Avis : Dernier train pour Busan - Page 9

Très agréablement surpris par la dimension des personnages et le scénario à couper le souffle. Car dans ce monde, il n'y a pas que le cinéma d'Holliwood!!! Magistral!

Pas mal du tout, on est enfermé avec les personnages dans ce train en se demandant comment on va pouvoir s'en sortir, un film original et prenant.

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Rien ne laissait présager que Dernier Train Pour Busan pouvait être une aussi grosse claque ! Pour son premier film live, le réalisateur Sang-Ho Yeon montre déjà un immense talent développé dans l’animation. Sans être original, son film nous scotche au fauteuil du début à la fin et il faudra même un certain temps pour s’en remettre. C’est là qu’on reconnait les chefs d’œuvres. Sauvage et terrifiant, nous avons ici sans aucun doute le meilleur film de zombies depuis 28 Jours Plus Tard. [Lire la critique complète sur le site]

Haletant. Surprenant. Nerveux. Pas de répit. 2 heures à très grande vitesse. Une confirmation de plus que le cinéma sud-coréen est le plus créatif et le plus intéressant de ces dernières années. A voir de toute urgence, même si vous n'êtes pas friands de films de zombie, ça va bien au-delà.

Flippant. Drôle. Émouvant. Une petite bombe coréenne comme on aimerait en voir plus.
Excellent, servi par de très bons acteurs et une bonne réalisation.

Le film commence comme la plupart des films coréens de ce genre: un peu comique, un peu ridicule. Puis l'histoire du personnage principal et famille se met en place et le TGV qui sert de décor devient vite un huis clos tendu et sanglant rempli de zombies, rapides et tout démembré/saccadé dans leurs mouvements. Le film tourne même à l'émotionnel sur un final poignant et efficace. Je ne suis pas du tout déçu de ce film coréen qui m'a surpris en bien. Le cinéma asiatique nous offre là un thriller d'horreur qui ne renouvelle pas le genre mais est très efficace... tout le contraire de world war z qui utilisait les mêmes codes.

En Corée du Sud, une épidémie qui transforme les gens en les rendant cannibales, particulièrement agressifs et résistants, se propage. Alors qu'un train quitte une gare pour se rendre à destination de Busan et dont les passagers ne sont pas au courant des événements, une infectée monte à bord au dernier moment.
J'ai trouvé ce film particulièrement efficace. L'histoire démarre très vite après une rapide présentation du personnage principal accompagné de sa fille et le rythme ne faiblit pas jusqu'à la fin. Il y a certes quelques petits défauts. Les personnages sont un peu caricaturaux (le business-man ne pensant qu'à lui, le chef d'entreprise prêt à écraser les autres, le groupe de sportifs...), mais cela sert finalement bien le scénario d'avoir des personnalités aussi identifiées. Certains passages peuvent paraître un peu faciles, comme spoiler: la traversée de wagons remplis d'infectés par un trio de protagonistes les affrontant particulièrement aisément
, mais j'estime que cela ne gêne en rien le récit, au contraire. Il en résulte un survival vraiment haletant, qui accroche jusqu'à sa conclusion.

J'y suis allée sans attente particulière, et j'ai bien fait. C'est une réussite ! Ce n'est pas que du zombie gore, mais aussi de l'humain et de l'émotion.

Le meilleur film de l'été ! Il n'y a rien de précurseur puisqu'on a déjà vu ces zombies dans World-War-Z mais la tension est intense et l'humour absurde.

Une fois de plus, c'est le cinéma coréen qui donne la leçon. Ou comment un grand flm d'action, blockbuster supersonique, déborde d'intelligence depuis une écriture d'une limpidité extrême mais pas sans nuances jusqu'à une mise à une scène d'une précision chirurgicale. Ainsi triomphe Dernier train pour Busan, oeuvre séminale qui tutoie la perfection. Son scénario est implacable, condensé d'adrénaline pure, d'humour noir et d'éléments de mélodrame qui touchent au poignant dans son magnifique dénouement. Sans oublier le versant social et politique qui est loin de compter pour du beurre : Dernier train à Busan évoque avec acuité à la fois le capitalisme sauvage et l'individualisme forcené qui conduisent à négliger de plus en plus le respect de l'autre. Compartiment zombies, le film de Yeon Sang-ho, formé à l'école de l'animation, fonce à grande vitesse mais sans oublier d'avoir une conscience et de jeter un regard percutant sur un monde moderne en perte de valeurs. Une totale réussite cinématographique.

