Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La composition sans fausse note de Reda Kateb s'accompagne d'une bande-son qui donne envie de swinguer.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Plutôt que le biopic hagiographique attendu, un film qui a la belle idée de replacer Django dans le contexte tragique du sort réservé aux Tsiganes par les nazis, y trouvant une densité que renforce encore l’étonnante composition de Reda Kateb.
Closer
par La Rédaction
En 1943, le guitariste virtuose Django Reinhardt fait swinguer le Tout-Paris aux Folies Bergère. Excellent.
L'Humanité
par La Rédaction
À travers le guitariste Django Reinhardt, admirablement incarné par Reda Kateb, le film d’Étienne Comar évoque la tragédie des Tsiganes durant la Seconde Guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Derrière ce portrait, un auteur méticuleux conscient de la responsabilité qui lui incombe, l’époque étant particulièrement fertile en zones d’ombre. Par ses partis pris éthiques et formels mûrement réfléchis, Étienne Comar s’impose.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Libéré de l'énorme travail qu'il a accompli en amont, Reda Kateb fait renaître le prince gitan dans sa grandeur et ses paradoxes. Cécile de France est une icône des années 1950. Le suspense joue à plein et les seconds rôles sonnent juste. Tout ceci fait un accord parfait.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Michel Oriot
Un Reda Kateb lumineux.
CNews
par La Rédaction
Le choix de Reda Kateb pour incarner Django est justifié dans ce biopic qui se focalise sur une courte période de la vie du guitariste. Même s’il manque un peu de souffle et d’émotion à la mise en scène, cette histoire, qui rappelle le sort des Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale, mérite d’être racontée.
L'Obs
par François Forestier
Etienne Comar, qui signe ici son premier film (un poil trop long), donne à Reda Kateb un de ses plus beaux rôles. L’acteur porte le film dans chaque plan. On redécouvre avec bonheur l’étrange personnage que fut Django, diva, joueur, infidèle, attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier long-métrage comme réalisateur, le scénariste Étienne Comar (Des hommes et des dieux, Mon Roi) mêle biographie et devoir de mémoire. Une reconstitution qui manque de swing.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Éric Mandel
(...) Reda Kateb campe avec une élégante nonchalance un homme secret, obsédé par sa musique, indifférent aux contingences extérieures (...). Mais en se concentrant sur ces deux années, Étienne Comar laisse de côté des épisodes fascinants du parcours de Django – son enfance, sa rencontre avec Stéphane Grappelli, sa période américaine.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
“Django” n’est pas la biographie filmée que laissait espérer son titre. La musique et un Reda Kateb admirables pâtissent d’un scénario approximatif et d’une mise en scène convenue.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Porté par un Reda Kateb ultra investi, ce biopic somme toute classique a le mérite d'interroger une période peu connue de la carrière du guitariste.
Voici
par La Rédaction
L'histoire d'un homme seul, entravé par son génie, rattrapé par l'Histoire. Reda Kateb est splendide.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Malgré la tension qui s’accentue, le récit reste linéaire et la réalisation sans panache continue à ronronner dans une totale indifférence, laissant au spectateur la frustrante sensation d’être abandonné au bord de l’action.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Le film rate le virage du romanesque, notamment avec le personnage inventé de Louise de Klerk (…). À trop remplir de fonctions, le personnage devient pur fantasme de fiction, trop gros pour convaincre, pas assez incarné pour séduire.
Critikat.com
par Nicola Brarda
Si Reinhardt enchanta peut-être son époque, le biopic d'Étienne Comar, lui, a perdu sa magie en chemin.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Certaines répliques sonnent maladroitement, certaines options de mise en scène sont trop démonstratives, comme ces applaudissements à Paris brutalement interrompus par l’exécution d’un vieux tsigane dans une forêt des Vosges. Il reste, par-delà ces images, la sensation de n’avoir pu cerner un être complexe et insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une charge un peu lourde pour le guitariste manouche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est une belle histoire que raconte Comar. Hélas, on ne peut pas dire que la mise en scène suive, qu’elle se montre à la hauteur de l’enjeu (…) Heureusement, il y a les scènes musicales, totalement galvanisantes. Et puis un acteur exceptionnel, proprement génial : Reda Kateb, dont on connaissait évidemment le talent, mais qui prend ici son envol, passe à la vitesse supérieure.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Et le film de dérouler sa petite musique tel un piano mécanique, sans fausses notes. Il manque à ce biopic en ré mineur une véritable incarnation, un moment de bascule où la douceur impressionniste des scènes au quotidien ferait place à la viscéralité de la guerre et à ses terribles ambiguïtés.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pas assez de mordant, trop de ronds de jambe. Réda Kateb n’est pas en cause, il incarne le musicien avec son charme irrésistible et sa souplesse de chat. Mais "Django" ne prend pas, jamais. Il a la musique, les acteurs, la partition. Il lui manque la grâce, le swing.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Cet épisode méconnu, en soi intéressant sur les pièges tendus aux artistes en temps de guerre, méritait un chapitre. En faire tout un film s'avère une fausse bonne idée. Quid du talent de Django, de ce qu'il a apporté à l'histoire du jazz ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
La composition sans fausse note de Reda Kateb s'accompagne d'une bande-son qui donne envie de swinguer.
