Mon compte
    Une vie cachée
    Note moyenne
    3,9
    1923 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Une vie cachée ?

    240 critiques spectateurs

    5
    61 critiques
    4
    73 critiques
    3
    50 critiques
    2
    35 critiques
    1
    12 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Jean Noel Lanthiez
    Jean Noel Lanthiez

    15 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Hé oui, voilà un chef d’œuvre....pour qui saura le recevoir.. simple et direct, ce film ne vous lache pas pendant trois heures, jusqu’à la fin...
    magistral de bout en bout!
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    39 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2021
    UNE VIE CACHEE (2019): Frantz ne sera jamais un mouton d'Hitler. Il choisira de ne pas se battre, de ne pas aller mourir sur les champs de combats (POUR RIEN). Lui les champs, il les cultive, et préfère donner vie aux magnifiques campagnes verdoyantes Autrichiennes. C'est un homme libre, vivant de son travail, entouré de l'amour de sa femme et de ses filles. Son refus, un acte de résistance contre les nazis sera impardonnable. L'horreur des prisons, la haine des hommes, construiront la souffrance d'une nature humaine constamment comparée à de magnifiques paysages. Oui, les images seront d'une grande beauté, mais le réalisateur Terrence Malick en abusera parfois d'une façon inutile, elles créeront des longueurs, ralentiront la dynamique du film. La politique d'Hitler contre l'un de ses opposants Autrichiens, un sujet intéressant, mais ici traité d'une manière interminable, 2h53 c'est beaucoup, beaucoup trop long (un manège de scènes et d'images qui deviendront presque soporifiques). 1h30 aurait largement suffi à tous ces questionnements intérieurs, à tous ces impactes destructeurs. Les acteurs, eux seront parfaits, rien à dire. Cette histoire vraie sera pour moi une petite déception. Une nette préférence pour le film: Sophie Scholl, les derniers jours (2006)
    CineCyp
    CineCyp

    14 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    Terrence Malick, le cinéaste le plus spiritueux du cinéma Américain, à la fois adulé et critiqué pour son style semi contemplatif, revient en force avec "Une vie cachée", qui retrace un portrait de couple séparé par la guerre et relié par le choix de libre arbitre à travers une oeuvre magnifiée par une photographie grand angle et par sa bande son, beau, mais pompeux par ses surenchères de voix off et son rythme soporifique et répétitif à souhait.
    Néanmoins, Malick ne se trahit pas en signant une oeuvre tout droit sortie de son univers qui lui est propre.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2020
    Terrence Malick avait cessé de m’intéresser au moment même où il vivait son apothéose critique : ‘The tree of life’ et les vagabondages métaphysiques sur fond d’images léchées qui s’étaient ensuivies, très peu pour moi, et je crois que je n’avais même pas pris la peine de regarder le dernier en date. ‘Une vie cachée’, c’est le retour du réalisateur tel que je l’aimais, celui des “Moissons du ciel’ ou même de ‘La ligne rouge’, celui qui avait, non pas quelque chose à dire parce que Malick a toujours eu quelque chose à dire, y compris sous la forme d’un monologue des plus fumeux, mais celui qui a trouvé le cadre historique et thématique idoine pour y exprimer sa philosophie panthéiste et sa croyance en des forces supérieures abstraites. Bien sûr, on y retrouve ces longs plans fixes obligatoires sur la nature, le lever du soleil, le babil d’un ruisseau, les fleurs et l’herbe qui ondulent doucement sous le vent. C’est toujours aussi beau mais à force, cette façon de procéder a viré au gimmick. Il y a toujours cette voix off, majoritaire tout au long du film, même si elle reprend les interrogations existentielles du personnage et ensuite, les lettres que lui et sa femme échangèrent durant sa captivité. Ce personnage, justement, c’est Franz Jaggerstätter, un humble paysan autrichien qui en arriva à la conclusion que son devoir de chrétien, celui de refuser toute association avec ces symboles du mal qu’étaient Hitler et le nazisme, primait sur toute autre considération. Il lutta silencieusement, anonymement, sans jamais chercher à transformer sa lutte personnel en cause collective, subissant stoïquement l’opprobre populaire et l’ostracisme social, refusant le plébiscite pour l’Anschluss, les dons aux veuves de guerre et finalement l’incorporation, ce qui lui valut la captivité et finalement, une condamnation à mort. La voix off souligne les réflexions, les hésitations et les doutes de ce catholique fervent soumis à une pression sociale insoutenable puis à une véritable Passion à laquelle il aspire peut-être secrètement. Les images naturelles s’insèrent tout naturellement dans cette conviction qu’il existe quelque chose de plus grand, de plus immuable et éternel que les contingences historiques, économiques culturelles humaines, forcément provisoires. ‘Une vie cachée’, intimiste, introspectif au sens noble du terme, qui ne dévoile la brutalité du régime nazi et l’ensauvagement de ceux qui crurent devoir y adhérer que comme des éléments périphériques, qui ne peuvent entamer les convictions portées par Jaggerstätter et son épouse, en acquiert une puissance d’évocation inouïe, que Malick n’avait peut-être jamais atteinte jusqu’ici, et qui trouve sa justification intellectuelle dans la citation de George Elliott mise en exergue avant le générique final : “Si les choses ne vont pas aussi mal pour vous et pour moi qu’elles eussent pu aller, remercions-en pour une grande part ceux qui vécurent fidèlement une vie cachée et qui reposent dans des tombes que personne ne visite plus”.
    cameradine
    cameradine

