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    Thunder Road
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    3,5
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    104 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    618 abonnés 3 648 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juillet 2020
    Du rire et des larmes. Voilà ce que nous promettait Jim Cummings avec son "Thunder Road". Si on peut être impressionné par la multiplicité des casquettes du cinéaste (réalisateur, acteur, scénariste, compositeur,...), son premier long métrage ne m'a guère convaincu. On remarque l'effort et l'ambition mais on ressent le côté démonstratif qui aseptise l'ensemble du long métrage. Du coup, on voit davantage la performance d'acteur que l'on ressent d'émotions. De plus, le scénario tourne en rond et manque d'une ligne directrice. Il y avait matière à faire mieux mais Jim Cummings est assurément un nom à suivre de près.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Un flic texan accablé par son divorce et la mort de sa mère. Chronique touchante à l’humour décalé d’un Américain moyen en pleine crise de nerf portée à bout de bras par l'excellent Jim Cummings, acteur mais aussi réal, scénariste et producteur !
    Grand prix du jury au festival de Deauville.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2019
    Chanson initialement de Bruce Springsteen, "Thunder Road" est écrit, produit, réalisé et interprété par Jim Cummings. Malgré qu'il se soit fait un nom dans les festivals dédiés au cinéma indépendant, on avoue ne pas partager l'enthousiasme général des spectateurs. Il est vrai que quelques situations et répliques parviennent à nous arracher un sourire, l'ensemble pose pas mal de problèmes de fond. Le cinéaste signe un long-métrage assez brouillon au final, avec quelques raccourcis d'intrigue. Le film n'innove en rien, que ce soit au niveau du burn out ou de la perception de la paternité. Même si l'on s'y attendait un minimum, "Thunder Road" est un film beaucoup trop autocentré avec de nombreuses scènes filmées en plan fixe dont le seul résultat est leur longueur. Autocentré, Cummings l'est tellement que son personnage hystérique à souhait en devient insupportable.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Un ton singulier mais un film inabouti. Entre sérieux et humour sur une situation difficile. Un homme qui doit faire face au décès de sa mère, et qui tente d'avoir la garde alternée de sa fille. On s'amuse des réactions de cet homme et de son entourage. En gros, des gens qui tentent d'être mâture mais qui s'enervent à la première occasion. Malgré un scénario pas des mieux maîtrisé, c'est pas mal jusqu'au final qui rompt cet équilibre et va vers un drame un peu appuyé, et donc peu convaincant
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    133 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 août 2019
    Un Ovni inclassable dont l'intérêt principal est l'équilibre trouvé entre le tragique et le comique du personnage principal et de sa vie. On ressent souvent de l'empathie pour ce flic un peu dingue et décalé dans ses réactions et ses paroles mais aussi du malaise voir de la pitié. Une expérience cinématographique indé US étrange.
    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Oscillant en permanence entre le comique absurde et le tragique, Jim Cummings se lance dans une œuvre personnelle d’un père en proie aux difficultés familiale, personnelle et professionnelle. Avec un humour acerbe et piquant, il arrive à subjuguer l’écran par sa prestation d’acteur même si parfois on s’attend à voir Borat sortir. Fable décapante.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Dès la première scène, d'obsèques, de Thunder Road, avec un long monologue du personnage principal, nous voici embarqué dans un film au ton singulier qui ne se démentira jamais. Jim Cummings dirige, a écrit et surtout joue ce flic dont la vie s'étiole peu à peu alors qu'il doit faire le deuil de sa mère. Sa vie privée et professionnelle vont à vau-l'eau et il n'a plus que ses yeux pour pleurer,,ce qu'il ne se prive pas de faire, avec une certaine régularité. Le film aurait pu être agaçant, et il l'est sans doute pour beaucoup, parce qu'il se résume, a priori, à un one man show constant de Cummings dont se demande s'il faut en rire ou en pleurer. C'est bien d'ailleurs là son intérêt majeur, cet entre deux perpétuel, ces pas de danse entre le tragique et le comique, qui exhalent un certain malaise balayé de temps à autre par des passages dingues ou d'autres tellement neutres qu'ils en deviennent fascinants. Malgré une mise en scène atone, Thunder Road garde un équilibre quasi miraculeux, au-dessus du précipice, et il est difficile de ne pas ressentir de l'empathie pour ce grand dadais pas facile à comprendre et au bord de la crise de nerfs. Le scénario du film n'a rien d'ébouriffant mais avec un aplomb certain pour les joies de l'absurde et un acteur exceptionnel en la personne de Jim Cummings (qui d'autre ?) on tient là une sorte d'OFNI qui peut être vu comme un instantané du mal être identitaire du jeune mâle du sud des Etats-Unis, une quinzaine d'années après le début du XXIe siècle.
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2019
    Un film vraiment typique du cinéma indépendant Us. L’accent est mis sur l’écriture des personnages et les dialogues, l’aspect visuel est lui plus délaissé. Le personnage central de ce flic qui ne peut exprimer ses émotions ce qui entraîne chez lui quelques désordres est intéressant, dommage que le trait ne soit par moment un peu trop poussé. On vire presque à la comédie alors que sa situation et ce qu’il fait vivre au autres est dramatique. J ai trouvé très bon le personnage du coéquipier qui est vraiment la seule bouée à laquelle il peut se raccrocher. Un film qui est vraiment soigné au niveau de sa préparation et de son écriture mais bâclé au niveau de son exécution.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Sans rien laisser paraître de ses intentions, devant ou derrière la caméra, Jim Cunnings réussit à transposer un épisode historique de son pays qu’il voit chanceler sur un socle de moins en moins séduisant. C’est le sort de ce policier foireux qui tente par tous les moyens de faire le bien et d’aimer sa petite fille au-delà de tout ce qu’elle attend. Le divorce en cours n’arrange pas les choses et la succession de gaffes liées à des drames plus ou moins personnels forgent un destin auquel il ne s’était pas préparé. Jim Cunnings est donc très bien dans la peau de ce policier inhabituel dans le cinéma yankee. Avis bonus Une rencontre à Deauville, sympathique et un court métrage bien mené
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2019
    Jim Cummings est à suivre malgré un premier film qui m’a quelque peu ennuyé. L’idée d’un type, flic de profession, dépressif qui pleure tout le temps suite à une succession de déboires familiaux et professionnel attisait ma curiosité. Seulement, le personnage principal ne m’a procuré aucune émotion. Aucune empathie à son égard ! En soi, ce personnage m’indifférait. Je suis resté à distance. Comme je ne me suis attaché à aucun des personnages, le film m’a paru long et presque vain. Cependant, l'idée d'un flic hyper sensible sur le ton du décalé mérite d'être vu. Je ne retiens que la scène où il se déshabille après qu’on lui a annoncé son licenciement. Il repart en slip déchiré. Il ne lui reste plus rien. Il est dépouillé de sa vie privée et professionnelle. Jim Cummings, acteur : prestation sincère ; Jim Cummings, réalisateur : à suivre tout de même et en V.O évidemment !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 mars 2020
    Un policier complètement à l’Ouest, il travaille au Texas, affecté dans ce service pour cette histoire absurde et une mise en scène qui rend son personnage bête, sel control easy man police mentality.....! Que de sensibilité au masculin.
    Que de larmes jusqu’à l’émotion poussée au bout du jeu, pour sa maman RIP, une grande fan de Bruce Springsteen, ayant tous ces CD, assistée à ses concerts, le chanteur des travailleurs sociaux blue collar hungry heart.

