Jamel. Le prince des voleurs (pas si héroïque) fuit et réengage sa crapule de génie afin de reprendre son trône, et retrouver l’amour de sa femme en proie aux doutes.

    Entre quatre costumes carnavalesques, quelques combats chorégraphiés et des effets spéciaux franchement démodés, la franchise Aladin se réclame encore plus du blockbuster. Si la générosité du genre est là, quoique peu digestive, l’ennui l’est encore plus. C’est simple : on ne s’amuse pas, on ne rigole pas. Cette sorte d'uchronie moderne du prince des voleurs – on parle selfies, wifi et batterie faible dans un Badgag d’antan en CGI – n’offre rien de plus que de la gêne et un profond sentiment de consternation. Ou comment remettre sur la table les manques de la comédie française mainstream : les femmes comme simples objets de séduction et de procréation (la grosse blague des dizaines de femmes enceintes, affligeant), économie narrative essentiellement basée sur des gags non-stop et une réalisation impersonnelle. Ce système jouit de ce qu’il a déjà fait, et malheureusement de ce dont il est capable : probablement plus
    Jill T.
    Jill T.

    13 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 février 2019
    J'ai beaucoup aimé le 1 qui m'a bien fait rire. Mais là.. Même si on rit par moment, les scènes de Jamel sont trop longues. Il parle tout seul et devient vite gonflant. dommage
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    21 abonnés 1 296 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 mars 2023
    Pourquoi devrais-je me prendre la tête à écrire une critique constructive sur ce film, sachant que tout avait déjà été dit lors de la sortie du premier film et qu'il était clair qu'il ne fallait faire aucune suite ? Clairement, à part surfer sur le joli succès du premier, je ne vois pas du tout comment ce film a pu être réalisé. "Alad’2" est une suite que personne n’attendait. Et rien que dans le titre, on sent le manque total d'imagination et d'envie de la part des gens qui ont travaillé sur ce projet. On est sur un long-métrage qui ressemble énormément à son prédécesseur. Certes, c'est plutôt donc joli visuellement et on sent qu'il y avait du budget sur ce projet. Mais en dehors de cela, le film est une catastrophe abyssale. Le travail d'adaptation est toujours aussi raté et c'est, en grande partie, le problème de ce film. Si vous n'avez pas apprécié le premier long-métrage alors fuyez face à celui-ci, ils n'ont clairement pas appris de leurs erreurs. On ne peut pas prendre une licence aussi importante que celle-ci et en faire une énième œuvre oubliable à l'humour gras et sans intelligence, comme on en voit souvent en France. Tout tourne autour de cela d'ailleurs, chaque scène est un sketch et tout va s'enchaîner. On retrouve là une recette bien trop française et bien trop inintéressante. Rien que dans les choix du casting, on y voit déjà des problèmes de toute façon. Par exemple, remettre Ramzy Bedia dans ce projet, alors qu'il jouait déjà un autre personnage dans le premier film, montre déjà le niveau de flemme lors de la production. Quant à Jamel Debbouze, même pas besoin de voir le film pour savoir qu'il ne sera pas dirigé et totalement en roue libre. Ce qui est forcément un problème, son jeu ne collant pas du tout à cet univers. Le film est donc clairement un échec, comme le premier volet, il n'aura bénéficié que d'un budget sympathique pour le rendre plutôt joli. Le reste est un ensemble de débilité sans nom qui ne fait jamais honneur à l'œuvre originale. Pour conclure, une suite toute aussi médiocre
    Stan2408
    Stan2408

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Je peux clairement mettre ce film dans mon catalogue « Navet ». Nous n’avons pas rigolé un seul fois, comme l’ensemble de la salle de cinéma. Le scénario a ni queue ni tête, ce qui est désolant au vu de la promotion attirante qui avait été fait du film.
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2018
    Sans être parfait évidemment, ce film est très bien, c'est un bon divertissement normal, construit, sérieux, amusant.
    Heureusement que je n'ai pas du tout tenu compte des avis négatifs complètement infondés.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 avril 2019
    Une daube sans nom avec un Kev' Adams qui essaye toujours encore autant de forcer le rire sans pour autant avoir d'humour. Histoire tirée en long alors qu'il n'y en aurais pas besoin.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 avril 2019
    Exemple le plus accompli de Blockbuster à la française - pour l’ampleur des moyens numériques déployés, pas pour leur réussite ou leur pertinence - ‘Alad’2’, enfin si ça ne vous dérange pas, je vais dire ‘Aladdin 2’, l’autre, j’ai l’impression que ça me rend complice du gag, est aussi celui de la faillite d’une certaine idée de la comédie familiale populaire. Pour le premier épisode, je m’étais dit, dans un accès de mansuétude, “Bah, ils auront essayé…� mais là, c’est juste pas possible, vous voyez : on peut faire semblant, on peut jouer la tolérance et le relativisme mais ça ne dure qu’un temps. Parce que ‘Aladdin 2’ n’est pas juste nul et intolérable à suivre en tant qu’adulte, il est aussi incompréhensible. Pour moitié, l’humour est juste à ranger dans la catégorie ‘pas drôle’ : on se demande ce qu’il peut y avoir de si hilarant à ce que Aladdin trouve un Capri Sun sans paille plastique dans le désert. On note que le fait que Jamel Debbouze charcute un mot sur deux aurait pu être un clin d’oeil passable à sa carrière passée si ce clin d’oeil ne durait pas une heure trente huit. Enfin, là, au moins, on comprend ce qui a été tenté et qui semble tout neuf (et peut-être terriblement ringard) aux yeux des pré-ados d’aujourd’hui. A d’autres reprises cependant, on reste juste là, abasourdi, les bras ballants, conscient confusément qu’un trait d’humour vient de passer mais incapable de comprendre de quoi il retourne, comme si ‘Aladdin 2’ parlait une langue inconnue, liée à un système de pensée inconnu...à la différence près qu’on ne se sent absolument pas obligé d’éprouver la bienveillance respectueuse qu’entraîne, chez les classes éduquées, l’incompréhension face à l’altérité. Sans doute conscient de sa propre nullité cosmique, ‘Aladdin 2’ tente également de jouer la carte du film d’aventures, et de faire de Kev Adams un personnage un peu héroïque et pas uniquement un ressort comique. Vous noterez que le point de vue à avoir sur cette tentative figure déjà dans la note d’intention. Au terme de cette épreuve, ma fille m’a confessé que c’était moins pire que ce qu’elle s’imaginait et qu’elle avait trouvé le film drôle à quelques reprises. Or, quel est le public-cible majoritaire d’un film comme Aladdin 2 ? Gagné, les 8-12 ans. En raisonnant en terme de stricte logique économique et marketing, on doit donc admettre que dans cette mesure, ‘Aladdin 2’ est “bien pensé�. Et c’est peut-être un des constats les plus terrifiants auxquels je sois jamais parvenu.
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