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    Killers of the Flower Moon
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    951 critiques spectateurs

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    Monique van VLIET
    Monique van VLIET

    4 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Quel ennui ...et Leo maquillé comme Marlon dans le parrain.. quelle tristesse
    3h et demi pour Ça
    Marie Helene W.
    Marie Helene W.

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2023
    un film extraordinaire digne d'un grand metteur en scène. malgré un démarrage un peu long. Di Caprio et De Niro extraordinaires et à la hauteur de leur réputation
    ferdinand75
    ferdinand75

    466 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2023
    Une œuvre absolument magistrale, qui nous ramène au grand cinéma, à une mise en scène brillante, des plans élaborés, complexes ,des cadrages de haute voltige, une lumière exceptionnelle, des décors grandioses. On est bien loin des séries B des plateformes, c’est une vraie leçon de cinéma, comme l’était « Babylone » l’année dernière. Les scènes de fêtes au village, de découverte des cadavres, ou de la rencontre par la matriarche avec la mort sont des sommets. Il y a ensuite les deux acteurs principaux, étonnants, formidables . De Niro, à son apogée , qui murit bien comme le grand vin, il est complétement Shakespearien, c’est le mal incarné , mais joué avec le sourire , avec bonne foi, il a l’impression de faire le bien et arrive à nous convaincre. Et DiCaprio qui tient peut- être son plus grand rôle, un peu benêt , manipulable , qui passe aussi par des phases de remise en question, de doutes. Les scènes du procès sont incroyables, son faciès évoque la souffrance , il fait une énorme performance , il commet le pire mais il ne s’en rend pas compte . Bien sûr l’actrice indienne Lily Gladstone, est aussi excellente, toute en mesure, en intériorité, tout est dans son regard, une manière « Bergmanienne » de souffrir : top (en route pour les Oscars ) . Et puis le scénario, il fallait oser, raconter cet épisode inconnu, en toute liberté , mais sans « wokisme », tout le monde en prend pour son grade. La description de cette culture indienne, de l’épopée du Far west au début du XXe, où beaucoup de dégâts sont encore commis. Quelle subtilité. Les 10 dernières minutes théâtralisées, avec le caméo de Scorcèse en maître de cérémonie, puis qui rend la conclusion aux Osane sont absolument formidables, un pur régal, un moment de grâce. Scorcèse signe une de ses « master piece ». Que c’est beau le cinéma.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    83 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    A vu un immense film et déjà un classique probablement, le dernier film de Martin Scorsese, "Killers of the flower moon". Pas une seconde de ce film de 3h30 n'est pas du GRAND CINEMA. Une caméra fluide qui prend son temps pour scruter au plus près des visages, une ville, des puits de pétrole et nous raconter cette histoire méconnue et ahurissante d'hommes blancs qui spolient toute une population d'indiens (les Osages) qui ont découverts des gisements d'or noir. Nous sommes au tout début du XXème siècle et au fur et et à mesure que nous assistons également à la naissance du cinéma, à l'installation de l'électricité, du téléphone, à l'apogée de la radio, nous suivons pas à pas la mise en place et à l'application d'un plan machiavélique pour récolter les bénéfices du pétrole. Nous avons l'impression d'assister à un grand film d'Hollywood des années 60 principalement pour la forme du long métrage. Pas de montage épileptique, pas d'orgie de décors, de costumes et d'accessoires, pas de musique grandiloquente et assommante, pas d'effets spéciaux clinquants. Sorcesese fait totalement confiance à son scénario et surtout à ses personnages. Quel bonheur de retrouver le grand De Niro dans un rôle à la dimension de son immense talent en patriarche de Fairfax (Oklahoma). Cela fait presque 20 ans qu'on ne l'avait pas vu si intense et évident. Di Caprio interprète le neveu neuneu qui revenant de la guerre de 14-18 vient s'installer sous l'aile protectrice de son Oncle. L'acteur force le trait et est l'élément faible du film principalement pendant la première heure où nous avons l'impression qu'il se regarde jouer en permanence. Et puis il y a LA révélation : l'actrice Lily Gladstone, absolument ahurissante dans un jeu tout en retenue, dont la caméra et le spectateur tombe à chaque plan sous le charme. Son visage impassible et insondable en gros plan immense sur l'écran est un moment magique de cinéma. Le suspens devient de plus en plus ductile et la scène finale très inattendue est une idée magnifique de mise en scène. La photographie (Rodrigo Prieto) et la bande originale (Robbie Robertson) inspirée de la musique indienne (en tous les cas de sa rythmique) sont puissantes et jamais ostentatoires. Sobriété et puissance sont les mots d'ordre de ce long métrage qui est probablement le chant du cygne du réalisateur aux multiples chefs d'oeuvre... et je pense que "Killers of the flower moon" en est un supplémentaire dans sa filmographie. CHEF D'OEUVRE
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2023
    C'est à un très grand film que nous convie le maître Martin Scorcese. Disposant d'une carte blanche de la production (on y trouve un certain Di Caprio...), d'un casting d'excellence, de décors et costumes magnifiquement réinventés, d'une photo exceptionnelle, le film est bâti sur un scénario original mêlant goût du lucre, racisme, et...l'amour sur fond d'entre-deux-guerres, période où les derniers cow-boys s'apprêtent à exterminer les derniers indiens.
    Après un démarrage pas très enlevé, on entre rapidement dans le vif du sujet et on reste suspendu à cette série de crimes qui se succèdent dans une fatalité criminelle sanguinaire dirigée par un de Niro sournois en tonton mielleux. La plupart des plans ou des scènes pourraient être cités dans les écoles de cinéma.
    Le gag de la scène de fin montrant l'envers du décor permet de conclure ce film où, malgré la longueur, on ne s'est pas vraiment ennuyé !
    Yves G.
    Yves G.

