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    Swagger
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    Peter Franckson
    Peter Franckson

    34 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    Le réalisateur étant en résidence artistique à Aulnay-sous-Bois (93) au collège Claude Debussy, cela lui a permis de côtoyer les collégiens et de mieux se faire accepter. Il centre son documentaire sur 11 d’entre eux. La plupart sont français et ils ont tous une origine africaine (Sénégal, Bénin), arabe ou indienne. Certains, d’ailleurs, ne connaissent pas de français « de souche », les rares qui restaient étant partis et ils reconnaissent qu’il serait difficile de vivre avec eux, vu les différences culturelles. Chaque collégien s’exprime au cours du film sur son origine et sa famille, sa religion et Dieu, l’amour et son avenir. Ils sont tous attachants, notamment Régis, très lié à sa mère, aimant se vêtir avec beaucoup de soins et voulant être styliste, Paul, originaire de Pondichéry et dont le père est endetté et malade psychologiquement (ce qui lui vaut des moqueries de la part d’autres collégiens), batteur et qui assure les démarches administratives pour sa famille en raison de sa meilleure maitrise du français. Le film, à la fois documentaire mais aussi de fiction (certaines scènes sont recréées avec talent) sort ainsi des clichés sur la banlieue et bénéficie d’une très belle photographie. Seul bémol, c’est parfois un peu long (1h24) avec quelques scènes inutiles, faute de vrai fil conducteur.  .
    Tricky T.
    Tricky T.

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2016
    Film singulier dans le paysage du cinéma français, à mi-chemin entre le documentaire et la fiction.
    Inventif, intelligent et généreux.
    Bravo !
    laterreestbleue
    laterreestbleue

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2016
    c'est le dispositif de mise en scène qui fait la différence, le sel et l'originalité de ce documentaire à aller voir.J'ai été très touchée par la jeune fille qui n'arrive même pas à dire son nom alors uq'elle est au demeurant extrêmement vive : elle n'ose pas, elle est empêchée : on le voit à l'écran, c'est mystérieux te très beau ce mélange d'émotion trop forte, envahissante, mélangée à une mise à l'écart social qui évidemment la prive de parole. Un temps fort du film : d'autres aussi, nettement plus drôles mais aussi touchant : la palme au jeune garçon indien :-)
    Emma Schell
    Emma Schell

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2016
    Coup de coeur pour SWAGGER ! Ni tout à fait un film, ni véritablement un documentaire formaté pour un nouveau numéro d'envoyé spécial, Swagger pourrait être rangé dans la catégorie cinéma social d'utilité publique.

    Par la beauté des images, par une mise en scène savamment étudiée et une multitude d'entretiens hauts en couleur avec 11 adolescents du 9-3, le spectateur plonge dans l'univers de la banlieue sans filtre, sans trash, sans condescendance.

    Mais commençons par le commencement :

    - Kesako qu'être « un Swagger » ?... : c'est une façon de se comporter et d'apparaître au monde d’une manière qui génère du respect au sein de votre entourage.

    - Y a t il dans le dico, une définition de la banlieue autre que la couronne qui entoure la ville ? Et bien oui, car ce mot même de banlieue est chargé d'ambiguïtés puisqu'il recouvre cinq notions : une notion juridique se rapportant au droit féodal, une notion géographique, celle de ceinture urbanisée dépendante du centre, une notion sociologique permettant de rendre compte de l'exclusion qui touchent les habitants des marges urbaines, une notion culturelle qui fait référence aux pratiques festives qui sont nées sur ce territoire (tags, rap…), une notion symbolique enfin pour exprimer le discrédit qui pèse sur une partie des populations périphériques.

    Fort de ces éléments, je vous encourage vivement à accompagner -et soutenir- le cinéaste Olivier Babinet dans cette vibrante chronique sociale.

    Swagger, tour à tour émouvant, interpellant, pertinent, drôle est une véritable leçon de vie, bien loin des clichés ordinaires véhiculés par les médias.

