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    Rodin
    Note moyenne
    3,7
    21 titres de presse
    • Bande à part
    • Femme Actuelle
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Cahiers du Cinéma
    • Closer
    • La Septième Obsession
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche
    • Paris Match
    • Charlie Hebdo
    • Critikat.com
    • La Croix

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Bande à part

    par Jo Fishley

    Vincent Lindon sculpte un Rodin puissant, Izia Higelin trouble de fantaisie l’image névrosée de Camille Claudel, Jacques Doillon magnifie un portrait d’artistes à l’élégance sublime.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Femme Actuelle

    par Sabrina Nadjar

    Jacques Doillon célèbre la precision du geste, la beauté et la sensualité de l'œuvre de Rodin dans ce film magnifique qui lui est consacre.

    L'Humanité

    par Dominique Widemann

    La mise en scène de Jacques Doillon respire par sa rigueur. Costumes, décors et éclairages la servent en tonalités sourdes. Primauté à l’espace et aux déplacements. La forme sculptée semble jaillir de leur conjugaison.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Dans son film qui sort mercredi en salles, Jacques Doillon évite le piège du biopic officiel en suivant les élans intimes et créatifs d’Auguste Rodin, interprété par Vincent Lindon.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Cahiers du Cinéma

    par Nicolas Azalbert

    Si le film de Doillon était une sculpture de Rodin, ce ne serait assurément pas le Monument à Balzac : il ne tend pas à la majesté ni ne veut faire de son modèle un personnage plus grand que nature. Si Rodin était une sculpture de Rodin, ce serait quelque chose de plus modeste, de plus discret et mineur en apparence : La Femme cambrée par exemple.

    Closer

    par La Rédaction

    Un biopic passionnant.

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    Son Rodin, Doillon le cherche comme un sculpteur travaillerait d’après un modèle vivant, ne l’affirme ni le sacralise mais le restitue au présent, aussi bien dans l’action que dans la réflexion.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Sur un sujet délicat - rendre la sculpture vivante à l’écran -, Doillon inverse le point de vue qu’avait adopté le Camille Claudel de Nuytten - Adjani, redonnant à Rodin le regard central, et l’incarnant de façon convaincante dans le corps et les gestes d’un Vincent Lindon habité.

    Le Figaro

    par La Rédaction

    On trouve dans le film jusqu'au moindre geste créateur, jusqu'à la manière dont, par un regard appuyé, l'esprit capte la courbe d'un corps ou le trait caractéristique d'un visage. Cela est passionnant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Parisien

    par Yves Jaeglé

    On n'a jamais le sentiment de regarder un film historique, ni même un biopic - on ne suit le sculpteur que sur une dizaine d'années, de sa rencontre avec Camille Claudel à la réalisation douloureuse de son "Balzac" - mais de se faufiler dans sa vie, au plus près, au présent.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    Portrait austère, mais plus vivant que bien des biopics hollywoodiens, “Rodin” creuse avec patience une vision juste, adulte (et en définitive non dénuée d’émotion) du sculpteur.

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Le plus souvent filmé dans son atelier, son Rodin a la carrure dense, le regard intense et sévère, les mains robustes et l’intériorité puissante de Vincent Lindon. L’acteur et le cinéaste composent à deux un artiste habité, concentré, toujours en recherche, aux aguets, l’esprit et le corps tout entiers tournés vers l’oeuvre à accoucher, à peaufiner, à reprendre, dans une éternelle quête sisyphinenne.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Télérama

    par Pierre Murat

    Engueulades et jeux adolescents : osmose splendide entre la tendresse et l'hystérie, chères au réalisateur.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Alexandre Jourdain

    Jacques Doillon libère toutes ses obsessions et hantises dans un drame sentimental faussement dépouillé. En filigrane, une superbe expérimentation sur la matière, la transcendance et l’amour impossible.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Mais le biopic délicat en demi-teinte est parfois presque évasif. Impression renforcée par la présence aléatoire des personnages, habités par leur art mais marmonnant leur credo. Notamment Vincent Lindon, dont la diction est souvent limite. Cette honorable évocation marque néanmoins par son refus du romanesque.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Grégoire Leménager

    La première mi-temps du film est centrée sur les rapports douloureux de Rodin avec Camille Claudel (Izïa Higelin, dont la présence physique est souvent épatante) : elle est assez grandiloquente, on s'y ennuie poliment. La seconde partie, plus intéressante, enchaîne des scènes plus allusives sans prétendre tout dire (...).

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    Transfiguré, presque mutique, parlant dans sa barbe, Vincent Lindon sculpte son personnage par petites touches, avec force et délicatesse. Rodin, c’est lui.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Réflexion sur la création artistique et sur la place de chacun dans l’histoire d’Art – il est intéressant d’observer comment Auguste Rodin se confronte aux génies de son temps, (...) ce «Rodin» est trop austère et sur la même note d’intention pour séduire un large public.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Charlie Hebdo

    par Sigolène Vinson

    Le tout est plus bancal que "La Méditation sans bras" du sculpteur.

    Critikat.com

    par Fabien Reyre

    La démarche est radicale, pour un résultat moins passionnant qu’il ne devrait l’être.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Ce film bancal, en permanent déséquilibre, qui baigne dans une lumière grise d’atelier et ne s’éclaire guère dans les extérieurs, est recouvert d’un voile terne. Un comble pour évoquer la vie de ce couple dont les œuvres dégagent une telle puissance d’émotions qu’à s’en approcher, on sent toujours le cœur battre et la vie palpiter sous la matière transfigurée.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix
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