    1 310 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    Lorsque l’exploitation pétrolière débuta en Oklahoma au début du XXième siècle, les Indiens Osage, propriétaires des terres arides qui leur avaient été concédées, devinrent du jour au lendemain immensément riches. Cette manne attira immédiatement des Blancs cupides. Cette page méconnue de l’histoire américaine a constitué la matière du livre de David Grann (auteur de "The Lost City of Z") que Martin Scorsese porte à l’écran.

    L’automne du cinéma est aussi celui des réalisateurs. Après ceux de Roman Polanski (90 ans), de Frederick Wiseman (93 ans), de Nani Moretti (70 ans), de Woody Allen (87 ans), de Wim Wenders (78 ans) et de Ken Loach (87 ans) ces dernières semaines, sortent en salles ce mois-ci des films de fringants octogénaires : Hayao Miyazaki (82 ans), Ridley Scoot (85 ans), Denys Arcand (82 ans), Barbet Schroeder (82 ans)…. Si Clint Eastwood, James Ivory et Costa-Gavras s’en mêlaient, on pourrait créer un EPHAD de luxe baptisé l’Ancienne Vague, rassemblant les gloires toujours sacrément créatives du septième art.

    Martin Scorsese (80 ans) en serait probablement le capo dei tutti capi, le parrain des parrains. L’ancien séminariste new-yorkais tourne des films depuis plus de cinquante ans, avec son alter ego, Robert De Niro, qui interprète ici William Hale, un riche éleveur de bétail qui passe pour le meilleur ami des Osages alors qu’il complote secrètement à leur perte. L’autre acteur fétiche de Scorsese depuis une vingtaine d’années, son fils d’adoption, Leonardo DiCaprio joue le deuxième rôle titre. Il interprète le neveu de William Hale, démobilisé après la Première Guerre mondiale, devenu le complice plus ou moins lucide des manoeuvres du patriarche. Comme souvent dans les films hyper-virils de Scorsese, les femmes y sont réduites à la portion congrue. La prestation de Lily Gladstone, découverte chez Kelly Reichardt, n’en est que plus admirable. Dans le rôle de Mollie, la riche Indienne que William Hale pousse son neveu à épouser et dont celui-ci tombera amoureux, elle en impose par son hiératisme, par ses silences, par son sourire en demi-teinte.

