Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Discret mais pas anodin, le premier long métrage de Dominique Rocher construit étape par étape un récit de survie qui ne cherche ni à « renouveler le genre » ni à faire les pieds au mur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Inventif et maîtrisé, "La Nuit a dévoré le monde" marie avec habileté le cinéma français et le film de zombie, pour un résultat intense, en prise direct avec les angoisses hexagonales.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Certes, Dominique Rocher n'est pas le premier français à s'attaquer au genre, mais il est le seul, à ce jour, à égaler l'efficacité visuelle d'un George Romero ("La Nuit des morts vivants") ou d'un Danny Boyle ("28 jours plus tard").
Le Figaro
par La Rédaction
Avec son premier film, Dominique Rocher revisite le mythe du mort-vivant. Un pari audacieux et maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Marine Quinchon
Un film singulier, hybride entre un film de zombies et un film de survie, drame réaliste et d'horreur.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Entre le survival et le film de zombies, une réinterprétation brillante des codes du film de genre qui joue la carte du réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Même s’il ne révolutionne pas le genre, ce film, qui a la modestie de ne pas chercher à singer ses modèles américains, contient au moins une idée géniale : avoir demandé à Denis Lavant d’interpréter un zombie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Avec « La nuit a dévoré le monde », en compétition au festival Premiers plans d’Angers, Dominique Rocher renouvelle le genre du film fantastique et des films de zombies, pour aborder le thème de la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Karelle Fitoussi
A la fois satire sociale et film (très musical !) de zombies en immeuble haussmannien, « La nuit a dévoré le monde » invente ses codes pour nous mener aux confins de la folie et de la misanthropie. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Un film de zombies austère ? Le paradoxe est audacieux et témoigne de l'ambition de ce premier long métrage français.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Premier long-métrage de Dominique Rocher, adapté du roman de Pit Agarmen, ce film de zombies est habilement tiré vers la fable d’initiation.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Une brillante accélération finale fait battre le cœur et l’on ressort de l’aventure vraiment mordu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Ce premier film prometteur interroge sur la peur de l’autre et l’isolement dans lequel nous enferme une telle posture dans laquelle on n’aime pas se reconnaître. En l’occurrence, les autres sont des zombies. Forcément, ça aide à s’identifier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Un film de zombies tendance 'auteur français' qui contribue à la diversité du cinéma de genre mais manque de mordant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Corentin Lê
La véritable idée du film se trouve là : celle d’envisager l’apocalypse comme la représentation de l’espace mental de Sam, pour mieux revisiter l’allégorie sociale du film de zombie par le prisme de la misanthropie parisienne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dominique Rocher utilise essentiellement le genre comme repoussoir dans cette œuvre post-apocalyptique qui prime par son ludisme et son décor (Paris désert, un immeuble vide, une menace diffuse).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par L.V.
Jusqu’où irait-on pour un semblant de compagnie ? Comment se construire un monde intérieur face à un univers hostile ? Dominique Rocher répond avec des scènes intéressantes et sensibles.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, paranoïaque et extrêmement réaliste, fait preuve d’une belle inventivité pour renouveler la dramaturgie et gratifie le spectateur d’audaces visuelles stimulantes.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le premier long-métrage de Dominique Rocher, réalisé avec de petits moyens, est un exercice de style réussi.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
On est frappé par un classicisme impeccable de la mise en scène antichoc, aux mouvements lents, presque doux, éthérés, dont l’horreur est avant tout picturale, comme ces traces de sang sur un mur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Dominique Rocher ose et réussit une réinvention du genre en mode naturaliste et minimaliste.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
La nuit a dévoré le monde, mais, passé l'intrigante exposition et son écho glaçant aux récents attentats qui ont touché la capitale, c'est l'ennui qui ronge le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
On se retrouve devant un énième film d’auteur parisien – avec des zombies.
Culturopoing.com
Discret mais pas anodin, le premier long métrage de Dominique Rocher construit étape par étape un récit de survie qui ne cherche ni à « renouveler le genre » ni à faire les pieds au mur.
