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janus72
44 abonnés
261 critiques
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2,5
Publiée le 13 novembre 2017
Là encore, comment ne pas s'étonner en regardant les Infos venant d'outre-atlantique . . . Violence récurrente - glaçante et stylisée qui finit par être assommante, même si le film est visuellement très réussi. L'histoire d'un type martyrisé dans son enfance puis marqué à vie par ses guerres du golf qui finit par gagner sa croûte en tueur à gage... fallait évidemment y penser car on est encore ici gratifié d'un scénario TOTALEMENT ORIGINAL ! ! ! Joaquin Phoenix "Superstar" en loser désabusé a pris ici son masque de cocker mal brossé, et moi demain j'aurai sans doute déjà tout oublié :-(
bof, bof, bof beaucoup de violence, peu de dialogues, trop capilotacté.. franchement ? une palme d'interprétation masculine ? C'est certes bien joué mais...
Le personnage principal est attachant car malgré ses tendances violentes il oeuvre pour de bonnes choses tout en établissant des plans intéressant. Cependant, je suis pas très fan de la fin du film, qui laisse le spectateur sur des interrogations, c'est un peu dommage.
Pas pour le film pour Joachim Phœnix dont l’interprétation est époustouflante. Beaucoup trop de violence dont on comprend mal le but ,je crois que je suis passée complètement à côté ce film aura du mal à trouver son public
mais qu'elle daube! un scénario inexistant, une histoire sans queue ni tête. d'accord il a souffert jeune, on en voit des flashback. mais bon pourquoi il en arrive à sauver une petite fille d'un réseau de pédophiles? on ne sait pas. tellement improbable, aucun enchaînement, des scènes ridicules. non vraiment, non! quant à PHénix, on l'a vu mieux. très decevant
L’intrigue de A Beautiful Day donne l’impression d’être celle d’un thriller décérébré tel qu’on en trouve des centaines en direct to vidéo mais traité à la manière d’un film d’arts et d’essais. La même histoire avec Steven Seagal n’aurait certainement jamais eu le droit à une sélection au Festival de Cannes. On en voudra surtout au distributeur SND d’avoir voulu nous faire croire à un tout autre film que celui pensé par Lynne Ramsay, histoire de gonfler le nombre de spectateurs. Nul doute qu’ils seront peu nombreux à les remercier à la fin de la séance tant le film est ennuyeux et bien loin de ressembler à Taxi Driver. [lire la critique complète sur freakingeek.com]
Un film dense et puissant. Un film qui prouve qu'avec du talent, on a pas besoin d'un rythme endiablé, d'une débauche d'actions, de cascades, d'hémoglobine, d'un flot de dialogues indigents pour faire instaurer une véritable tension et donner un film qui passe à une vitesse folle. Par sa folie, sa violence, son désespoir, Joaquim Phoenix est énorme. Terrifiant et attachant. A voir absolument et à vous de juger.
Avec la lecture du titre "Le Taxi Driver du 21ème siècle", sachant que le réalisateur était... une femme, je suis allé voir ce film.... Certes, j'aime l'action, mais pas la violence poussée à ce point, et qui, pour moi, est plutôt du genre "Sado Maso". Je serai curieux de savoir qui est vraiment la réalisatrice de ce film noir. Sans être, ou me prétendre, "Psy", à voir son film, on peut penser qu'elle a, soit des problèmes, soit des cauchemars.... Si vous aimez tout ce qui n'est pas net, et plutôt violent, avec pas de sang, allez voir ce film. Pour ma part, je me dis que j'ai eu beaucoup de courage à rester jusqu'au bout.
Ce film malsain amoral est une avalanche de violence gratuite du début jusqu'à la fin...cervelles éclatées et hémoglobine qui gicle au visage, par balles à bout portant dans la tete, ou crânes défoncés au marteau filmé plein cadre ce genre de scène au moins dix fois idem en 1h30. Ce film n est pas ma tasse de thé ( ma tasse de sang dirais-je...lol) le scénario tient dans un soucoupe de tasse de thé , lui aussi vraiment plat.... mais il faut de tout pour faire un monde . Je suis sur qu il y a des gens qui aiment....
Joaquim Phoenix campe un personnage sombre, inquiétant où les dialogues sont quasi inexistants entrecoupés de scènes de violence. Cela aurait pu être un bon film seulement le scénario ne tient pas la longueur. Décevant sommes toute.
Le montage a égaré 1h28 de film de trop. Le scénario ? correct. La réalisation ? pathétique. Le jeu d acteurs ? en dehors de joaquin phoenix, rien (et encore il confine au ridicule a la fin). La musique ? mal utilisée. Le montage ? faudrait voir les rushs mais le risque de mourir d ennui est grand. Face aux références ? ni Drive, ni Taxi driver, ni Eastern promises qui sont des classiques. A Cannes il devait vraiment n y avoir rien à voir pour récompenser cette farce. La mome joue mal, les plans sont moches, la photo n a rien. 1 h 30 pathétiques et pas 2 h 00 c est la seule bonne nouvelle.
Loin du génie d'un Drive ou Taxi driver auquel ce film ne cesse pourtant d'être comparé, Lynne Ramsay se contente de nous livrer une adaptation faussement esthétisante de Taken, en réussissant l'exploit d'être peut-être encore moins subtile dans l'exercice que son confrère français.
Et nous voilà donc à suivre les pérégrinations de ce bourrin au grand coeur qui fait tomber à lui tout seul un réseau entier de pédophiles haut placés, à grand coups de marteaux dans le crâne et.....ben non, c'est tout en fait. Le mec fait tomber tout le réseau, tout seul, en écrasant les têtes de tous les mecs qui se mettent en travers de son chemin. Ca valait bien un prix du meilleur scenario.
Heureusement la réalisatrice se rattrape grace à l'habile, et au combien subtil portrait de son protagoniste principal : il est vrai que ses 120kg, sa barbe de viking, son maniement du marteau et les cicatrices qui recouvrent environ 50% de son corps auraient pu laisser perplexe le spectateur face à la nature de cet homme, que j'ai pour ma part pris au début pour un homme espiègle et plein de mystère (où veut-on m'emmener? J'étais totalement perdu).
Et tout d'un coup, patatras! Dans un twist rocambolesque, voilà que toutes mes convictions volent en éclat lorsque je voit mon amoureux transis spoiler: s'arracher une dent à la tenaille (de manière parfaitement gratuite d'ailleurs), et que se dévoile enfin la fin des flashbacks qui le hantent depuis le début du film. Et paf, tout dans la gueule, j'ai rien vu venir.
La prestation de Joachim Phoenix en elle-même reste cela dit à saluer, même s'il est regrettable qu'elle le soit au profit d'un personnage dont les traits ont été peints au rouleau à plafond.