Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
Quelle liberté dans ce premier film !
L'Express
par Eric Libiot
Les portraits de la famille sont piquants, drôles et démontrent que l'excentricité n'est pas moins nécessaire que la normalité.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un premier film fin et drôle qui nous entraîne en liberté dans les univers du conte initiatique et de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Premier film, extrêmement séduisant, d’une dramaturge australienne fascinée par La Belle au bois dormant et la lecture psychanalytique des contes de fées qu’en a livrée Bruno Bettelheim.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
On craque pour les décors psychédéliques du film, ses dialogues absurdes, ses chorégraphies disco et surtout pour cette gamine pleine de charme.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une fable décapante, intelligente et originale.
Première
par Sylvestre Picard
Mené par une actrice formidable, un premier film onirique et mélancolique, peut-être un peu trop influence par Wes Anderson maîs qui fait de Rosemary Myers une réalisatrice à suivre.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Indépendamment de son statut de petite production, cette fable entre deux âges est un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un premier long joyeusement barré et formidablement prometteur.
Transfuge
par Nathalie Dassa
(...) le casting plein de fraîcheur renforce ce conte merveilleux sur l'enfance parfois simpliste mais toujours attachant, drôle et inventif.
Voici
par La Rédaction
Un conte singulier à la Wes Anderson.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Conte cruel et féérique, ce teen movie décalé et délicieusement kitsch s’inscrit dans la lignée des cinémas de Gondry et Jonze. Il révèle une réalisatrice australienne inspirée dans le registre du baroque et de l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Pêle-mêle, la réalisatrice Rosemary Myers convoque la fantaisie d’un Wes Anderson, l’inspiration d’un Gondry, le grinçant d’un Todd Solondz et ne cesse de surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
"Fantastic Birthday" traduit avec humour et inventivité le malaise de l’adolescence et le sentiment de rejet que ca peut impliquer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Comme dans le burlesque, tout le sens est dans l’image. Rosemary Myers participe de ce vent de fraîcheur qui gagne un cinéma renouant avec ses racines, pour mieux transmettre un souffle de modernité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On s’égare parfois dans son labyrinthe onirique, mais cet étonnant teen movie australien interprété par des comédiens attachants dégage le parfum des histoires commençant par « Il était une fois ».
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Clairement marqué par l’influence de Wes Anderson, le premier film de Rosemary Myers intrigue de prime abord. Mais le manque de relief de son intrigue et le peu d’originalité de son univers laissent le spectateur sur sa faim.
Télérama
par Cécile Mury
Fable pop et discrètement excentrique sur la puberté à l'ère de l'orange, du marron et du disco, "Fantastic Birthday" est une jolie surprise. La réalisatrice mélange allègrement une chronique touchante et caustique (...) et les images mentales d'une jeune fille très imaginative (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le dialogue qui s’instaure est maladroit, l’écriture, incongrue, la scène, inspirée. Il y a malheureusement un film derrière qui dilue les promesses de cette entrée en matière à mesure que ladite Greta fuit la soirée d’anniversaire organisée pour elle par ses parents et plonge dans ses rêveries fantasques d’adolescente mal à l’aise avec l’idée de grandir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier film australien amusant au début puis beaucoup moins dans une veine onirique en carton-pâte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Adapté d’un spectacle destiné aux adolescents, cette fantaisie un peu forcée se repose sur la théorie du psychanalyste Bruno Bettelheim pour circuler dans l’imaginaire d’une collégienne. C’est la satire de la vie de banlieue qui donne au film un certain charme, plus que les séquences oniriques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film se lance dans une telle avalanche de gadgets et de trouvailles naïves qu'à l'arrivée il ressemble un peu à un collier de nouilles.
Libération
par Marcos Uzal
De ceux qu’elle pille allègrement, l’Australienne Rosemary Myers, dont c’est le premier long métrage, semble n’avoir retenu que des effets superficiels, qu’elle rate un à un comme autant de pétards mouillés. Si bien que presque chaque plan (...) est une caricature grimaçante, à l’instar de la plupart des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
Quelle liberté dans ce premier film !
L'Express
Les portraits de la famille sont piquants, drôles et démontrent que l'excentricité n'est pas moins nécessaire que la normalité.
