Avis : 24H Limit - Page 3

il manque de rythme , d'originalité , d'humour de vraisemblances....à part E.Hawke et la l'actrice Hong -Kongaise .rien à voir

Film mediocre, je m'attendais à un film où ça tire dans tous les sens mais celui la est particulièrement nul et laisse présager un deuxième volet

Une sacrée déception, je m'attendais à du Hyper tension avec Jason Statham et je me retrouve face à une production plus que médiocre, au scénario téléphoné, aux situations faciles, aux traîtrises cousue de cordes blanches, même pas des fils!
Et puis surtout Ethan Hawke ne tient pas la route, il n'est pas du tout crédible. J'ai perdu mon temps.

Certes nous avons le droit à un scénario pas franchement très crédible, mais fort heureusement il y a dans ce long-métrage la performance intense d'Ethan Hawke et la présence de très bonne séquence d'action qui relève le niveau. A voir même si l'ensemble n'a donc rien d'indispensable.

Un film de série B classique : ça tire, ça bastonne et le scénario ne casse pas trois pattes à un canard... Mais c'est divertissant.

Bon film d'action. Mélange de vengeance et de rédemption. On y trouve un code d'honneur entre 2 patriotes partagés entre amitié et vénalité. Le pouvoir de l'argent est omniprésent ainsi que ce qu'il peut conduire à faire... Dommage que le scénario soit linéaire et qu'il n'y ait pas vraiment de surprise quant au déroulement de l'histoire.

ça part comme un thriller classique (tueur à gage qui veulent éliminer des témoins) puis ça tourne au thriller de science fiction quand le héros meurt. Il se retrouve avec 24 de vie en plus avant de remourir définitivement. Ce pitch est bon et original mais au final c'est prévisible. Les tirs font penser à un jeux video de type FPS (des personnages sortent dans tous les coins pour se faire tuer d'une balle dans la tête). D'ailleurs c'est un peu tout le film qui ressemble à un jeux vidéo tellement ça canarde de partout. Un film d'action correct sans être inoubliable.

Un polar de science-fiction qui a un léger goût d'exploitation du succès du film "John Wick". A savoir, une histoire d'assassins, de société parallèle, avec gunfight à outrance et un acteur connu dont la carrière bat de l'aile Ethan Hawke.
Il n'y a guère d'originalité dans le projet même si le côté science-fiction lui donne des airs de série B finalement pas désagréable à regarder si l'on est pas trop exigeant. Car le scénario multiplie les facilités de narrations, exagère les bastons et autres situations abracadabrantes. Pour passer un moment sans se prendre la tête, après tout pourquoi pas.

Franchement, ce "24h limit" est plutôt convaincant et saupoudre d'un zest de science-fiction un scénario plutôt classique. Les scènes d'action sont assez léchées et les acteurs très bons, à commencer par Ethan Hawke. Il y a bien une ou deux passages incohérents et ratés (le détournement dans le township), mais l'ensemble fonctionne bien. Pas inoubliable mais se laisse voir sans déplaisir.

Film d'action terriblement classique, au héros brisé, qui surf sur le schéma John Wick. C'est du vu 1000 fois, et c'est relativement soporifique...

Les producteurs donnent du crédit comme ils jouent au poker, sans cartes en main. En par-dessus tout, ils tentent de buffler le public dans ces conditions. Ce constat est déplorable et le réalisateur de « Hero Wanted » récolte les méandres d’une mauvaise distribution de scénarios. Brian Smrz tente tout de même de donner un souffle à ce film, où l’action serait le substitue qui compenserait les manques dans la narration. Hélas, la seconde casquette de cascadeur ne parvient pas à rendre l’aventure d’une rédemption entrainante, en plus d’une morale noyée dans un mauvais premier degré.

Red Mountain est une agence indépendante, où des tueurs à gages opèrent pour le compte de leur employeur. Certains sont des vétérans reconvertis pour plus de flexibilité et d’autres ne sont que des sbires, prêts à se faire fusiller pour le bien-être du visionnage. Travis Conrad (Ethan Hawke) est l’un de ces vétérans, rongé par le métier mais surtout par le passé où il resasse les moments intimes avec sa femme et son jeune fils. A partir de ce postulat, il est évident qu’une quête pour la rédemption sera à l’œuvre. Et sans tourner autour du pot, l’intrigue nous sert une escapade aussi prévisible que les promesses non tenues par le film. Basé sur le succès de la saga « John Wick », il y avait certainement un profit à tirer de cette expérience qui a réveillé le grand public. Or, la formule n’est pas aussi bien distillée que pour le célèbre tueur à gage, qui a mis la barre très haute. Pourtant, on ne cherche pas d’excuse et on travaille avec les outils en mains.