Ecran Large
Inventif et maîtrisé, "La Nuit a dévoré le monde" marie avec habileté le cinéma français et le film de zombie, pour un résultat intense, en prise direct avec les angoisses hexagonales.
L'Express
Certes, Dominique Rocher n'est pas le premier français à s'attaquer au genre, mais il est le seul, à ce jour, à égaler l'efficacité visuelle d'un George Romero ("La Nuit des morts vivants") ou d'un Danny Boyle ("28 jours plus tard").
Le Figaro
Avec son premier film, Dominique Rocher revisite le mythe du mort-vivant. Un pari audacieux et maîtrisé.
Le Parisien
Un film singulier, hybride entre un film de zombies et un film de survie, drame réaliste et d'horreur.
Les Fiches du Cinéma
Entre le survival et le film de zombies, une réinterprétation brillante des codes du film de genre qui joue la carte du réalisme.
Libération
Même s’il ne révolutionne pas le genre, ce film, qui a la modestie de ne pas chercher à singer ses modèles américains, contient au moins une idée géniale : avoir demandé à Denis Lavant d’interpréter un zombie.
Ouest France
Avec « La nuit a dévoré le monde », en compétition au festival Premiers plans d’Angers, Dominique Rocher renouvelle le genre du film fantastique et des films de zombies, pour aborder le thème de la solitude.
Paris Match
A la fois satire sociale et film (très musical !) de zombies en immeuble haussmannien, « La nuit a dévoré le monde » invente ses codes pour nous mener aux confins de la folie et de la misanthropie. Impressionnant.
Positif
Un film de zombies austère ? Le paradoxe est audacieux et témoigne de l'ambition de ce premier long métrage français.
Sud Ouest
Premier long-métrage de Dominique Rocher, adapté du roman de Pit Agarmen, ce film de zombies est habilement tiré vers la fable d’initiation.
Télérama
Une brillante accélération finale fait battre le cœur et l’on ressort de l’aventure vraiment mordu.
aVoir-aLire.com
Ce premier film prometteur interroge sur la peur de l’autre et l’isolement dans lequel nous enferme une telle posture dans laquelle on n’aime pas se reconnaître. En l’occurrence, les autres sont des zombies. Forcément, ça aide à s’identifier.
CinemaTeaser
Un film de zombies tendance 'auteur français' qui contribue à la diversité du cinéma de genre mais manque de mordant.
Critikat.com
La véritable idée du film se trouve là : celle d’envisager l’apocalypse comme la représentation de l’espace mental de Sam, pour mieux revisiter l’allégorie sociale du film de zombie par le prisme de la misanthropie parisienne.
L'Humanité
Dominique Rocher utilise essentiellement le genre comme repoussoir dans cette œuvre post-apocalyptique qui prime par son ludisme et son décor (Paris désert, un immeuble vide, une menace diffuse).
La Voix du Nord
Jusqu’où irait-on pour un semblant de compagnie ? Comment se construire un monde intérieur face à un univers hostile ? Dominique Rocher répond avec des scènes intéressantes et sensibles.
Le Journal du Dimanche
Le récit, paranoïaque et extrêmement réaliste, fait preuve d’une belle inventivité pour renouveler la dramaturgie et gratifie le spectateur d’audaces visuelles stimulantes.
Le Monde
Le premier long-métrage de Dominique Rocher, réalisé avec de petits moyens, est un exercice de style réussi.
Les Inrockuptibles
On est frappé par un classicisme impeccable de la mise en scène antichoc, aux mouvements lents, presque doux, éthérés, dont l’horreur est avant tout picturale, comme ces traces de sang sur un mur.
Première
Dominique Rocher ose et réussit une réinvention du genre en mode naturaliste et minimaliste.
L'Obs
La nuit a dévoré le monde, mais, passé l'intrigante exposition et son écho glaçant aux récents attentats qui ont touché la capitale, c'est l'ennui qui ronge le spectateur.
La Septième Obsession
On se retrouve devant un énième film d’auteur parisien – avec des zombies.