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    La Sainte Famille
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    47 critiques spectateurs

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    70 abonnés 1 802 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2021
    Que Jean (Louis-Do de Lencquesaing) soit nommé ministre de la Famille alors qu’il ne gère pas sa propre famille, ça n’a rien d’exceptionnel, on sait très bien que les cordonniers sont les plus mal chaussés. Cette ironie du sort est bien la seule bonne idée de ce film d’un ennui incommensurable ! Dialogues à l’emporte pièce, séquences gratuites pour ne pas dire incompréhensibles, rien ne fonctionne dans ce film qui se revendique « comédie » ! Ça m’a paru décousu, effiloché, comme cette nomination de Jean au poste de ministre de la Famille, une séquence qui vient là comme un cheveu dans une soupe. Le film s’ouvre sur Jean qui raconte à ses étudiants dans une université à Nantes que les anguilles se perdent dans la mer des Sargasses pour la reproduction. Pourquoi aller si loin ? Pourquoi enlèvent-elles leur balise qui permettrait de comprendre leur fonctionnement ? On ne sait pas. Un mystère. Eh bien, « La sainte famille » est à l'image de ces anguilles : pourquoi ce film se perd-il dans une mer d'ennui ? Un mystère ! Une purge !
    Loïck G.
    Loïck G.

    292 abonnés 1 637 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2020
    Une fois encore le cinéma français se penche sur le cocon familial, pour des raisons assez obscures tant les attendus du récit ne portent pas à conséquence. Le milieu social, plutôt huppé n’apporte rien à l’attente espérée par quelques personnages si atypiques qu’ils en deviennent parfois énigmatiques, puis incompréhensibles. Les acteurs tentent de nous faire comprendre de quoi il retourne, mais malgré des jeux assez bien codifiés, on les laisse repartir sans regrets.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    590 abonnés 2 769 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2020
    La deuxième réalisation de l’acteur Louis-Do de Lencquesaing part d’une idée savoureuse : mettre en scène l’éclatement de l’unité familiale et le profond détachement avec lequel ses membres l’acceptent comme point de départ de la nomination ministérielle, Jean étant appelé à quitter ses fonctions de professeur à l’université pour devenir ministre de la famille. C’est dire l’hypocrisie qui règne et dans le milieu bourgeois ici investi et dans le microcosme du gouvernement, tous deux s’octroyant le droit de faire la morale et de donner des leçons de vie alors que la leur est définie par la débauche, l’infidélité, la « névrose ». Le film peint une collection de personnages grotesques enfermés dans un type de caractère et contraint d’errer dans des appartements immenses et vides, que l’on débarrasse après un décès ou un divorce. Tous sont à l’image du portrait de la jeune fille réalisé par Pissarro et accroché, vite fait bien fait, sur le mur de grand-maman : des figures tristes dans un cadre trop grand pour eux, sans âme ni couleur. Leur mouvement trouve dans l’histoire des anguilles évoquée en début et fin de long métrage une métaphore assez juste : ce petit personnel de théâtre s’agite sans qu’on ne comprenne pourquoi il prend la peine de se rassembler, une fois par an, pour s’accoupler et perpétuer sa lignée maladive. La seule différence véritable avec les anguilles, c’est que les membres de la famille sont dépourvus de mystère : on se moque de leurs problèmes, de leurs destinées malheureuses parce que terriblement solitaires. La Sainte famille réussit, et c’est là sa principale limite, à susciter un désintérêt total pour les personnages qu’il met en scène : en avouant à son mari être porteuse de l’enfant d’un autre, Marie ne déclenche chez lui que de l’indifférence, ouvre sur une question plus pragmatique : « on va dîner où ? ». Le film est brouillon et balbutiant, mais tire de ses faiblesses congénitales une profonde tristesse devant l’existence, une lassitude qui n’a d’égale que l’absence de surprise lorsque Jean apprend sa nomination.
    fan_de-cinoche
    fan_de-cinoche