L'Humanité
Un premier film fin et drôle qui nous entraîne en liberté dans les univers du conte initiatique et de la comédie.
La Voix du Nord
Premier film, extrêmement séduisant, d’une dramaturge australienne fascinée par La Belle au bois dormant et la lecture psychanalytique des contes de fées qu’en a livrée Bruno Bettelheim.
Le Parisien
On craque pour les décors psychédéliques du film, ses dialogues absurdes, ses chorégraphies disco et surtout pour cette gamine pleine de charme.
Ouest France
Une fable décapante, intelligente et originale.
Première
Mené par une actrice formidable, un premier film onirique et mélancolique, peut-être un peu trop influence par Wes Anderson maîs qui fait de Rosemary Myers une réalisatrice à suivre.
Rolling Stone
Indépendamment de son statut de petite production, cette fable entre deux âges est un grand film.
Studio Ciné Live
Un premier long joyeusement barré et formidablement prometteur.
Transfuge
(...) le casting plein de fraîcheur renforce ce conte merveilleux sur l'enfance parfois simpliste mais toujours attachant, drôle et inventif.
Voici
Un conte singulier à la Wes Anderson.
aVoir-aLire.com
Conte cruel et féérique, ce teen movie décalé et délicieusement kitsch s’inscrit dans la lignée des cinémas de Gondry et Jonze. Il révèle une réalisatrice australienne inspirée dans le registre du baroque et de l’absurde.
Bande à part
Pêle-mêle, la réalisatrice Rosemary Myers convoque la fantaisie d’un Wes Anderson, l’inspiration d’un Gondry, le grinçant d’un Todd Solondz et ne cesse de surprendre.
Culturopoing.com
"Fantastic Birthday" traduit avec humour et inventivité le malaise de l’adolescence et le sentiment de rejet que ca peut impliquer.
Franceinfo Culture
Comme dans le burlesque, tout le sens est dans l’image. Rosemary Myers participe de ce vent de fraîcheur qui gagne un cinéma renouant avec ses racines, pour mieux transmettre un souffle de modernité.
Le Journal du Dimanche
On s’égare parfois dans son labyrinthe onirique, mais cet étonnant teen movie australien interprété par des comédiens attachants dégage le parfum des histoires commençant par « Il était une fois ».
Les Fiches du Cinéma
Clairement marqué par l’influence de Wes Anderson, le premier film de Rosemary Myers intrigue de prime abord. Mais le manque de relief de son intrigue et le peu d’originalité de son univers laissent le spectateur sur sa faim.
Télérama
Fable pop et discrètement excentrique sur la puberté à l'ère de l'orange, du marron et du disco, "Fantastic Birthday" est une jolie surprise. La réalisatrice mélange allègrement une chronique touchante et caustique (...) et les images mentales d'une jeune fille très imaginative (...).
L'Obs
Le dialogue qui s’instaure est maladroit, l’écriture, incongrue, la scène, inspirée. Il y a malheureusement un film derrière qui dilue les promesses de cette entrée en matière à mesure que ladite Greta fuit la soirée d’anniversaire organisée pour elle par ses parents et plonge dans ses rêveries fantasques d’adolescente mal à l’aise avec l’idée de grandir.
Le Figaro
Un premier film australien amusant au début puis beaucoup moins dans une veine onirique en carton-pâte.
Le Monde
Adapté d’un spectacle destiné aux adolescents, cette fantaisie un peu forcée se repose sur la théorie du psychanalyste Bruno Bettelheim pour circuler dans l’imaginaire d’une collégienne. C’est la satire de la vie de banlieue qui donne au film un certain charme, plus que les séquences oniriques.
Les Inrockuptibles
Le film se lance dans une telle avalanche de gadgets et de trouvailles naïves qu'à l'arrivée il ressemble un peu à un collier de nouilles.
Libération
De ceux qu’elle pille allègrement, l’Australienne Rosemary Myers, dont c’est le premier long métrage, semble n’avoir retenu que des effets superficiels, qu’elle rate un à un comme autant de pétards mouillés. Si bien que presque chaque plan (...) est une caricature grimaçante, à l’instar de la plupart des acteurs.