Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Choix puissant de jouer de la cécité comme révélateur de l’aveuglement d’un pays sur son passé, et de son incapacité à l’introspection.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Dominique Widemann
Des métaphores, Vatche Boulghourjian a fait acte d’incarnation et de beau cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Tramontane, excellent premier long-métrage de Vatche Boulghourjian, remarqué à la Semaine de la critique du dernier Festival de Cannes, évoque la mémoire en morceaux des Libanais d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
"Tramontane" raconte subtilement les cicatrices de la guerre. Le film est porté par un vrai suspense et l'interprétation remarquable de Barakat Jabbour.
Paris Match
par Alain Spira
Non seulement ce film est d’une intelligence et d’une puissance magistrale, mais Barakat Jabbour, son acteur principal, est phénoménal. Si vous n’avez pas la chair de poule en l’entendant chanter, c’est que vos oreilles sont aveugles…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
La mise en scène, au moyen d'une sorte de simplicité aiguë (...) et à force de serrer son personnage, réussit en quelque sorte à nous faire entrer dans ses ténèbres, à nous en faire partager les affres.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Des vues apaisantes de la campagne libanaise au visage pétrifié de Rabih, partagé entre colère et interrogation, Vatche Boulghourjian s’en prend à la fausse quiétude d’un pays qui se ment, incapable de regarder son passé en face. Et se frotte à un vrai challenge de cinéma : mettre en scène un acteur sans regard sur lequel s’appuyer dans un film où la question du point de vue est centrale. Beau geste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Charles Tesson
La grande force, l’intelligence, de "Tramontane", ce qui en fait son prix et sa beauté, consiste à faire cheminer ou coexister ensemble le réel et le symbolique.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’art de la métaphore ne connaît pas de limite, ainsi qu’en témoigne l’auteur de ce film qui ne ménage pas sa peine lorsqu’il s’agit de suggérer et de contempler.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sensible, où la quête d’un homme, qui vit dans le noir complet, pour essayer de retrouver son histoire renvoie métaphoriquement à celle d’un pays errant pareillement à la recherche de lui-même.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une chose est sûre, Tramontane n’est pas un film très léger mais il saura émouvoir avec son personnage principal, joué par Barakat Jabbour, un vrai musicien aveugle qui lui donne toute son ampleur au fil de superbes mélopées filmées en live.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Vatche Boulghourjian suit l’errance d’un musicien non voyant dans le Liban des montagnes.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un film délicat, qui ne tombe jamais dans le pathos.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Filmé comme s'il s'agissait d'un évènement quotidien, tout près du réel, "Tramontane", présenté en mai 2016 à la Semaine de la critique à Cannes, raconte le souffle fatigué et fétide de l'histoire, mais aussi le souffle de la vie d'un jeune homme qui espère dans l'avenir, le sien et celui de son pays.
VSD
par Bernard Achour
Une touchante recherche d’identité.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Sans grand défaut formel mais d’un didactisme raide, "Tramontane" peine à dépasser son sujet et à incarner de véritables enjeux dramatiques et psychologiques autour de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ce drame sensible et touchant perd malheureusement sa grâce à trop vouloir rationaliser son récit.
Télérama
par Cécile Mury
Pétri de colère, le héros est un beau personnage. Mais cette oeuvre généreuse souffre d'une structure très linéaire et répétitive. Il manque à cette histoire de trauma collectif les ruptures formelles qui en auraient souligné la violence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Choix puissant de jouer de la cécité comme révélateur de l’aveuglement d’un pays sur son passé, et de son incapacité à l’introspection.
L'Humanité
Des métaphores, Vatche Boulghourjian a fait acte d’incarnation et de beau cinéma.
Le Figaro
Tramontane, excellent premier long-métrage de Vatche Boulghourjian, remarqué à la Semaine de la critique du dernier Festival de Cannes, évoque la mémoire en morceaux des Libanais d'aujourd'hui.
Le Parisien
"Tramontane" raconte subtilement les cicatrices de la guerre. Le film est porté par un vrai suspense et l'interprétation remarquable de Barakat Jabbour.
Paris Match
Non seulement ce film est d’une intelligence et d’une puissance magistrale, mais Barakat Jabbour, son acteur principal, est phénoménal. Si vous n’avez pas la chair de poule en l’entendant chanter, c’est que vos oreilles sont aveugles…
Positif
La mise en scène, au moyen d'une sorte de simplicité aiguë (...) et à force de serrer son personnage, réussit en quelque sorte à nous faire entrer dans ses ténèbres, à nous en faire partager les affres.
L'Obs
Des vues apaisantes de la campagne libanaise au visage pétrifié de Rabih, partagé entre colère et interrogation, Vatche Boulghourjian s’en prend à la fausse quiétude d’un pays qui se ment, incapable de regarder son passé en face. Et se frotte à un vrai challenge de cinéma : mettre en scène un acteur sans regard sur lequel s’appuyer dans un film où la question du point de vue est centrale. Beau geste.
La Septième Obsession
La grande force, l’intelligence, de "Tramontane", ce qui en fait son prix et sa beauté, consiste à faire cheminer ou coexister ensemble le réel et le symbolique.
La Voix du Nord
L’art de la métaphore ne connaît pas de limite, ainsi qu’en témoigne l’auteur de ce film qui ne ménage pas sa peine lorsqu’il s’agit de suggérer et de contempler.
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible, où la quête d’un homme, qui vit dans le noir complet, pour essayer de retrouver son histoire renvoie métaphoriquement à celle d’un pays errant pareillement à la recherche de lui-même.
Le Journal du Dimanche
Une chose est sûre, Tramontane n’est pas un film très léger mais il saura émouvoir avec son personnage principal, joué par Barakat Jabbour, un vrai musicien aveugle qui lui donne toute son ampleur au fil de superbes mélopées filmées en live.
Le Monde
Vatche Boulghourjian suit l’errance d’un musicien non voyant dans le Liban des montagnes.
Les Fiches du Cinéma
Un film délicat, qui ne tombe jamais dans le pathos.
Les Inrockuptibles
Filmé comme s'il s'agissait d'un évènement quotidien, tout près du réel, "Tramontane", présenté en mai 2016 à la Semaine de la critique à Cannes, raconte le souffle fatigué et fétide de l'histoire, mais aussi le souffle de la vie d'un jeune homme qui espère dans l'avenir, le sien et celui de son pays.
VSD
Une touchante recherche d’identité.
Critikat.com
Sans grand défaut formel mais d’un didactisme raide, "Tramontane" peine à dépasser son sujet et à incarner de véritables enjeux dramatiques et psychologiques autour de son héros.
Studio Ciné Live
Ce drame sensible et touchant perd malheureusement sa grâce à trop vouloir rationaliser son récit.
Télérama
Pétri de colère, le héros est un beau personnage. Mais cette oeuvre généreuse souffre d'une structure très linéaire et répétitive. Il manque à cette histoire de trauma collectif les ruptures formelles qui en auraient souligné la violence.