AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
22 titres de presse
-
Femme Actuelle
-
Bande à part
-
L'Humanité
-
L'Obs
-
La Voix du Nord
-
Le Dauphiné Libéré
-
Le Figaro
-
Le Parisien
-
Libération
-
Ouest France
-
Paris Match
-
Positif
-
Rolling Stone
-
aVoir-aLire.com
-
Critikat.com
-
Le Figaroscope
-
Première
-
Studio Ciné Live
-
Télérama
-
Le Monde
-
Les Fiches du Cinéma
-
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Femme Actuelle
Racontée à hauteur des deux fillettes, cette chronique familiale constitue une belle surprise.
Bande à part
Jamais caricatural, le film, sous ses allures de chronique ordinaire, plonge au cœur des sentiments contrastés de chacun, du combat quotidien des femmes pour se faire accepter telles qu’elles sont, du machisme sous-jacent d’une société entière.
L'Humanité
POUR : Ce récit sur l’évolution et l’adolescence est touchant et profond.
L'Obs
Evitant l’écueil de la fiction sur la reconnaissance des familles homoparentales, "Rara" est avant tout le portrait délicatement acide d’une jeune fille en proie à la confusion de son âge, qui affronte le regard des autres sur une différence qu’elle n’avait jamais ressentie et qui fait l’apprentissage de la responsabilité de ses actes.
La Voix du Nord
La réalisatrice chilienne Pepa San Martin traite de l’homoparentalité en adoptant le point de vue des enfants. Il y a Sara, en pleine crise d’adolescence. Et Cata, encore protégée par l’innocence de l’enfance, qui ne saisit pas tout à fait l’enjeu de ce qui se passe autour d’elle.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet délicat, un film d’une justesse parfaite, qui évite le piège du film à thèse tout en sensibilisant aux questions qu’il soulève.
Le Figaro
La réalisatrice chilienne s'est inspirée d'une histoire vraie pour un premier long-métrage qui émeut et fait réfléchir.
Le Parisien
Extrêmement juste, formidablement joué, ce film même les thèmes de l’adolescence et de l’homoparentalité avec beaucoup d’émotion.
Libération
Comparés aux deux gamines débordantes d'énergie, les personnages d'adultes sont sacrifiés, c'est l'un des défauts du film. Mais "Rara" ("bizarre") échappe à la démonstration militante par son propos nuancé, où les écueils psychologiques pèsent davantage que les arguties juridiques.
Ouest France
Une très jolie surprise.
Paris Match
(Une) chronique sensible et émouvante sur l'homoparentalité (...).
Positif
Enfants et adultes sont d’un naturel étonnant, les scènes de disputes et de réconciliation sonnent vraies. Modeste, sensible, attachant : pas mal pour un premier film !
Rolling Stone
Tout cela est abordé avec une certaine finesse, sans morale et avec une profonde humanité qui n'oublie pas, mine de rien, d'être engagée.
aVoir-aLire.com
Ce très beau premier film, qui sonde la complexité des familles d’aujourd’hui, a le mérite de ne pas gâcher avec une maladresse démonstrative la force de ses engagements.
Critikat.com
(...) c'est davantage le quotidien banal de cette famille normale dont le mode de vie est arbitrairement remis en question qui constitue la matrice de ce film généreux, empathique mais ne tombant jamais pour autant dans le lénifiant.
Le Figaroscope
Au Chili, une juge a perdu la garde de ses filles à cause de son homosexualité. Forte de témoignages de parents séparés, la cinéaste a opté pour la fiction pour évoquer ce sujet. Elle espère ainsi influer sur les idées conservatrices de son pays.
Première
Ce joli film, qui épouse le point de vue d’une préado, évite le plaidoyer pro domo pour livrer une réflexion sensible sur la différence et la tolérance.
Studio Ciné Live
Réflexion jsute sur l'homoparentalité, "Rara" séduit par sa délicatesse malgré un rythme défaillant.
Télérama
Pour son premier long-métrage, la réalisatrice signe une chronique tendre, aux enjeux prévisibles, mais à la mise en scène délicate.
Le Monde
Porté par la jeune actrice Julia Lübbert dans le rôle-titre, le film de Pepa San Martin trouve ses limites dans une approche trop sociologique.
Les Fiches du Cinéma
On comprend la nécessité de se faire le relais d’une histoire vraie aussi scandaleuse, moins d’avoir fait un film aussi atone.
L'Humanité
CONTRE : Ça crie, ça bouge, ça se chamaille. Un écran de fumée, car, en réalité, on ne sort pas du sujet à la mode : la défense des homosexuel-le-s, mal accepté-es par la société traditionnelle. Pas l’ombre d’une idée de cinéma.