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    El Presidente
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    btravis1
    btravis1

    98 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2018
    Difficile après avoir vu le film d'avoir une impression précise de son déroulement. Mélangeant un peu les genres, on est un peu déstabilisé au milieu du film quand le film politique prend une tournure psychologique pour revirer ensuite sur des enjeux purement stratégiques et économiques, sans être vraiment sûr de pouvoir tirer des conclusions sur certaines révélations. Ricardo Darin est, comme à son habitude, impeccable. Son jeu subtil et son personnage, à l'effacement trompeur, font mouche. Cependant, le côté assez lent du film, jusqu'à sa moitié, et le fait qu'on ne sache pas vraiment sur quel pied danser, peut effectivement en rebuter certains.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    44 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2018
    Un film qui nous plonge dans un grand sommet des pays Amérique du Sud avec chaque président qui essaient de négocier selon l'ordre du jour et vient se greffer les problèmes d'une fille d'un des présidents tout cela mené comme un thriller intéressant mais pas complètement abouti à voir
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    384 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2018
    Qu’est-ce qu’y se passe dans la tête de chacun lors de ces rendez-vous au sommet ? Tout l’enjeu de la réalisation tourne autour de ce point fondamental. Santiago Mitre maitrise parfaitement les silences et les non-dits afin de remettre continuellement en cause ce que le spectateur pense savoir de la personne. Pour tous les amateurs de thriller à la House of Cards, c’est un film à ne pas manquer !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 janvier 2021
    Je ne sais vraiment pas quel est le véritable objectif de ce film. Quel est le but de ce président argentin qui insiste pour que sa fille le rejoigne en Amérique. Le scénario ne développe pas clairement le scandale de conspiration auquel ce président est confronté il nous le montre seulement vaguement dans un dialogue douteux que le mari a avec sa fille et va exposer du linge sale que ce président essaie de cacher au peuple. Je ne sais vraiment pas comment catégoriser ce film qui ne va nulle part et qui est presque sans indice. Quel est le véritable objectif de ce film. Un thriller politique ?. Un meurtre mystérieux non résolu ?. Une hallucination de la fille d'un président ?. Quel est le véritable but de ce film comme nous le voyons. Christian Slater a joué un colporteur politique américain avec une certaine exagération avec beaucoup de gestes et de langage corporel inadaptés. Il voulait juste nous donner une impression de l'arrogance du décideur politique même pendant une négociation en coulisse. Ce film voulait aussi nous faire savoir que le président argentin est le porte-parole du gouvernement américain. Mais malheureusement lorsque vous vous êtes forcé à rester assis à regarder cette histoire en vous attendant à ce que quelque chose puisse être entièrement expliqué à la fin avec votre patience presque vaporisée ce que vous avez obtenu n'est qu'un gros rien...
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    35 abonnés 1 077 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2018
    Le film comprend, en fait, 2 histoires, d’une part, celle du président argentin (Ricardo Darín), Hernán Blanco, qui participe à un sommet des présidents des états d’Amérique du Sud au Chili (dans un hôtel isolé à 3 000 m d’altitude, afin de créer l’Alliance Pétrolière du Sud) et d’autre part, ses relations difficiles avec sa fille, Marina, qui souffre de problèmes psychologiques et dont le mari (dont elle est séparée) menace de dévoiler les fausses factures de son beau-père alors qu’il était gouverneur de la province de La Pampa. Le 1er sujet est le plus intéressant : on y découvre les égos des chefs d’états (Hernán Blanco passe pour un homme ordinaire voire sans talents ni compétence) ainsi que les postures et les manipulations des uns et des autres pour défendre l’intérêt de leur pays mais aussi le leur : spoiler: défiance du Mexique vis-à-vis du géant Brésil, hostilité vis-à-vis des Etats-Unis (excellent Christian Slater qui joue l’envoyé du président américain, cynique, manipulateur et charmeur à la fois), pays voisin mais pas frère, sans pour autant, refuser leur aide économique
    . Passionnant mais trop court : on est loin, de « L’exercice de l’état » (2011) de Pierre Schoeller ou même de la comédie « Quai d’Orsay » (2013) de Bertrand Tavernier. Ce sommet (au sens propre et figuré !) est parasité par les troubles psychologiques de Marina dont son père pourrait être responsable : le fait d’être homme politique apporte peu et le réalisateur ne tranche pas concernant la véracité de ses propos. Dommage car le film devient décevant, ne sachant pas quel sujet traiter. Un film bancal mais aux belles images de paysages andins et à la superbe musique d’Alberto IGLESIAS, surtout connu pour être le compositeur attitré de Pedro Almodóvar depuis 1995 et qui a d’ailleurs obtenu 10 fois le Goya de la meilleure musique de film entre 1995 et 2012. .
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    C'est un homme qui se prétend ordinaire, sinon qu'il est le président d'une certaine république d'Argentine. On pense, d'ailleurs, non sans sourire, à un autre président, français, qui se prétendait issu du peuple et ordinaire. Mais l'homme sait qu'il n'est pas un être ordinaire, d'autant qu'il se rend à un important séminaire au Chili où sera décidée la création d'une fédération économique d'Amérique du Sud. "El Presidente" est un film puissant. Puissant parce qu'il regarde les arcanes du pouvoir avec distance, tout autant qu'il regarde l'incarnation du pouvoir par un homme, veuf, inquiété pour une vague affaire de corruption qui remonte à dix et ans, et surtout sa propre fille, visiblement dérangée. Le long-métrage est mis en scène à la manière d'un thriller politique. Le président n'est pas celui qui parle le plus. Il écoute, il guette, il réfléchit et il dégaine. C'est un film qui déroule la mécanique diabolique du pouvoir. On se rend compte de la capacité à résister aux coups, du cynisme dont il est nécessaire pour endosser un tel rôle. Et en même temps, derrière le jeu de pouvoir, se cache l'homme. Le scénario est brillamment écrit, avec cette musique quasi permanente qui hante les dialogues ciselés des protagonistes. On pourra reprocher peut-être des séquences un peu bavardes, mais dans un film politique, on ne peut guère imaginer autre chose. Les décors enneigés sont superbes. Et surtout, il se dégage de cette œuvre une émotion quasi anxiogène, comme si, soudain, le spectateur était précipité dans les limbes de son propre gouvernement, ce qui fait de ce film un pamphlet quasi universel.
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2018
    Un sommet rassemble les principaux chefs d'Etat sud-américains au Chili, dans la cordillère des Andes. Hernan Blanco, le président argentin, est mis en cause dans une affaire de corruption par son ex-gendre.
    Sa fille débarque au sommet alors que les alliances entre délégations commencent à se nouer.