    Sa femme le quitte, leur enfant à partager, riez-bien rira le dernier, seule des deux côtés parentaux, dans cette tragédie comique qui donne un bonne claque au scénario portrait qui vacille, il n’est pas dépressif, le boulot qu’est le sens de la justice.
    Continue à interpeller, à travailler avec des collègues qui connaissent leurs métiers, déprimé, maladroit, stressé, prompt, imprévisible, y’a rien qui se passe autour de lui, pas de colère sur impulsion, d’impuissance à signaler.

    Surveillons-le, la bêtise n’est pas loin, l’arme et la matraque bâton, le cinéma indépendant Southwest, au sud de l’Etat du Texas, l’agent de police officer fantasque contrôle plus peur de rien, fragile et dérangeant.
    Suspendu de ses fonctions pour faute grave, y’en a marre que constateront les coéquipiers de ce partenaire qui perd les boules, trop c’est trop, il prend des décisions sur le qui-vive, que de casseroles, évitant la descente aux enfers.

    Une réalisation interprète scénariste composition interesting, policier moustachu, c’est familier, le prochain comique du cinéma américain, quoi de neuf à proposer docteur pour sa santé mentale ? Une feuille de soin prescription de médicaments.
    Des calmants, du paracetamol de la Doliprane, ce sera tout pour ce soir, arrêt maladie, il va craquer, de la fièvre et des douleurs imaginatives, à laisser reposer chez cette fiction drame comédie style Don Quichotte de la manche texane.
    ATON2512
    ATON2512

    51 abonnés 1 098 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    De Jim Cummings (II) (2018) .
    Un portrait fort , touchant et plein de pudeur d'un homme de cette amérique en doute avec elle même .
    Les situations sont parfois cocaces voire délirantes mais fortes en vérités et émotions .
    Jim Cummings (II) est exceptionnel et touchant . Avec Kendal Farr, Nican Robinson .
    domit64
    domit64

    20 abonnés 221 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2018
    Malgré quelques défauts, j’ai adoré ce film. C’est décalé, plein d’humour et d’émotion. On s’attache à ce flic barré, fatigué, abîmé par la vie. Il veut croire en des jours meilleurs et on a envie qu’il réussisse.
    On aime ou on n’aime mais ce film ne peut laisser indifférent.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    105 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2019
    Le film nous offre une interprétation dynamique et rafraîchissante, dommage que l'histoire ne soit pas plus originale.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Thunder Road a le mérite immense de tenir ensemble, du début à la fin, un burlesque teinté d’absurde et un pathétique vibrant d’humanité, peinture d’un homme, d’un fils et d’un père de famille qui assiste à l’implosion de son monde, miné de l’intérieur par le disparition de l’amour et des êtres chers. Le plan-séquence initial, tout droit inspiré du long métrage de même nom réalisé en 2016 par le même Jim Cummings, déconcerte en ce qu’il place le spectateur dans une position instable, entre le rire gêné et la compassion superficielle. Cette fêlure initiale confère au personnage une opacité véritable qui compense l’orgueil certain de Cummings : il est de chaque plan, de chaque scène, dans des poses réflexives qui donnent l’impression qu’il joue en se regardant jouer, qu’il bande son corps meurtri en se regardant bander. Nous touchons là aux limites profondes du long métrage : la dimension autosuffisante de la prestation devenue « performance », la conviction que le cinéma sert avant tout à s’éprouver dans l’altérité d’un avatar. Manque à Thunder Road une modestie synonyme d’altruisme : car comment s’attacher à l’officier de police Jim Arnaud quand celui-ci occupe tout l’espace de jeu et tout l’écran, réduisant les autres protagonistes à des marionnettes dont on tire les fils selon les effets recherchés.
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