En désaccord complet avec les critiques Je suis sans doute idiote mais j'ai eu du mal à suivre le film J'ai compris à la fin....C'était sans intérêt de toute façon Vraiment décevant .....
Après "Trois souvenirs de ma jeunesse" (2015) Arnaud Depleschin revient avec d'autres souvenirs, plus flous, plus diffus dans la tête du personnage de Ismaël, à tel point que le cinéaste parle de 5 films en 1. Ce film est assez unique pour mériter le détour, à la dramaturgie à la fois loufoque et mélancolique. C'est une tragi-comédie qui surprend de par sa construction singulière qui gagne grâce à deux paramètres essentiels. D'abord par son trio d'acteurs principaux qui offrent chacun de belles performances, puis les dialogues, particulièrement littéraires, un un peu trop sans doute car sans réalisme mais diablement réjouissants et d'une belle acuité philosophique. Site : Selenie
Deux heures de masturbation intellectuelle insupportable, Mathieu Amalric ne sait plus jouer, il surjoue. L'histoire parallèle dans le film est à dormir debout et on se demande ce qu'elle apporte. On a l'impression que le but du film est de nous faire perdre notre temps, c'est dire....
Nul. J’ai commencé par me demander si je ne m’étais pas trompée de salle tant le film met du temps à démarrer et à mettre en lumière les acteurs principaux. Puis le film a sombré et moi avec. Desplechin a tellement peu de matière à mettre dans son film qu’il invente un film dans le film pour faire passer le temps. (oui, je sais, les pseudo intello-bobos me diront que c’est une mise en abyme des angoisses du héros mais trop c’est trop). Les acteurs principaux ne sont pas mauvais même si Cotillard et Gainsbourg sont encore une fois dans le même genre de rôle. Mais c’est creux, insipide, musicalement insupportable… Ceux qui ont mis 5 étoiles sont sans aucun doute les mêmes qui vous donnent des leçons sur ce qu’est un grand livre de littérature ou un grand film d’auteur, vous écrasant de toute leur vanité d’être capable d’apprécier d'autres genre de films, des films simples, beaux, émouvants, transportants… Tout ce que n’est pas « Les fantômes d’Ismael ».
Les Fantômes d’Ismaël est un film à réserver aux inconditionnels d’Arnaud Desplechin….et je n'e dois pas en être !!!…j’avais déjà était profondément déçu par Trois souvenirs de ma jeunesse, histoire abracadabrantesque avec une vague histoire d’espionnage en Biélorussie… et déjà un Yvan Dédalus, l’enfance à Roubaix…et Mathieu Amalric....Ici, en cinéaste torturé, qui s’apprête à tourner un film d’espionnage sur un agent double un peu naïf ( encore un Paul Dédalus) inspiré de son frère…Ismaël s’isole à Noirmoutier avec Sylvia ( Charlotte Gainsbourg) qui partage sa vie depuis peu…Surgit ou plutôt ressurgit Carlotta ( Marion Cotillard) son épouse disparue depuis vingt ans et qu’il croyait morte…Se même alors l’histoire d’Ismaël et celle du film qu’il écrit…c’est confus, décousu…sans doute Arnaud Desplechin s’amuse à immerger le spectateur dans ses propres obsessions en y mêlant des références à ses précédents film…sans pouvoir arriver à vraiment articuler ses transitions…cela dure 1h 50…il parait qu’il existe une version plus longue d’une vingtaine de minutes en exploitation au Cinéma du Panthéon…mention spéciale aux deux actrices qui tirent leur épingle du jeu d’un scénario bien tordu et prétentieux !!! La presse spécialisée apprécie…apparemment les spectateurs beaucoup moins !!!
Alerte daube: ce film est nullissime!! C'est du cinéma nombriliste, narcissique et prétentieux. Arnaud Desplechin se trouve surement très intéressant mais quel ennui pour le spectateur! Film décousu et assez vide finalement, un scénario confus et un jeu d'acteurs qui sonne faux... A éviter absolument!
pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué...! film Schadoks par excellence, où probablement seuls les amoureux des intrigues non résolues, des pistes sans débouchées , des émotions excessives, des discours pseudo intello, devraient se complaire dans cet univers théâtral...