    El presidente est un film de Santiago Mitre de 2018 avec dans le rôle principal, l'acteur argentin, Ricardo Darin. Tout le film tourne autour de la personnalité énigmatique de ce sphinx, personne très équilibrée, dont on mesure cependant les rouages à l'aune des évènements privés qui le malmènent et des jeux politiques tissée par les uns et les autres. Le film a le mérite de baigner dans un réalisme absolu, notamment s'agissant des forces en présence et des alliances dans cette partie du monde. Seules certaines images trahissent la complexité des abîmes de la pensée du personnage principal comme, lorsque sur la route de la station qui héberge le sommet, il fixe de ses yeux clairs, en contrebas, les lacets de montagne semblables aux méandres du cortex cérébral.

    Blanco joue très bien la comédie, tant avec sa famille, qu'avec ses homologues. Son entrevue avec le représentant des Etats Unis (Christian Slater) montre tant son âpreté au gain que son sens du calcul politique et son absence de conviction. Le film se termine sur un vote à main levée qui lève complètement le voile sur son personnage principal.

    A titre personnel, je reprocherai cependant à l'ensemble un caractère beaucoup trop lisse, destiné à renforcer le réalisme du métrage.

    Aux cotés de Ricardo Darin, on notera la présence de Dolores Fonzi et d'Elena Anaya.
    cortomanu
    cortomanu

    63 abonnés 403 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    Je n'ai pas réussi à rentrer dans ce film. Entre coulisses politiques d'un sommet entre nations sud américaines, jusqu'à l'intrigue presque fantastique suite à différents fait divers dans l'entourage du rôle principal, finalement peu de choses m'ont accroché.
    Oui pour le jeu des acteurs, et le lieu qui donne le titre en VO au film: La Cordillera. Cet hôtel perché dans les montagnes Andines qui m'a rappelé de très loin le palace de Shining.
    Hélas ce film est finalement assez faible.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Vu et avis 20180130

    Film fascinant d'intelligence et de possibilité.