    Alors, je ne sais pas si j'ai du Swagg mais le film lui, n'en manque Pas !
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2016
    Bof bof.... pas emballé, je m'attendais à voir un super docu qui donne la pêche, au lieu de ça les jeunes choisi (à part 2 sympas) sont assez déprimants, on les entend à peine, ne croient en rien (à part lire le coran pour s'endormir)... je ne les trouve pas représentatifs du tout, ni passionnants... j'ai vu une "aide du cnc pour les nouvelles technologies"... c'est pour les drones qu'on voit à un moment donné dans la séquence Besson ? bof bof...
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    133 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Beaucoup de critiques insistent sur la "bouffée d'air frais" que constitue ce documentaire et je les comprend : on a enfin une peinture d'ado du 9-3 qui se démarque des regards anxiogènes (de facho de droite) ou misérabilistes (de bobo de gauche) habituels. Mais malgré les montages et l'empathie évidente du réalisateur, la réalité transpire à travers la pellicule et se dessine en creux la difficulté pour cette jeunesse à s'affranchir du déterminisme social qui la façonne. Le style original ne m'a pas forcément convaincu, le SF est superflu, la musique rajoutée emprunte aux pires téléfilms, les scènettes (mal jouées) ont peu d'intérêt et apportent un doute sur la sincérité des entretiens qui pour moi se suffisaient à eux-mêmes. J'avoue que ce visionnage m'a fait comprendre à quel point je sous estimait le décalage du monde dans lequel je vis par rapport à celui des banlieues. Moi qui pensait "bande de fille" caricatural... L'aspect complètement normalisé et banalisé des traffics ne m'a pas surpris, pas plus que l'importance de la religion. Maintenant je ne sais pas ce qui est le plus flippant des deux. Il est impressionnant de voir à quel point c'est la religion qui fonde le socle des valeurs de cette partie de la société. Elle s'est en cela complètement substituée à une éducation républicaine qui base son code moral sur la philosophie des lumières, les droits de l'homme et le respect de son prochain. A aucun moment les ados ne font référence à la loi ou à d'autres règles que celles définies dans les livres sacrés. Heureusement que les valeurs prônées entre la république et la religion sont proches. Le reportage permet par contre de mieux comprendre les sondages qui témoignent de la vision des banlieusards sur la femme, l'avortement ou les homosexuels. Le vivre ensemble n'est pas miscible dans les pratiques religieuses les plus traditionnalistes. J'ai aussi été choqué d'entendre les menaces de renvoi au bled pour mauvais comportement ; glacé de voir une gamine avec un bandage à la main après s'être fait violenter pour des résultats scolaires insuffisants ; effrayé d'entendre l'histoire du duel dans lequel on joue son honneur autour d'une foule armée de portables, le moyen âge version 2.0. Parmi tout ça le racisme anti rom est peut-être le pire : qu'une population déjà marginalisée et marquée par les préjugées à son encontre reproduise ce dont elle-même souffre... Il y a là quelque chose de sérieusement inquiétant. Pour finir sur une note positive impossible de ne pas mentionner l'évocation très touchante et lucide de l'amour par nos adolescents.
    Bernard D.
    Bernard D.

    98 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    J’ai vu en avant-première en présence d’Olivier Babinet son dernier film qu’il qualifie de documentaire « Swagger » … mais je suis sorti perplexe.
    S’il s’agit d’un documentaire, le panel de ces banlieusards oubliés par la société ne me parait pas très représentatif : ils sont tous « bien propres sur eux », soucieux de réussir dans la vie sans passer par la drogue et attachés à la religion que ce soit la mosquée ou l’église St Jean ! On s’étonne de voir un Africain corpulent soucieux de sa beauté, connaissant par cœur les « Feux de l’amour » et parlant de mode avec sa mère ; un hindou toujours en costume noir et cravate noire jouant de la batterie dans l’église St Jean mais on n’en sait pas plus ; une jeune Africaine qui ne termine jamais ses phrases et oublie ou a oublié tout y compris sa jeunesse ; une jeune maghrébine qui veut devenir architecte et pense qu’elle pourra payer ses études en étant éducateur scolaire et qui développe un discours paranoïaque sur Mickey et les Barbie … bref des personnages anachroniques qui ne dégagent aucune « compassion » hormis une Africaine qui s’aperçoit que le seul blanc qu’elle connait est en fait un Portugais et une Magrebine qui pleure et tourne le dos à la caméra lorsqu’elle évoque ses grands-parents paternels qu’elle n’a pas connus !
    Tous ces personnages – en règle filmés en plan fixe dans leur lycée – se côtoient sans cesse à l’image en arrière-plan par exemple, et dans le montage qui juxtapose sur les propos de l’un le visage des autres … mais jamais ces personnages ne se rencontrent réellement et parlent entre eux de leurs vies en dehors de 2 scènes qui déclenchent les rires car complètement décalées et oniriques : l’Africain efféminée qui veut devenir styliste apparaît en un richard en manteau de fourrure avec plusieurs files à ses bras et l’hindou joue le rôle d’un Africain qui se plaint du racisme des blancs auprès d’Africains et de Maghrébins mais la scène se termine dans un fou rire général. Je ne parlerai même pas d’une scène du type « Singing in the rain » joué par l’hindou pour souligner l’utilisation abusive des ralentis et des caméras-drones, et de l’incrustation de la cité dans un jeu vidéo.
    Bref, on n’apprend rien si c’est un documentaire … et c’est un « navet » si l’auteur a eu la velléité de faire un film « militant ». Je n’ai pas assisté au débat qui suivait ce film … c’est dire si !
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 328 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Avec de ridicules effets de mise en scène, Olivier Babinet propose une vision partielle (en tout cas on l'espère) de la jeunesse de banlieue dont une grande partie manque profondément de tolérance. Cette vision assez terrible et anxiogène est aux antipodes de ce qu'on peut attendre d'un documentaire argumenté et ne peut que nourrir les clivages d'une société déjà fragmentée. Un brûlot dangereux.
    Christoblog
    Christoblog