    15 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2020
    Alors là, je ne comprends pas la mauvaise foi des critiques qui fustigent comme d'habitude les bobos parisiens... alors qu'il s'agit des névroses d'une famille bourgeoise. J'admets qu'on ne rentre pas dans l'histoire, qu'on s'ennuie... Il faut accepter cette petite musique aigre et plutôt glacée. Moins drôle que les films de Woody Allen, moins chaleureux que ceux de Valeria Bruni Tedeschi, celui-ci joue pourtant sa petite partition très personnelle, et parfois hilarante, notamment grâce à l'immense Marthe Keller ou à la délicieuse Brigitte Aubert. Léa Drucker est touchante, Laura Smet intrigante...
    Il faut se laisser porter par ce film intelligent et si bien joué (à l'exception notable d'Inna Modja qui annône son texte avec bien du mal). Une nouvelle fois, Louis-Do de Lenquesaing sait jouer sa partition familiale (ses relations avec des frères, de film en film sont toujours remarquables) sans apporter la moindre empathie. On croit réellement à tous les personnages (sauf un, lire plus haut), à ses relations avec ses enfants, ses assistants, etc...
    J'ai beaucoup aimé ce film triste qui fait bien rire par moments.
    Jacques R.
    Jacques R.

    31 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    « La Sainte famille » a le mérite d’être un film d’auteur destiné au grand public.
    Le casting est original et les comédiens tous remarquables. Louis-Do de Lencquesaing est un Capitaine qui tient bon la barre devant comme derrière la caméra. Son charme discret est envoûtant, Ministre de la famille qui ne se prend pas au sérieux, il observe la sienne sans complaisance, mais comme chez Renoir, se résout à ce que chacun ait ses raisons.
    C’est une forme de lucidité qui se révèle à l’âge adulte, parfois douloureuse, mais rend le personnage principal au fil de l’histoire, humain, trop humain. Un grand film philosophique divertissant qui réconcilie malgré son apprêté avec la vie.
    Une pépite à voir à l’époque d’un cinéma trop souvent sociétal et convenu. Cette ambiance impressionniste subtile vous poursuit longtemps après la fin du générique.
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2020
    c 'est pataud sans travail de fond et ça avance au grès du vent
    aucune consistance et encore moins d 'un interet quelconque
    quel est le sens ou le but de ce film ???? a quel public cela peut il s adresser ????
    un grand mystère entour cet ovni qui va bien vite passer dans les oubliettes du cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2019
    Vous avez envie de vous détendre devant un film sympa, et amusant sur la famille dans tout ce qu’elle a de peu reluisant mais aussi de plus profond, alors voir ce film conduit par une bande de comédiens tous très bons.
    pauletvirginie
    pauletvirginie

    1 abonné 50 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    On n'est jamais servi que par soit-même, c'est pour cela que LD s'est mis à réaliser ? Apparemment, il n'a pas trouvé d'acteur de l'âge du rôle, alors il se l'est donné. Mais il est trop vieux ! Comme dans l'immense majorité des films, d'ailleurs, les hommes ont toujours 10 ou 20 ans de plus que leur épouse.

    Et sinon, le pich est totalement mensonger : qu'il soit nommé ministre de la famille (ça arrive au milieu du film, on ne voit pas le 1er ministre, on ne voit pas de conseil des ministres, on ne le voit pas travailler ni rencontrer personne !) n'a aucune incidence sur le film, à part pour nous montrer que c'est de l'humour, ministre de la famille alors qu'il a des problèmes avec la sienne, ah ah !
    Ça tourne
    Ça tourne

    22 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2019
    Un film sans doute autobiographique assez bien réussi montrant l'éloignement et les relations fausses qu'entretiennent les membres des familles puritaines souvent aristocrates. Tout le long-métrage repose sur la métaphore des anguilles et de leur ponte mystérieuse dans la mer des Sargasses. En effet, tous les membres de la famille agissent et vivent sans connaître et s'intéresser véritablement à ses proches qui restent distants et énigmatiques. Un film qui fait réfléchir dans cette période des fêtes!
    ofeli
    ofeli

