Mon compte
    Corps étranger
    Note moyenne
    3,1
    21 titres de presse
    • Culturopoing.com
    • Franceinfo Culture
    • Libération
    • Marianne
    • Paris Match
    • Positif
    • Transfuge
    • Télérama
    • L'Express
    • L'Obs
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Studio Ciné Live
    • Télé 2 semaines
    • Critikat.com
    • La Croix
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Première
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Culturopoing.com

    par Emna Mrabet

    C’est sans doute cela qu’exhument si bien les films de Raja Amari depuis "Satin Rouge" jusqu’à "Corps Etranger" en passant par "Les Secrets" : signifier qu’une libération du joug social ne peut se faire sans une libération de soi-même et de son corps.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Un très beau film réalisé sur le mode d’une fugue musicale. Sensible, beau et passionnant.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Libération

    par Luc Chessel

    La ronde permanente que nous propose "Corps étranger" brouille son propos mais accentue sa force de séduction ; c’est sans doute que la séduction est son seul vrai sujet, en lieu et place d’un quelconque propos, forcément quelconque.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marianne

    par Olivier de Bruyn

    La cinéaste tunisienne dresse le portrait sensible d'une clandestine en quête de nouveaux repères.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    La réalisatrice du «Satin rouge» Raja Amari signe deux beaux portraits de femmes qui se lient malgré les différences sociales contre l'emprise des hommes.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Olivier De Bruyn

    Un film audacieux qui, d'un point de vue politique comme intime, mérite d'être découvert.

    Transfuge

    par Damien Aubel

    "Corps étranger" est bien un "film sur", sur l'émigration clandestine. Mais à sa façon : par une image, à la fois visuelle et poétique. Ça s'appelle du cinéma.

    Télérama

    par Louis Guichard

    (...) un cinéma social, mais où la dureté du monde n’a pas encore anéanti la libido des per­sonnages.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    L'Express

    par Antoine Le Fur

    Tout bascule à mi-chemin lorsque la réalisatrice se pique d'injecter de la sensualité à l'histoire. Le propos de "Corps étranger", jusqu'ici assez intéressant, devient clairement anecdotique.

    L'Obs

    par Jérôme Garcin

    Autour de ce trio inédit et troublant, la Tunisienne Raja Amari ("Satin rouge") réussit à concilier, avec une caméra très souple, la peur et le désir, l'austérité et la sensualité, le drame et la comédie, ainsi que deux générations d'exilées, de "corps étrangers", que tout oppose.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Figaro

    par La rédaction

    En hésitant entre politique - veut-elle transmettre un ou plusieurs messages? - et intime, Raja Amari cinéaste s'aventure dans une complexité inutile et reste ainsi à la surface des choses. Dommage.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    L’immigration, la clandestinité, la radicalisation, l’émancipation, la sexualité, la réalisatrice de "Satin rouge" brasse beaucoup de sujets dans ce drame. Trop sans doute.

    Le Parisien

    par Pierre Vavasseur

    Il y a un fil qu'il ne faut pas perdre de vue, au risque d'être déconcerté par les diverses pistes qu'il emprunte, c'est son titre. Car il n'est question ici, comme en musique, que d'une série de variations sur la sensualité.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    "Corps étranger" est un film d'atmosphère, transcendant la simple analyse sociétale frontale, porté par trois personnages aux liens troubles et troublants.

    Télé 2 semaines

    par Maryvonne Ollivry

    Magnifique Hiam Abbass.

    Critikat.com

    par Clément Graminiès

    (...) malgré l'impeccable direction d'acteurs, les enjeux peinent à s'incarner pleinement, prisonniers d'un rapport de forces trop schématique pour véritablement troubler.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    La Croix

    par La rédaction

    Au portrait convaincant de deux femmes, l’une sans papier l’autre intégrée, ce film ajoute trop de thèmes qui lui font perdre de sa force.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    "Corps étranger" se perd dans dans un bouillonnement de désirs et de retournements, d’où surgissent des références à l’histoire récente de la Tunisie, des observations – souvent pertinentes – sur la place que fait la France à ceux qui la choisissent, sans que ces éléments se fondent en un récit convaincant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Corentin Lê

    Le film de Raja Amara s’empêtre, sans aucune fulgurance, dans un érotisme plat. Les corps, inertes et flasques, paraissent inhabités.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Première

    par Thierry Chèze

    Pour incarner ces personnages bouillonnants de l'intérieur, il fallait un trio aussi à l'aise dans la douceur que la douleur, la sensualité que la dureté. Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi répondent brillamment à ces critères. Mais ils ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Première

    par Thierry Chèze

    Hiam Abbass, Salim Kechiouche et Sarra Hanachi (...) ne font qu’insuffisamment oublier les quelques coups de mou du récit, conséquence inévitable de cette volonté de suggérer et de vagabonder plutôt que de clamer et dénoncer.

    La critique complète est disponible sur le site Première
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top