    On a beaucoup glosé sur la durée indigeste de "Killers of the Flower Moon" : 3h26. Force m’est de reconnaître que c’est par sa faute que j’ai mis près de deux semaines à le voir, soit que je n’en trouvais pas le temps dans un agenda un peu chargé, soit que je n’estimais pas disposer du « temps de cerveau disponible » pour m’y plonger dans de bonnes conditions. Pour autant, vu l’ambition du film, une telle durée n’a rien de disproportionnée. Les plus grands films dépassent allègrement les quatre-vingt-dix minutes canoniques : "Autant en emporte le vent", "Ben-Hur", "Lawrence d’Arabie", "2001, Odyssée de l’espace", "La Liste Schindler"…
    Sa durée est d’autant moins pesante qu’on ne regarde jamais sa montre, happé par la fluidité d’un scénario qui ne ménage aucun temps mort. On est loin pour autant du rythme frénétique de certains des films de Scorsese, tournés sous acide, épuisants à force d’accélérations. C’est Jacques Morice dans Télérama qui écrit très intelligemment que le cinéma de Scorsese se rapproche du classicisme d’un Eastwood, sans effet de manche, sans tentation du spectaculaire. Par exemple, une course de vieilles automobiles rutilantes dans les rues de Fairfax, dont on imagine en frémissant le prix que sa reconstitution a coûté, est pliée en quelques plans à peine alors que les scènes clés du film sont des face-à-face en champ-contrechamp filmés dans une salle de séjour sans apprêt.

    "Killers of the Flower Moon" s’inscrit à la croisée des genres. Son sujet fait penser aux westerns ; mais il louche aussi vers la saga historique, le film noir, le film de mafia, le polar… Il se noue et se dénoue avec une (trop ?) parfaite maîtrise dans sa dernière demi-heure, alors que la lassitude aurait pu commencer à se faire sentir. Du grand oeuvre, maestro !
    Maxime Merkouchenko
    Maxime Merkouchenko

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2023
    Ceci est à mon sens le pire film de Di Caprio - 3:30 de film pour quoi ? D'une lenteur incontestable. Je ne comprend pas comment la note de ce film peut être aussi élevée et les critiques si bonne.
    lmc-3
    lmc-3

    235 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2023
    Très interressant, mais inutilement long.
    Excellemment bien interprété, une bonne dose d'humour noir, mais beaucoup de meublage et de scènes manquant cruellemment de son additionnel.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2023
    Le premier intérêt du film est de mettre en images un épisode méconnu de l’histoire états-unienne, épisode volontairement enfoui car honteux, reflétant la façon dont s’est développée majoritairement cette nation, sur fond de racisme, de meurtres et de spoliation. Ou comment les Indiens Osages, au début du XXe siècle, ont été décimés à petit feu par des Blancs cupides et machiavéliques.
    Dans le sillage d’un Michael Cimino et de sa Porte du Paradis (le lyrisme en moins), Martin Scorsese réalise un anti-western, nourri de mauvaise conscience collective. Il s’appuie pour cela sur le travail très documenté du journaliste-écrivain David Grann (La Note américaine) et en tire une fresque historique et romanesque passionnante, longue mais d’une fluidité remarquable, sans les écueils démonstratifs du film-enquête ou film-dossier. Une fresque historique très différente, par exemple, de celle consacrée récemment à Oppenheimer, par Christopher Nolan. Sans esbroufe stylistique. Classique, certes, mais avec un sacré métier en matière narrative. Et c’est précisément de cette sobriété classique que le film semble tirer son intensité tragique et infiniment amère.
    Killers of the Flower Moon (joli titre) fait également la part belle aux trois acteurs principaux. Leonardo DiCaprio, étonnant et convaincant dans le rôle ingrat d’un gars pas malin, docile, manipulé, ambivalent (même s’il abuse un peu d’une même expression de visage, une moue assez laide) ; Robert De Niro, mesuré et impressionnant en stratège monstrueux et cynique ; Lily Gladstone, d’une aura singulière dans un rôle singulier. Sphinx et martyr. Elle marque la rétine.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 030 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2023
    Je pensais que la manne du pétrole n'avait profité qu'à Rockfeller et consorts, mais la providence géologique enrichît également les Osages, une tribu amérindienne d'Oklahoma. Mais quand l'or noir surgit il amène avec lui la cupidité et la mort. Scorsese montre ce sur quoi s'est construit en partie la société américaine : la spoliation, l'avidité et le racisme. C'est un grand film où les moments de bravoure ne manquent pas, notamment quand il s'agit d'évoquer la mort, et la fin est particulièrement réussie. Mais il est trop long, où alors Marty aurait dû songer à le développer le temps d'une série, et puis j'ai un peu de mal quand Di Caprio se la joue "mâchoire remplie de coton à la Brando". C'est dommage on est pas passé loin du chef-d'œuvre.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 419 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2023
    Au début du XX ème siècle, une tribu indienne originaire du Kansas, déplacée par le gouvernement américain dans une réserve de l'Oklahoma dont elle a acheté le terrain, devient richissime en raison de la découverte de pétrole dans leur sous sol.