    738 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2016
    Drôle de film que ce Swagger, qui porte bien son nom : swag = qui a du style, qui est charismatique.

    Olivier Babinet choisit de nous montrer frontalement le témoignage de plusieurs jeunes collégien(e)s du 93.

    L'originalité du film est de les magnifier à travers des éclairages très expressifs, et même parfois par des mises en scène qui les placent dans des situations d'acteurs / stars. On est donc loin des habituels processus de stigmatisation de la banlieue : le film est plutôt dans le registre du "Regardez comment on rêve, matez comme on assure".

    Swagger fonctionne assez bien sur ce registre casse-gueule, par la grâce de jeunes qui semblent tombés du ciel et composent une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres : futur styliste assumant sa différence y compris par la bagarre, jeune fille toute menue et immensément raisonnable, jeune homme ombrageux au bandana rouge, jeune indien au costard impeccable qui se déchaîne sur une batterie.

    Même si j'ai quelques réserves sur des parti-pris de mise en scène (les plans de coupe sur des jeunes quand d'autres s'expriment, comme s'ils étaient là, alors que ce n'est pas le cas), il faut dire que le film est diablement séduisant. C'est peu dire qu'il s'en dégage une incroyable énergie, pondérée par la crudité de certains constats : le racisme anti-roms que tout ce beau monde exprime par exemple. On est toujours le paria d'un autre.

    Swagger est une production typique de la section ACID du Festival de Cannes : décalée et sympathique.
    keser
    keser

    18 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2016
    Film documentaire à voir absolument sur les territoires oubliés de la République. A travers le prisme de ces jeunes de banlieue, on observe l'échec de l'Etat dans les domaines de l'éducation,la sécurité...Une vrai poudrière qui est prête à tout moment à imploser. Les plans entre les interviews sont très soignés et montrent la division criante entre villes et banlieues. Malgré tout cela ces jeunes sont remplis d'espoir pour peu qu'on leur en donne les moyens ...
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    150 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2016
    "Swagger" est une double réussite. D'abord car il témoigne d'une réalité sociale dont on n'a pas pleinement conscience. Ensuite car il renouvelle profondément le genre documentaire. Le film témoigne bien de l'énergie et de la volonté de réussir qu'il y a dans les quartiers périphériques des grandes villes. Et on ne peut que souhaiter que le racisme ambiant ne vienne pas barrer la route à ces jeunes gens. Mais il témoigne aussi d'une césure effrayante dans notre société où des ados vivant à deux pas de la Tour Eiffel ne croisent jamais un """Français de souche""" dans leur quotidien. Cette ségrégation sociale couplée aux représentations que se construit n'importe quel adolescent ne fait qu'accentuer la fracture. Sur le plan formel, le film est radicalement nouveau car il revendique une esthétisation digne d'une grande production hollywoodienne et s'amuse sans arrêt avec l'effet Koulechov en mettant bout à bout des fragments d'interviews qui semblent se répondre (alors qu'elles sont isolées les unes des autres). A voir ! Et messieurs du gouvernement, un nouveau plan Banlieue s'impose d'urgence !
    Daniel C.
    Daniel C.