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    Une comédie comme on en voit peu : c'est à la fois frais, léger, tout en étant profond.
    Louis-Do de Lencquesaing passe une fois de plus au scanner la famille, dans ses moindre recoins. Sans en faire des tonnes, tout en tendresse, évitant les crises de nerfs maintes et maintes fois tentées dans les comédies sur la famille.
    Le film raconte ce qu'il y a de plus beau et de plus dense au coeur des tribus: les émotions, dites ou non.
    Le casting est top, et Marthe Keller est au sommet !
    Yves G.
    Yves G.

    1 305 abonnés 3 308 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    Jean (Louis-Do de Lencquesaing) est un universitaire installé propulsé sur le devant de la scène par sa nomination au Gouvernement au poste de ministre de la famille.
    Issu de la meilleure bourgeoisie parisienne, il vit à l'abri du besoin. Mais cette aisance matérielle ne le protège pas des aléas de la vie. Sa femme (Léa Drucker) menace de le quitter. Sa fille aînée (Billie Blain) est en pleine crise d'adolescence. Son frère (Thierry Godard) tourne mal. Sa mère (Marthe Keller) s'est mise en tête de répartir l'héritage familial avant le décès de sa grand-mère. Et sa cousine (Laura Smet), qu'il retrouve à l'occasion des funérailles de leur bonne, exerce sur lui une attirance trouble.

    Louis-Do de Lencquesaing est une figure bien connue du cinéma français qu'on a croisée dans une multitude de films où il tenait le premier ("Le Père de mes enfants", "Francofonia") ou, plus souvent, un deuxième rôle ("La Danseuse", "Un peuple et son roi", "L'amour est une fête"…). Il était passé une première fois derrière la caméra en 2012 avec Au galop, où il se mettait en scène avec sa propre fille, Alice de Lencquesaing, et Marthe Keller, déjà, dans le rôle de sa mère.

    Il récidive sept ans plus tard dans un film qu'on devine en partie autobiographique. Si son patronyme à particule et son prénom peu commun ne le trahissaient pas, Louis-Do de Lencquesaing est issu des meilleurs quartiers (il a fait sa scolarité à "Franklin") et ne s'en cache pas. On le voit dans La Sainte Famille vouvoyer sa mère et être vouvoyé par elle.

    Les petits drames de ce milieu là (faut-il vendre le château familial ? la grand-mère a-t-elle couché avec le garde-chasse ?) feraient ricaner "L'Humanité" - qui n'en a pas publié de critique. Ils enchantent "Le Figaro" et "Closer".

    Si Louis-Do de Lencquesaing réussit paradoxalement à éviter l'égocentrisme en se filmant dans chaque plan, il n'évite pas la banalité avec cette chronique douce-amère. Son principal défaut : avoir bombardé son héros au Gouvernement, un choix de scénario hasardeux qui n'est bizarrement pas utilisé. Sa principale qualité : sa scène finale d'une humble humanité.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Quel ennui !
    C'est malsain, sans intérêt, pauvre famille . . .
    Film sans doute réservé aux cinéphiles Bobo.
    Nul !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2019
    Magnifique film sur différents thèmes tels que la famille, le couple, l'engagement... Superbement interprété par une pléiade d'acteurs tous plus formidables les uns que les autres. Il faut aller le voir et le soutenir pour qu'il reste à l'affiche le plus longtemps possible.
    tupper
    tupper

    119 abonnés 1 318 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2020
    Curieuses impressions que celles laissées par ce film. Celle d’un film décousu, d’une accumulation de scènes sans enchaînement logique. Mais aussi celle dans ces scènes d’une grande maîtrise, sobre et juste. Captivant mais malgré tout un peu déceptif et frustrant.
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2021
    Vraiment pas terrible sans histoire bien des fini un peu bateau un vraiment sans grand intérêt dommage
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