Il avoue lui-même avoir fait « cinq films en un ». Il faut donc s’accrocher pour suivre le dernier Desplechin sans doute brillant mais à la complexité qui frise l’artifice. Comme dans Trois souvenir de ma jeunesse, il y a deux ans, il déroule la pelote des souvenirs. Mais des fils se croisent et se mélangent. A commencer par ceux d’Ismaël, metteur en scène en manque d’inspiration, qui ne sait pas par quel bout prendre son film. Le brûlant Mathieu Amalric, toujours un whisky à la main et sous amphétes, ne facilite pas la tâche. Ismaël s’y perd entre sa Sylvia - Charlotte Gainsbourg remarquable dans la maturité - prête à lui redonner confiance et son ex-femme Carlotta – Marion Cotillard, la larme toujours prête à servir - qui déboule dans sa vie, après vingt ans de disparition ! Sensé servir de base au film, le triangle amoureux a du mal à tenir d’équerre. Et puis il y a Yvan Dédalus, jeune fonctionnaire ministériel, qui ressemble comme un frère au Pauls Dédalus de Trois souvenirs… et ne sait pas très bien ce qu’il fait au Tadjikistan où à Prague. Pendant ce temps-là, les comédiens s’inquiètent du retard du film, comme Hyppolite Girardot, producteur plein d’humour… Ces histoires-gigogne sont autant de raisons de se perdre. Arnaud Despléchin en joue avec malice et brio. Les fantômes d’Ismaël sont aussi ses propres fantasmes. Lui qui travaille inlassablement la même pâte autobiographique et romanesque pour fabriquer une sorte de mille-feuilles ou se mélangent l’intime et le politique, l’artistique et le charnel. Mais à force de déstructurer son récit et de brouiller les temps ; à force de références culturelles, et de citations cinéphiliques, on finit par oublier de rire et de pleurer quand il faudrait. Le temps qu’on se gratte la tête pour retrouver son chemin, l’émotion a fichu le camp. Et la virtuosité n’y change rien.
Très décue par ce film....L'idée de deux fims ds un film aurait pu être sympa mais là elle est super mal filmée avec des acteurs que j'aime énormément mais qui n'avaient pas du tt l'air sincère dans leur jeu ..les dialogues étaient nuls ,on ne ressent aucune émotion..un film perché qui n'a à mon avis aucun sens en un mot inutile..dommage..
Arnaud Desplechin vient de proposer son nouveau film en ouverture du Festival de Cannes est le moins qu'on puisse dire est que ce dernier est déroutant. Bien qu'un mordu du cinéma puisse y reconnaître une pléthore de clins d’œil, notamment la scène de nu de Marion Cotillard faisant référence à ses débuts, on n'accroche pas. Les Fantômes d'Ismaël est un film emmêlé dans un dédale de pensée qui perd le spectateur et le laisse en dehors de l'histoire... Suite de la critique sur stoptoncinéma.wordpress.com !
Vite, que ce film finisse ! La version courte est déjà bien longue. La magie ne prend pas, on s'ennuie à mourir à regarder ces tourments intérieurs... qui restent tellement en intérieur que nous, spectateurs, sommes incapables sauf gros travail de notre part de raccrocher les wagons.
Autant la première partie du film est intriguante avec cette femme disparue et qui réapparaît du jour au lendemain dans la vie d'Ismaël... Mais alors la suite est tellement fouillis et ennuyeuse. J'ai pas du tout adhéré ni vraiment compris ou voulait en venir le film, avec toutes ces situations et dialogues vraiment étranges et surréalistes. Seule les interprétations de M. Cotillard et C. Gainsbourg sont à sauvés, toutes les 2 excellentes . Bref le temps m'a paru très long et ennuyant.
Oh ce Arnaud Desplechin qui nous pond ici un scénario tout à fait probant : spoiler: l'Histoire de ce pauvre cinéaste insomniaque évidemment porté sur la bouteille, poursuivant bon an mal an son Oeuvre malgré une vie cabossée depuis la disparition soudaine de sa jeune femme, il y bientôt vingt ans.
Alors il filme encore & toujours mais sous tranquillisant, naviguant à vue . . .
On y croit encore plus lorsque cette énigme volatilisée réapparaît subitement, de retour d'Inde... après la mort d'un autre mari (pas cinéaste celui-ci mais riche), arrivant pile-poil pour passer la crème solaire dans le dos de la nouvelle conjointe du Maître, sur la plage attenante à la p'tite maison de bord de mer charentaise.
On y croit toujours lorsque la dernière muse en poste, Astro-physicienne de son état, invite la "revenante" (fille unique d'un monument du 7ème Art . . . ) à séjourner avec le Couple, histoire de se remémorer la bon vieux temps !
Amalric fait encore du Amalric et les deux autres jouent à Jeanne qui rie puis pleure. Je n'y ai pas cru un seul instant. Mais arrêtons là ces inepties pour ce demander qui est encore intéressé par ce Cinéma Parisien nombriliste & Bobo ? ? ? Film néant qui trouve tout de même un budget pour finalement être présenté à Cannes :-p Même ce bon vieux Claude Lelouch arrive à mieux ficeler ses histoire et surtout à faire le Job ! C'est le prototype même du cinéma pompeux & boursouflé qui me désespère . . . mais à vous de voir.
Dans Les fantômes d’Ismaël, Arnaud Desplechin s’appuie à nouveau sur ses deux alter-ego fictionnels, Ismaël Vuillard incarné par Mathieu Amalric son acteur fétiche et Dédalus sous les traits de Louis Garrel. Cette nouvelle variation de la saga Vuillard-Dédalus, véritable dédale scénaristique, louvoie entre film d’auteur et film de genre qui, entre ses très nombreuses autocitations, prend des accents très bergmaniens. Plus de détails sur notre blog ciné : incineveritasblog.wordpress.com