Ce film est vraiment une belle surprise et une grosse réussite! C'est un des premiers films coréens que je vois et jai été surpris d'apprécier à ce point les acteurs, le scénario et l'action qu'on avait à nous proposer! Un film de zombie agréable, réussit et angoissant, rendement menée d'une main de maître par un cinéaste qui m'est totalement inconnu! Super moment passé devant Dernier train pour busan !

Un film où les rapports humains y sont très étudiés, ainsi que tous les maux de nos sociétés.Un film plein de tension qui nous plaque à nôtre siège. Beaucoup de moments très émouvants voire poignants conférant à ce film une intensité dramatique insoupçonnée. Je ne pensais pas verser des larmes dans un film de zombies, mais si ! En tous cas, une excellente expérience cinématographique. A découvrir et surtout à ne pas rater.

Premier long-métrage de Sang-Ho Yeon, Dernier Train Pour Busan est un thriller/fantastique qui critique notre société contemporaine proie à l'individualisme.

Le film se focalise sur un homme d'un trentaine d'année, divorcé ayant la garde de sa petite fille qui veut retrouver sa mère à Busan. Son père, travailleur pour une agence boursière, donne tout pour son travail, ce qui fait de lui un homme perdu lorsqu'il s'agit de traiter avec sa fille. Le père promet à sa fille de prendre le train en direction de Bursan pour rendre visite à sa mère.
Grâce aux informations à la télé, nos protagonistes et passagers du train constatent que le pays est en état d'alerte à cause d'une population désormais infectée par un virus et apprennent que leur seul moyen de survie est de rester dans le train, fut-ce simple si l'infection n'était pas également montée à bord.

C'est alors que le train devient une micro-société avec nos protagonistes, ses couples, ses lycées membres d'un club sportif, son sans-abris avec aussi des personnes de classe moyenne, supérieure et son PDG.
Les personnages sont authentiques, la tension réelle et l'écriture intelligente. L'ensemble est parfaitement humain, avec un protagoniste qui évolue (pour le mieux), des réactions naturelles et surtout la nature de tous qui apparait en situation de crise.
Dernier Train pour Busan est chaudement recommandé pour son écriture intelligente, sa cohérence, son trait humain tangible et pour le simple fait que l'on soit scotché au siège du début à la fin.
"L'unité fait la force".

Les gens se tiennent comme des bovins à mâchoires lâches qui attendent d'être abattus. Ils regardent les gens se faire manger vivants, avec des expressions sur leurs visages qui suggèrent qu'ils regardent plutôt quelqu'un légèrement impoli à la table du dîner. Les monstres morts-vivants dotés d'une vitesse surhumaine sont capables de tuer des pièces pleines de gens en une ou deux minutes. Cependant, lorsqu'ils essaient de tuer l'un des personnages principaux, ils sont à peu près aussi dangereux qu'un chihuahua avec des dents en chewing gum. S'ils vont contre le grand gars cool, qui peut abattre des voitures de train pleines de zombies sans se suer ???. Quiconque mordu par un zombie se transforme en monstre suceur de sang en 10 à 30 secondes, à moins qu'il ne soit un personnage principal ou un antagoniste, auquel cas cela prend une éternité pour que ce soit dramatique. Important pour nous, les fans de films de zombies, le zombie court et ne peut pas voir. Je veux dire, si vous entrez dans le sous-genre d'horreur zombie, respectez au moins vos aînés. Cela n'a aucun sens. Quelle est la prochain idée ? Batman ne peut pas conduire...

Le suspense est présent tout au long du film. Et les frissons sont garantis.
Il y a quelques scènes qui sont plus ou moins réalistes mais le film n'en est pas décrédibilisé pour autant.
J'ai passé un très bon moment en visionnant ce film au cinema en vostfr.