Le Dauphiné Libéré
Plutôt que le biopic hagiographique attendu, un film qui a la belle idée de replacer Django dans le contexte tragique du sort réservé aux Tsiganes par les nazis, y trouvant une densité que renforce encore l’étonnante composition de Reda Kateb.
Closer
En 1943, le guitariste virtuose Django Reinhardt fait swinguer le Tout-Paris aux Folies Bergère. Excellent.
L'Humanité
À travers le guitariste Django Reinhardt, admirablement incarné par Reda Kateb, le film d’Étienne Comar évoque la tragédie des Tsiganes durant la Seconde Guerre mondiale.
La Voix du Nord
Derrière ce portrait, un auteur méticuleux conscient de la responsabilité qui lui incombe, l’époque étant particulièrement fertile en zones d’ombre. Par ses partis pris éthiques et formels mûrement réfléchis, Étienne Comar s’impose.
Le Parisien
Libéré de l'énorme travail qu'il a accompli en amont, Reda Kateb fait renaître le prince gitan dans sa grandeur et ses paradoxes. Cécile de France est une icône des années 1950. Le suspense joue à plein et les seconds rôles sonnent juste. Tout ceci fait un accord parfait.
Ouest France
Un Reda Kateb lumineux.
CNews
Le choix de Reda Kateb pour incarner Django est justifié dans ce biopic qui se focalise sur une courte période de la vie du guitariste. Même s’il manque un peu de souffle et d’émotion à la mise en scène, cette histoire, qui rappelle le sort des Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale, mérite d’être racontée.
L'Obs
Etienne Comar, qui signe ici son premier film (un poil trop long), donne à Reda Kateb un de ses plus beaux rôles. L’acteur porte le film dans chaque plan. On redécouvre avec bonheur l’étrange personnage que fut Django, diva, joueur, infidèle, attachant.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage comme réalisateur, le scénariste Étienne Comar (Des hommes et des dieux, Mon Roi) mêle biographie et devoir de mémoire. Une reconstitution qui manque de swing.
Le Journal du Dimanche
(...) Reda Kateb campe avec une élégante nonchalance un homme secret, obsédé par sa musique, indifférent aux contingences extérieures (...). Mais en se concentrant sur ces deux années, Étienne Comar laisse de côté des épisodes fascinants du parcours de Django – son enfance, sa rencontre avec Stéphane Grappelli, sa période américaine.
Les Fiches du Cinéma
“Django” n’est pas la biographie filmée que laissait espérer son titre. La musique et un Reda Kateb admirables pâtissent d’un scénario approximatif et d’une mise en scène convenue.
Rolling Stone
Porté par un Reda Kateb ultra investi, ce biopic somme toute classique a le mérite d'interroger une période peu connue de la carrière du guitariste.
Voici
L'histoire d'un homme seul, entravé par son génie, rattrapé par l'Histoire. Reda Kateb est splendide.
aVoir-aLire.com
Malgré la tension qui s’accentue, le récit reste linéaire et la réalisation sans panache continue à ronronner dans une totale indifférence, laissant au spectateur la frustrante sensation d’être abandonné au bord de l’action.
Cahiers du Cinéma
Le film rate le virage du romanesque, notamment avec le personnage inventé de Louise de Klerk (…). À trop remplir de fonctions, le personnage devient pur fantasme de fiction, trop gros pour convaincre, pas assez incarné pour séduire.
Critikat.com
Si Reinhardt enchanta peut-être son époque, le biopic d'Étienne Comar, lui, a perdu sa magie en chemin.
La Croix
Certaines répliques sonnent maladroitement, certaines options de mise en scène sont trop démonstratives, comme ces applaudissements à Paris brutalement interrompus par l’exécution d’un vieux tsigane dans une forêt des Vosges. Il reste, par-delà ces images, la sensation de n’avoir pu cerner un être complexe et insaisissable.
Le Monde
Une charge un peu lourde pour le guitariste manouche.
Les Inrockuptibles
C’est une belle histoire que raconte Comar. Hélas, on ne peut pas dire que la mise en scène suive, qu’elle se montre à la hauteur de l’enjeu (…) Heureusement, il y a les scènes musicales, totalement galvanisantes. Et puis un acteur exceptionnel, proprement génial : Reda Kateb, dont on connaissait évidemment le talent, mais qui prend ici son envol, passe à la vitesse supérieure.
Première
Et le film de dérouler sa petite musique tel un piano mécanique, sans fausses notes. Il manque à ce biopic en ré mineur une véritable incarnation, un moment de bascule où la douceur impressionniste des scènes au quotidien ferait place à la viscéralité de la guerre et à ses terribles ambiguïtés.
Sud Ouest
Pas assez de mordant, trop de ronds de jambe. Réda Kateb n’est pas en cause, il incarne le musicien avec son charme irrésistible et sa souplesse de chat. Mais "Django" ne prend pas, jamais. Il a la musique, les acteurs, la partition. Il lui manque la grâce, le swing.
Télérama
Cet épisode méconnu, en soi intéressant sur les pièges tendus aux artistes en temps de guerre, méritait un chapitre. En faire tout un film s'avère une fausse bonne idée. Quid du talent de Django, de ce qu'il a apporté à l'histoire du jazz ?