    Ca fait longtemps que je n'ai pas vu un film aussi ouvert à l' interprétation argumentée. Il mérite d'être vu et revu pour bien disséquer les éléments et se faire sa propre opinion.

    On va pouvoir être franc ! .... Autant qu'on peut l'être dans une réunion politique. Ce film est pareil, il peut distiller du vrai pour faire croire que le faux qui l accompagné est vrai. Tout comme parfois, moins on ment, plus l'interlocuteur vous crois un menteur invétéré et chevronné n arrivant pas a trouver le mensonge ; il vous croit meilleur menteur que lui. Ce film est ainsi fait : les entretiens avec la journaliste, la confidence réciproque avec sa fille, dans l'avion l'aveu du président que l'article lu est assez juste et qu'il est peut être un président invisible. Tout cela peut être de la vérité dans un souci de vérité, pour noyer le mensonge dans la vérité, des propos tenu par un menteur invétéré qui sait très bien mentir et cacher ses mensonges.

    Le début est excellent : le film commence sur cet électricien et son prénom qui nous tient en haleine pendant 5 minutes. Une grande réussite cinématographique. Le cinéma tient beaucoup dans comment dans une économie de moyen (budget, durée de séquence, d effet pour que la scène soit tournable, ...) produire le maximum pour le spectateur. Avec cet électricien le suspens est lancé, le fait que la caméra entre dans un lieu de pouvoir est avéré et le coût pour le filmer très faible par rapport à ce que cette scène produit - une séquence tragi-comique remarquable. D'autant plus que lorsque le convoi s arrête pour permettre au vice-président de mieux téléphoner à la délégation brésilienne, d autant plus donc que à ce moment là, le film ne nous le ressort pas dans une tentative d attentat disant regardez comme on vous a eu, vous l aviez oublié et pourtant il était louche. ...

    Le film n a pas de coup de théâtre spectaculaire, juste une intrigue qui avance, un président qui essaie de faire les bons choix dans le flou, personne ne peux les faire à sa place, le conseiller. Il est seul bien que très accompagné avec plein de monde prêts à les faire à sa place.

    En lisant les anecdotes j ai remarqué que 80% de la première demi-heure était tournée caméra à l'épaule. Effectivement en y repensant je m en souviens globalement mais cela ne m'a pas dérangé. Comme quoi on peut l'utiliser sans ostentation et efficacement.
    lugini
    lugini

    16 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mars 2018
    Santiago Mitre est à mettre définitivement dans la case des grands réalisateurs. Ce film est servi par un Ricardo Darin qui ne cesse de me surprendre par la variété et l'interprétation de ces rôles. Très bon film polito-polar-psychologique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 janvier 2018
    Le réalisateur a mélangé dans son chaudron l’exposition d’un délire traité par l’hypnose avec un exposé fort conventionnel sur l’exercice du pouvoir présidentiel dans les États sud-américains. A part une charge réussie (parce que très lourdement appuyée) sur l’arrogance étasunienne, le reste est insipide, voire incompréhensible. Évidemment, le réalisateur sait faire des images. Mais que voulez-vous que çà nous fasse ? Si vous êtes un spectateur qui paie sa place, et non pas un apprenti cinéaste qui doit savoir où placer sa caméra quand il filme une scène en montagne, vous pouvez avantageusement éviter ce film et aller boire un pôt pour le même prix. Quant à la politique sud-américaine, je doute que vous appreniez quelque chose si vous n’y connaissez rien et que vous trouviez que çà tient la route si vous êtes au courant.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    67 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    Un film intéressant et même passionnant et qui pêche probablement par son ambition. Il se situe sur deux niveaux: un niveau géopolitique; et l'analyse psychologique d'un homme. Il glisse perpétuellement d'un niveau sur l'autre, et pas toujours très adroitement. Le jeune Santiago Mitre, peut être, n'a pas encore suffisamment de métier pour maîtriser une mise en scène aussi subtile?

