Avis sur Piper

Piper : C’est le court métrage qu’on a en bonus et qu’on peut apercevoir avant la séance cinéma du Monde de Dory. Et franchement, il est sublime, très amusant, riche en émotion, c’est amusant a suive et l’animation est de toute beauté. Quand on a des bonus de cette qualité, on peut qu’être content car franchement, c’est une merveille. C’est l’histoire d’un bébé oiseau en bort de mer qui va affronter la vague comme on dit car il a très faim. Et on va découvrir comme lui ce petit monde plein de danger et va falloir avoir du courage. Et c’est marrant et émouvant de voir ce petit zoziaux qui est riche en émotion comme je disais, c’est assez craquant. Et puis ça, c’est aussi grâce a l’animation qui est magnifique, on ressent vraiment bien les émotions, tristesses, joie, peur et c’est toujours amené avec humour et simplicité, avec une bonne petit morale a la fin, comme toujours. Non vraiment, une merveille, ça fait plaisir et c’est un très bon amuse bouche avant le grand film que je vous dis d’avance, si vous avait aimé le premier, vous allez adorer…

Le nouveau court métrage Pixar reste fidèle à la recette du studio mais s'inscrit dans les productions classiques et simplistes du genre.

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C'est un petit court métrage mignon mais très oubliable car il n'y a pas d'histoire, pas de morale ni de message, c'est juste un 6 bonnes minutes.

Grand vainqueur de l'Oscar du meilleur court-métrage d'animation, ce nouveau projet de chez Pixar ne m'a fait ni chaud ni froid. C'est très bien fait comme toujours et c'est mignon de voir les "premiers pas" de ce petit oisillon, mais c'est tout. L'histoire n'est pas intéressante, elle ne m'a pas transporté ni émerveillé donc cela n'a beau durer que six minutes, c'est un court qui m'a profondément ennuyé.

Tout à fait charmant. Ce jeune oisillon apprend à manger en étant maladroit, et nous, nous apprenons à nous émerveiller en à peine cinq minutes, montre en main. La magie de Disney Pixar est bien au rendez-vous, avec quelques gags simples mais efficaces (l'oiseau tout tremblant et ébouriffé après avoir pris une vague), des instants de pure poésie (le petit bernard-l'hermite qui apprend à l'oiseau à voir le problème sous un autre angle), des designs savoureux (tout ce petit monde oscille entre rendu très fidèle de l'oisillon, et design plus stylisé avec le bernard-l'hermite dont deux grands yeux et pinces rondes dépassent d'une coquille) et une musique légère et rythmée qui s'associe parfaitement au visuel. Le titre est également bien trouvé avec ses lettres "p" qui reprennent la forme de l'oiseau picorant le sable, et les effets numériques pour donner vie à l'ensemble de l'animation est d'une qualité bluffante. On fond sans aucun scrupule à chaque seconde de ce si joli court-métrage, qu'on regrette déjà à l'apparition du générique...

Piper est certes magnifique mais il a l'innocence du récit. L'être en apprentissage qui ose et apprend pour enfin enseigner à son tour. Les mollusques n'ont qu'à bien se tenir.

C'est un beau court métrage. Tant drôle que tendre. Mais surtout ce qui fait la qualité de ce film c'est la qualité graphique du dessin qui est hallucinante de netteté et de beauté !

Un peu simpliste dans son approche, Piper n'en reste pas moins un court-métrage adorable, prenant et réussi. Sans aucune parole, mais rien qu'avec ses expressions du visage et du corps, le studio à la lampe parvient à créer du contact et de l'empathie. Beaucoup plus réussi que Le Monde de Dory qu'il introduit, on ne pourra qu'applaudir cette jolie lancée.

Un court métrage d’animation (avant le monde de Dory) superbe, graphisme parfait, histoire intéressante et intelligente d’un oiseau qui doit trouver sa nourriture pour un film sans parole mais pourtant incroyablement parlant. Touchant, intelligent, bien animé et court, très plaisant.

Mais c’est également par le biais de son scénario que Piper risque de vous toucher en plein cœur. Car si Alan Barillaro est parti d’une base classique au possible à la limite du film documentaire, il a su en tirer une petite saynète universelle savamment écrite. Une courte mais sublime envolée qui marie avec une très grande facilité humour (dû a des effets de montage simples mais efficaces) et émotion. Pour cette dernière catégorie, Piper peut compter sur son personnage éponyme, un oisillon incroyablement touchant, attendrissant. Cela, il le doit à son design et sa gestuelle qui feront chavirer bien des spectateurs à l’instar de « bébé Dory » et aux autres atouts techniques du film (musiques, effets sonores…) qui rendent le tout poétique. Mais le court-métrage s’arrête-t-il là pour autant ? Fort heureusement, non !

Vu avant la diffusion du monde de Dory au cinéma, effets spéciaux intéressants, scénario bien trouvé et histoire drôle. Six minutes de pur bonheur !

Ah la la que le film Piper est mignon Piper était présenté avant le film Le monde de Dory, c’est mignon tout plein et les graphismes sont de hautes qualités certes mais c’est par contre assez oubliable et le fond ne vole pas très haut.
Beau mais simpliste.
A voir sans plus

Pour ma part, si j'ai apprécié Nemo et le Monde de Dory, je suis une fan absolue du génial court-métrage d'animation "Piper" d'Alan Barillaro, qui passait en première partie du Monde de Dory (tout du moins dans les cinémas parisiens).
Emouvant, drôle, excellent techniquement, un court-métrage d'apprentissage, comme on dit un roman d'apprentissage.
Je l'ai revu ensuite deux fois et ai quitté la salle juste après.
Je n'achèterai le DVD du film que si le court-métrage est inclus !

De là à dire qu'il méritait son oscar peut être pas (je voulais Borowed Time) mais ces un chef d'œuvre absolu du court métrage. Tout est parfait, l'ambiance, l'histoire, la réalisation et... l'animation. Je n'ai j'aimais vu ca. Même le monde de Dory qui passait juste après dans ma salle de cinéma n'était pas aussi beau. On voit chaque grain de sable et le rendu est parfait. Pixar est l'un des pilliés se l'animation 3d, et il confirme leur statut plusieurs dizaines d'année après. J'ai hate de voir ce que ce sera dans dix ans

Superbe court métrage, en quelques minutes on est transporté, bluffé par la qualité des images, par la musique et surtout par l'expression donnée à ces petits oiseaux. La magie a opéré.