    131 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2022
    Le "swagger", c'est le fanfaron et ce titre est un emprunt à Shakespeare, dans "Le songe d'une nuit d'été" : "Quels sont ces rustiques personnages qui font ici les fanfarons, si près du lit de la reine des fées ? " Et c'est vrai qu'ils ont une dimension shakespearienne ces jeunes d'Aulnay-sous-Bois. Quelle puissance ! Quelle fulgurance dans ces regards, dans ces discours. Le montage, qui alterne un discours face caméra avec des regards, qui n'appartiennent pas au locuteur amplifie la portée du discours. Qu'est-ce qu'un français d'origine ? Difficile à dire, puisqu'ici on n'en voit pas. Mais le désir de vivre, la volonté d'exister, l'ambition, les idées ne manquent pas et au-lieu de désigner les "pas comme nous" comme le font si volontiers nombre de politiques, cherchons ce qui nous rassemble au sein de l'humanité. Ce film est prometteur, il est grave, il est beau, il est inventif. On rit souvent, on est ému de ce qu'on entend et de ce que nous livrent ces jeunes. Ce film montre une banlieue, dont l'esthétique existe et dont les habitants sont dignes. Bravo Olivier Babinet, continuez de nous faire partager votre regard sur le monde !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2016
    Passionnant dans le fond, original dans sa forme, ce film est une pépite pop dans l’univers souvent plombé du « documentaire sociétal ». (...) Swag !

    LA SUITE :
    conrad7893
    conrad7893

    258 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2018
    un documentaire qui nous éclaire sur le quotidien d'ados vivant dans le 93. On y découvre leur quotidien, leurs rêves, leurs traditions et leurs réflexions sur le monde, l'amour, la religion.
    un documentaire sans tralala sans blabla
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    Olivier Babinet avait travaillé durant quelques années avec des jeunes du « 9.3 » en atelier quand lui vint une belle inspiration : faire un doc sur cette jeunesse souffrant d’une image caricaturale trop éloignée de la réalité. 11 jeunes, tous issus de l’immigration, vont passer devant la caméra pour évoquer leurs rêves, leurs quotidiens et le plus fort nous renvoyer leurs réflexions sur ce que représente « être français » et la France à leurs yeux… eux victimes d’un déterminisme social fort. Et quelques phrases cinglent et doivent nous alerter d’autant plus qu’elles sortent de la bouche d’une jeunesse apaisée et plein de rêves en tête. Eux qui semblent avoir peu conscience des difficultés à réaliser ces rêves lorsque tu résides à Aulnay ou Sevran : une génération de déçu se dessine devant nos yeux. Deux exemples de ces phrases chocs qui montrent le déterminisme social dont ils auront beaucoup de mal à s’extraire : « des français de souche, je n’en ai jamais croisé » ; « lorsque les arabes et les noirs sont arrivés dans la cité, les blancs sont tous partis »… Si çà ne décrit pas une France en marge !!! Mais le film de Babinet n’est pas du tout un plaidoyer, une mise en garde ou une revendication ; c’est avant tout un film souvent léger et drôle… voire haut en couleur quand il donne à voir une jeunesse pleine de potentiel et de personnalité. Et puis pour un doc, il n’oublie pas le 7ème art afin d’éviter un énième reportage à la « Envoyé spécial ». Témoin de ce souci de faire cinéma et d’apporter une dose de fiction : Swagger débute comme un conte pour enfants ; les lumières de la ville clignotent dans la nuit, la caméra vole, s’invite dans les intérieurs où tous les possibles sont ouverts. En confiance avec Olivier Babinet, ces ados font preuve de beaucoup d’intelligence et de clairvoyance sur le monde dans lequel ils vivent ; ils font de la politique sans le savoir, une conscience politique forte sommeille dans ces quartiers. Comme quoi la République n’est pas si moribonde. Et en çà le film est fort car optimiste et pas du tout misérabiliste. Un film qui ré enchante le monde et donne à la banlieue une image lumineuse comme rarement au cinéma. Après, çà reste un docu bien mis en scène mais où les personnages restent figés ; on aurait tant aimé voir évoluer cette jeunesse pour donner encore plus d’ampleur au film. Un film bien utile encore une fois.
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
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