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    Le roi de la Polka
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    2,2
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    9 critiques spectateurs

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    Nadia Hamel
    Nadia Hamel

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2023
    Étant donné que je ne peux juger une histoire vraie, je peux seulement dire que ce film est bon à regarder. Tous les goûts sont dans la nature. On aime ou on spoiler:
    aime pas. Il faut visionner le film pour se faire une idée…😊 spoiler:
    spoiler:
    spoiler:
    spoiler:
    spoiler:
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 241 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juillet 2020
    Tout d'abord Le roi de la Polka a de grandes références. Des écrivains expérimentés qui savent ce qu'ils font. Mais ces mêmes écrivains ont également réalisé et c'est là que cette chose tombe à plat. Jack Black bien que n'étant pas un de mes favoris est généralement si pointu avec sa comédie que cela me fait même rire. Jenny Slate est fade, Jacki Weaver et Jason Schwartzman sont si beiges dans leurs performances qu'il pourraient tout aussi bien être invisible. Les dialogues ont été livrées sans beaucoup d'émotion ou de finesse ce qui est étrange et inattendu de ces gens talentueux. La synchronisation des lèvres avec les chansons était tellement mauvaise on pouvait dire que n'était la voix de Black car ses lèvres étaient légèrement en avant ou en arrière sur les chansons. Ce film est plat il est plat comme une crêpe...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    565 abonnés 2 733 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    Jack Black a beau se montrer impeccable en chanteur de polka soucieux d’appliquer à la lettre le programme du rêve américain, The Polka King ne réussit jamais à s’élever au-dessus de l’anecdote faite film et suit son personnage engagé dans un schéma bien connu – ascension et chute – sans piquant ni vision d’ensemble. Nous comprenons d’emblée qu’il s’agit là d’un long métrage qui travaille la notion de mensonge, notion qu’il associe sans cesse à un acte de foi en l’existence socio-économique d’un pays dont les modèles sont capitalistes ; néanmoins, ce parti pris échoue à se convertir en fable un tant soit peu universalisable, si bien que nous avons l’impression de regarder un biopic dont l’originalité réside dans le costume, dans l’accent de Jan Lewan, dans l’énergie qu’il déploie pour réussir, mais jamais dans le corps même du film. Il manque une mise en scène véritable qui seule aurait permis d’épouser le rythme de la polka, de transformer le talent de ses comédiens en éléments-moteur d’une farce adressée à l’Oncle Sam. Sympathique mais inoffensif et dispensable.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    75 abonnés 1 517 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2020
    J'ai mis presque deux ans avant d'oser regarder ce film. Et, encore, ce n'est pas moi qui ai choisi le film.

    Il faut dire qu'il n'a pas grand chose pour retenir l'attention d'un mec de 20 ans. A part Jack Black au casting, peut-être.

    Je ne connaissais pas l'histoire. Je pensais que c'était une comédie sur la polka, genre musical dont j'avais une vague idée de ce que c'était. Je ne savais ni que c'était une histoire vraie, ni à quel point elle était grotesque.

    Grotesque, le mot est peut-être un peu fort, mais étonnante, ça elle l'est. A tel point que si l'on ne nous prévenait pas que c'était une histoire vraie dès le départ, on pourrait arrêter le film en se disant que les scénaristes sont partis dans tous les sens. Pourtant, les images d'archives l'attestent : Jan Lewan et sa femme ont vraiment existé et ont vraiment fait tout ça !

    Surprenant. Néanmoins, le film reste assez moyen : peu drôle alors qu'il semble vouloir être une comédie, "Le Roi de la Polka" manque également de rythme. Il faut dire que l'on tourne rapidement en rond et, pendant le milieu du film, on a souvent l'impression de revoir les mêmes scènes.

    De même, le film manque cruellement d'une photographie digne de ce nom. Les images sont assez ternes, même lorsque le groupe joue avec ses costumes bariolés.

    "Le Roi de la Polka" est donc sauvé par son histoire intéressante et scotchante et par un Jack Black plein d'entrain mais est plombé par un traitement banal. Netflix a fait mieux.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 775 abonnés 3 954 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2018
    Mais qu'on-t-il fait ? Ils avaient un sujet un or, un casting franchement honorable entre Jack Black et Jason Schwartzman comment ça se fait que ça soit aussi chiant ? Parce que pour bien comprendre on part quand même d'une histoire vraie où un chanteur polonais de Polka monte plus ou moins malgré lui, plus ou moins consciemment une pyramide de Ponzi.
    Le côté escroc au grand cœur rappelle forcément Bernie avec le même Jack Black. Sauf que là ben Jack Black est en roue libre avec son faux accent polonais, alors que dans les quelques images qu'on a du vrai Jan Lewan à la fin du film il ne semble pas avoir un si fort accent, mais surtout on n'a rien de plus que Jack Black avec son accent.

    Alors que franchement il y avait tellement de choses à faire, il fallait clairement faire une sorte de Loup de Wall Street avec cette histoire, le personnage est tellement haut en couleur que j'ai du mal à concevoir comment on fait un film aussi sage et chiant comme la pluie.

    D'ailleurs à la fin on voit donc le vrai Jan Lewan qui chante une chanson où il rappe de la Polka en courant limite sur scène et franchement c'est bien plus fou que tout le reste du film parce que c'est totalement absurde et là clairement dans le film on ne joue pas assez sur ce côté absurde.