    Le représentant éminent de l'autorité administrative cherche à capter leur fortune et tous les moyens, même les plus sordides, sont bons.

    Tiré d'un fait réel s'étant déroulé dans les années 1920, "Killers ..." se suit avec un grand intérêt.

    Réflexion sur le peu de cas dédié à la cause indienne aux Usa, sur le pouvoir parfois délétère de l'argent ( l'amélioration des conditions de vie va ici de pair avec la venue d'un entourage intéressé, hypocrite, manipulateur, acteur du pire), le dernier opus de Scorcese est une grande réussite formelle ( photo, cadrage, direction d'acteurs et interprétation).

    On peut ( selon moi) tout de même regretter un manque d'intensité dans la seconde moitié du scénario, dûes à des longueurs qui se font ressentir, malgré la beauté des images.

    Je place néanmoins " Killers..." parmi les titres importants de la filmographie de ce cinéaste de premier ordre.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    39 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2023
    KILLERS OF THE FLOWER MOON (2023): Des terrains que l'on pensait arides feront le bonheur du peuple indien Osage avec cette fabuleuse découverte, le Pétrole (une histoire vraie). Une manne financière inépuisable pour les générations à venir. William Hale (Robert DeNiro), dit aussi Tonton King (le Papé du film), et son acolyte, Erneste Burkhart (Léonardo DiCaprio, le Ugolin de l'histoire) l'auront bien compris. Deux belles images devant la population indienne, mais en vérité deux roublards assoiffés d'argent qui n'hésiteront pas à aller très très loin dans leurs actes. "Killers of the flower moon" montrera à quel point les sentiments, la gentillesse, la serviabilité, pourront rendre aveugle l'honnêteté. Le réalisateur Martin Scorsese rassemblera ici ses deux acteurs fétiches, un Robert DeNiro tellement captivant dans son rôle de fripouille secondé par un Léonardo DiCaprio et son faciès de faiblard dangereux très proche de l'hystérie. 3h30 sur la cupidité de l'homme blanc début du XXème siècle en Amérique, des manigances si bien interprétées que l'on ne verra pas le temps passer. Un film passionnant du début à la fin. Bravo! Monsieur Scorsese.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    109 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    Juste après la Première Guerre Mondiale, Ernest part vivre auprès de son oncle dans une région d'Oklahoma appartenant aux amérindiens de la tribu Osage. Il y fait la rencontre de Molly, richissime mais dépendante native qui devient sa femme. De mystérieux meurtres ont lieu dans les alentours et dans la famille de Molly, qui commence à suspecter le pire et alerte les autorités. En salle le 18 octobre.

    spoiler: Killers of the flower moon prend le parti de lever le voile sur une période trouble de l'histoire américaine : une affaire de meurtres raciaux. L'époque et les conditions de vie si particulières des Osages sont passionnantes et le film dispose d'une esthétique très réussie mettant en lumière costumes et décors ruraux des USA d'entre-deux guerres. Je n'ai pas compris le parti-pris des 3h26 d'intrigue : en effet, de nombreuses scènes sont supprimables, tout comme certains des dizaines de personnages qui nous sont présentés tout au long de l'histoire. Je n'ai pas beaucoup aimé le jeu de Di Caprio dans ce film, très inférieur à De Niro.
    pifok
    pifok

    48 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 octobre 2023
    Très déçue de ce nouveau Scorsese! Mou, long et lent, cela manque beaucoup de rythme, de musique, de dialogues percutants.
    Il y a beaucoup de scènes en langue Osage non traduit et non sous-titré, ça en devient perturbant, on se demande pourquoi certains dialogues sont sous-titrés et d'autres non.
    Même si le jeu d'acteur de Di Caprio et De Niro reste très bien exécuté, il manque de la matière. Beaucoup de personnages, je l'ai même trouvé difficile à suivre par certains moments.
    Et je n'ai pas aimé la fin qui a plus été réalisée pour faire de l'effet à Cannes qu'autre chose.
    Cactus14
    Cactus14

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Ah, si Scorsese n'avait pas eu les moyens financiers pour réaliser ce film, cela l'aurait obligé à être CRÉATEUR ! Film d'un grand classicisme, voire académique. Comme si le cinéma n'avait pas évolué depuis John Ford, Anthony Mann ou Sergio Leone.
    Il faut attendre les 5 dernières minutes pour qu'enfin apparaisse une idée de mise en scène.
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