              Niveau géopolitique: il s'agit de l'interventionnisme des Etats Unis dans les affaires de l'Amérique latine, dont l'histoire récente nous a fourni de nombreux exemples, parfois dramatiques. Ici, un sommet réunit les chefs de gouvernement de l'ensemble du sous continent, pour décider de la formation d'un cartel pétrolier. Evidemment, les US veulent en être! Des affaires importantes ne sauraient se traiter sans leur aval... Pour cela, ils ont un cheval de Troie, le dynamique président mexicain Sastre (Daniel Giménez Cacho); et contre eux, le puissant président brésilien Prette (Leonardo Franco), aux mimiques mussoliniennes, à qui peu osent s'opposer.

              Le président de l'Argentine, Hernan Bianco, vient d'être élu (c'est le charismatiquissime Ricardo Darin...). Sa campagne, il l'a faite sur son nom: Bianco. Intègre, blanc comme neige. C'est un homme comme nous, de modeste extraction, un homme de la rue, qui sera un président normal (on pense à quelqu'un et on se marre.....). Et déjà, ses opposants l'accusent d'être transparent; on ne sait pas ce qu'il pense; il ne fait rien (on re-pense à re-quelqu'un et on se re-marre....). Son team l'exhorte à réussir ce sommet (et à ne pas se contenter de suivre le Brésil comme d'habitude), organisé par la présidente du Chili (Paulina Garcia) dans le palace d'un ski-resort, un endroit inouï à 3000m d'altitude, dans un paysage hallucinant de hauts sommets à perte de vue, dont on aurait du mal à imaginer l'équivalent dans nos Alpes, un havre de raffinement perdu dans la sauvagerie

                Pourtant Hernan a un talon d'Achille: sa fille, Marina (Dolores Fonzi). Enfant, elle a eu des crises de violence. Puis elle s'est mariée, a eu des enfants, s'est séparé de son mari, affairiste et drogué. Dans quelle mesure Hernan a t-il poussé à la séparation? Rien ne le dit dans le film -de toutes façons, rien n'est dit dans le film!- mais le spectateur se pose la question car Marina revoit son ex et, manifestement, l'aime encore.... Quand le film commence, à la toute première scène, l'ex en question menace de porter plainte contre le Président pour des faits de corruption qu'il connaîtrait. Celui ci fait venir Marina, qui réagit par une nouvelle crise de violence. Au cours de séances d'hypnose, censées la normaliser, elle voit d'étranges scènes, un incendie, un enfant.... toutes choses qui n'ont pas eu lieu, mais dans ce cas pourquoi Hernan met il un terme aux séances d'hypnose?

             Alors que le Président est invité, pour ne pas dire sommé, à une rencontre secrète avec le secrétaire d'Etat américain, parce que les US se disent qu'un homme si transparent doit être facile à manipuler, voire à acheter, nous autres spectateurs, nous demandons toujours: qui est réellement Hernan? 

             Il y a des pépites dans le cinéma argentin, et pas seulement Carlos Sorin! (je ne me suis jamais remise de Bombo el perro et j'attends toujours qu'il passe à la télévision...). En dépit de ses défauts, de son caractère par trop hétéroclite voire confus, El Presidente est une pépite! Cela dit, il doit beaucoup à Ricardo Darin, un des acteurs les plus fascinants de notre temps...
    Stéphane C
    Stéphane C

    53 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    Un thriller politique assez inégal. Si l’idée du sommet réunissant les chefs d’Etats sud américains est plutôt séduisante, l’irruption de la fille - faisant remonter à la surface le scandale de corruption - et l’aspect psychanalytique restent plus que douteux ...
    Dkc
    Dkc

    21 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2018
    Ce cross-over sud américain tente de mêler le thriller politique et le fantastique. Raté hélas. Il ne nous en reste plus qu'un ennui poli et une curiosité exotique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2018
    Pour les amateurs de travelling interminables et de palabres plombantes... à l'arrivée rien compris et ce n'est pas faute d'explications, mais peut-être me suis-je endormie...
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