    On est clairement dans un des cas où la réalité dépasse la fiction, parce que la fiction est faite sans moyen tout a dû passer le cacher de ses célébrités et il n'y avait plus rien pour tout simplement filmer un peu ces scènes de concert qui ont l'air juste hallucinante de n'importe quoi.

    Bref, c'est mauvais, calibré, trop sage et ceci malgré un sujet de départ très bien choisi et qui donne franchement envie.
    benitoberlon
    benitoberlon

    43 abonnés 962 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    Rien que pour le jeu de Jack Black, en escroc à la grande bouche chanteur de Polka, le film mérite le détour....comme d'hab avec Jack Black, on voit toujours des bonnes comédies, à niveau plus ou moins bons, mais qui se laisse déguster par le jeu du seul acteur vraiment fou fou avec Jim Carrey!
    Un biopic "comédie" WTF!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 février 2018
    film netflix sympa avec Jack Black qui donne une performance en-dessous de l'habituel. un film oubliable et sans plus
    defleppard
    defleppard

    295 abonnés 3 226 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2018
    Un petit biopic sympathique..........dont le principal auteur ne méritait peut-être pas que l'on en fasse un film, car l'intrigue reste mince malgré tout.............mais se regarde avec plaisir.............2 étoiles et demie..........!!!!!!!
    RedArrow
    RedArrow

    1 511 abonnés 1 482 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2018
    Dans le genre histoire vraie incroyable, celle de Jan Lewan fait très fort ! Dans les années 90, cet immigré polonais autoproclamé roi de la polka de Pennsylvanie a monté une arnaque façon pyramide de Ponzi en proposant des investissements à un taux de revient hallucinant de 12% à des retraités fans de sa musique dans près de 14 états américains ! Évidemment, il se servait des versements des uns pour rembourser parfois ceux des autres afin de maintenir l'illusion mais surtout il a monté un véritable business fort de sa petite notoriété dans son domaine musical, le conduisant même à créer des voyages organisées où ses investisseurs eurent la possibilité de rencontrer Jean Paul II en personne. Le chanteur sera aussi nommé aux Grammy Awards, dans la catégorie polka, au milieu d'un parterre de stars de l'époque (dont un certain Donald Trump comme en témoigne les photos du véritable Jan Lewan pendant le générique de fin).

    Mais ce que la réalisatrice Maya Forbes (l'excellent "Daddy Cool") va nous dévoiler c'est le caractère ambivalent de cet homme aussi jovial qu'attaché à rendre heureux sa famille et son entourage quitte à vivre dans la plus parfaite illusion. Le schéma est classique, l'homme est emporté dans la spirale infernale de son escroquerie mais il reste persuadé à chaque instant que son destin de conquérir l'Amérique par son art musical lui est acté et que les moyens pour y parvenir, aussi malhonnêtes soient-ils, s'arrangeront d'eux-même une fois son but atteint. Et puis, les rares moments où son système atteint ses limites, où il est au bord de la ruine ou que le gouvernement pointe le bout de son nez dans ses affaires, tout semble miraculeusement s'arranger seulement par la magie de sa foi inébranlable en ce fameux rêve américain alors pourquoi ne pas continuer ?
    D'ailleurs, au-delà de son ascension personnel, l'homme s'attache à ce que tous ses proches jusqu'à ses fans soient touchés par sa réussite, l'empathie sincère presque dévorante dont il preuve à leur égard apporte un côté touchant, voire enfantin à cet escroc pourtant bien conscient de ses actes mais qui ne semble les réaliser que pour s'assurer que sa famille au sens large du terme ressente le même bonheur qu'il est train de vivre. Ce sera d'autant plus douloureux de le voir chuter à cause de cette volonté qui l'entraînera à commettre une faute bien trop grossière simplement par amour. La dernière partie du film sur la révélation de sa tromperie et de ses conséquences paraîtra hélas expédiée et sombrera trop dans l'excès pour réellement convaincre (aïe, la séquence de l'hôpital), ce qui s'avérera dommage car "Le Roi de Polka" avait jusque-là su maintenir un équilibre constant entre l'humour absurde découlant du statut kitchissime de la polka (les scènes musicales et autres clips rétros sont juste hilarants), la bonhommie attachante du personnage et, bien sûr, les proportions ahurissantes de toute cette affaire.
    Pour finir, il faut souligner le grand numéro offert par Jack Black et son accent polonais à couper au couteau, sa générosité de jeu aussi adéquate dans la drôlerie que dans les moments plus dramatiques épouse merveilleusement bien les contours de ce personnage fascinant tiraillé entre tous ses excès. Jenny Slate dans le rôle de sa femme cherchant à s'affirmer et Jason Schwartzman en meilleur ami clarinettiste de génie (tous deux premières victimes du rayonnement séducteur de Jan Lewan) ne sont pas aussi en reste et donnent tous l'impression de s'amuser dans une bonne humeur générale à retranscrire ce fait divers pour le moins étonnant.

    Il faut croire que l'emprise instantanément amicale de Jan Lewan a aussi un effet communicatif sur le spectateur car, hormis cette dernière partie un peu loupée, ce "Roi de la Polka" n'a presque pas usurpé son titre.
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