Le concept devait capter notre attention, ce qui se fait. Cependant, côté contenu, ce n’est pas la joie. Le potentiel s’effondre dès l’instant où le récit se prend trop au sérieux. Ce qui est à double tranchant lorsque qu’on manque de consistance dans la contextualisation et la mise en place des enjeux. 24 heures au plus pour se racheter, Travis épouse les armes pour un dernier assaut et une lutte bancale. Confus dès les premières vingt minutes, le récit poursuit avec un ton et une paresse d’écriture si banale qu’on perd patience.

Les interactions au sein de la société de tueurs est une souche à trahison et de complot. Il y a matière à pondre du concret, limitant des montées d’adrénaline… et il n’en est rien. Ce qui est dommage, car ce qui doit notamment séduire, c’est cette complicité entre ces tueurs. Un code d’honneur en ressort, mais la démarche de Smrz ne fonctionne malheureusement pas ici. Au cœur de la mêlé, on ne cherche pas à surprendre par la technicité, car on ne cherche pas à surprendre tout court. Le fil rouge se tisse au fur et à mesure que l’on saccade le rythme avec des traumatismes qui ne peuvent pas tout justifier. Cela a pour but de donner plus de corps à l’anti-héros sur ses derniers instants et de lui rendre justice, mais ni dans l’intention, ni dans les dialogues on ne ressent une telle crédibilité. « 24h Limit » est malencontreusement oubliable, sous ses faux airs de films d’action, n’essayant même pas d’atteindre le niveau de série B. Paresseux à ses heures perdues, l’intrigue est incomplète et ne suffit pas à rendre le divertissement acceptable, malgré toute la tolérance d’un bon public.

« 24h limit » est un film d'action Hollywoodien, tourné en 2017 par Brian SMRZ, réalisateur de seconde équipe sur quelques blockbusters comme « Die Hard 4 » ou la franchise « X-Men ». Bien que l'objectif (totalement assumé) se limite strictement au divertissement pur et dur... le scénario est suffisamment bien ficelé pour qu'on se laisse prendre au piège. Du coup, on suit avec plaisir les mésaventures de ce tueur professionnel, récemment endeuillé par la perte de sa femme et de son petit garçon. Les scènes d'action survoltées se succèdent sans le moindre temps mort et les cadavres de méchants s'empilent avec une régularité d'horloge Suisse. Côté interprétation, Ethan Hawk fait le job avec crédibilité et l'actrice Chinoise Xu Qing apporte une petite touche féminine assez bienvenue. Dans ses meilleurs scènes de « gunfight », le film peut faire penser à « John Wick »... mais là je suis à mon maximum. Idéal, toutefois, pour faire passer le temps... par un samedi après-midi pluvieux du mois de mars.

Un réalisateur au nom imprononçable (il n'y a que des consonnes) mais qui sait se débrouiller au niveau des scènes d'action (ancien cascadeur sur des Marvel) et Ethan Hawke qui accumule les films d'action depuis quelques années ? Ça donne effectivement un film qui sait se montrer généreux au niveau des fusillades. Hawke dégomme de l'homme de main proprement et simplement comme dans un bon vieux jeu de tir (comme par hasard, le type a fait l'Afghanistan, l'Irak, avec ça, tu peux tout expliquer). Le reste du temps, il meuble comme il le peut en pleurnichant sur le bon vieux temps où il avait encore sa femme et son fils près de lui. Le traitement en est particulièrement naïf. Du coup, on guette les scènes d'action qui mettent du temps à arriver. Je ne sais pas si ça paie bien d'enchaîner les sous-John Wick. Ethan Hawke y prend peut-être du plaisir en assurant le minimum syndical. Pour un acteur de sa trempe, j'aimerais bien le voir dans d'autres productions et, après tout, il a bien le droit de s'offrir une petite récréation de temps en temps en partageant l'affiche avec une jolie asiatique uniquement là parce que, sans vouloir être mauvaise langue, c'est Saban qui produit et qui espère que ça se vendra mieux là-bas avec une chinoise au casting.

24 H limit peine de part une réalisation faiblarde et des scènes d’actions assez violente limitant l’âge du public pour un film d’action.
Même si le scénario est sympa et ne manque pas de rebondissements.

pas mal si ce n'était pas gâché par des acteurs de doublage de seconde zone. où est passé la voix de doublage officielle de Liam Cuningham? le remplaçant donné l'impression de réciter et non pas de jouer.