    11 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2020
    C'est un film de prime abord déroutant, même quand on connaît le style de Terrence Malick. Non pas qu'il soit complexe, au contraire, c'est un de ses films les plus linéaires depuis longtemps. Mais il est difficile de comprendre l'entêtement du personnage principal qui se condamne lui-même en refusant les compromis. Il faut en outre accepter le fait que la langue de la narration soit en anglais et les dialogues d'ambiance en allemand. Aussi, malgré l'attrait qu'exerce le film, de par la beauté des images (tout a été tourné en lumière naturelle et dans des paysages sublimes), de la musique, et le jeu habité des deux acteurs principaux, la première fois je suis restée un peu au bord du chemin. Mais c'est en le revoyant cinq mois après l'avoir vu au cinéma que j'ai pu réviser mon opinion, et cela après avoir écouté plusieurs interviews des acteurs, qui m'ont permis de mieux comprendre l'état d'esprit du film et au final, d'en apprécier plus encore la beauté et la poésie. Il faut se laisser porter par le rythme et l'ambiance, même quand certains dialogues plus mystiques que d'autres peuvent sembler parfois obscurs. Le montage, mêlant scènes "utiles" à l'avancée de l'histoire et scènes de vie, est insolite, mais on peut voir ces inserts comme une prolongation des sentiments des personnages. S'il y a plusieurs acteurs de renom qui font des apparitions (Bruno Ganz, Michael Nyqvist, Matthias Schoenaerts) August Diehl et Valerie Pachner sont ceux qui laissent la plus forte impression, et pour cause : les longues prises de Malick, laissant plus de place aux instants de vie qu'aux dialogues à proprement parler, leur a permis de s'oublier au profit de leurs personnages. Ils sont magnifiques ! Ce film est enfin, une ode à la vie, à l'amour inconditionnel qui peut lier deux êtres, et à la liberté d'opinion.
    Michèle G
    Michèle G

    34 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Terrence Malick... Le sublime !! Magnifique moment de grâce cinématographique. Un hymne à la liberté, à l'amour et à tous ces héros anonymes qui ont donné leur vie pour cette liberté. Ce film est un hommage au combat d'un homme, Franz Jägerstätter, qui refuse de prêter allégeance à Hitler, non pas pour des raisons "politiques", mais parce qu'il sait que son acte est la voie juste... En fin de film, cette citation de George Eliot "… car le bien croissant du monde dépend en partie d’actes non historiques ; et si les choses ne vont pas pour vous et moi aussi mal qu’elles auraient pu aller, nous en sommes redevables en partie à ceux qui ont vécu fidèlement une vie cachée et qui reposent dans des tombes délaissées ».
    Reverdy
    Reverdy

    10 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    L'obstination à la Antigone du personnage principal, Franz Jägerstätter, est profondément marquante. A un certain moment du film, le narrateur dit : "il y a une lueur qui se dégage chez celui qui ne s'accroche pas coûte que coûte à la survie" : une liberté se déploie qui rend Franz intouchable. Il le dit à un certain moment quand on lui propose une énième fois d'arrêter de s'obstiner pour être libéré : "mais je suis libre". C'est donc l'histoire de cet homme de foi, chrétien, qui a confiance en Dieu, plus que dans un régime injuste, et qui pratique ce que Thoreau nomme la désobéissance civile, c'est-à-dire le droit de désobéir à la loi quand elle est injuste au nom de ses convictions morales.
    Christ77
    Christ77

    10 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Très beau film mais une réalisation particulière ! Beaucoup trop long je pense. Des plans à n'en plus finir. Cela dit la photographie du film les couleurs les lumières et la qualité de l'image est au top. Très beau casting pour un film long mais très beau! À voir!
    rimalo
    rimalo

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Chef d'œuvre absolu
    Très belles lumières paysages superbes accompagnées d'une musique envoûtante
    malgré la longueur du film on ne s'ennuie jamais alors que des questions essentielles sont posées
    a méditer
    Remi S.
    Remi S.

    13 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    Au cours de mon voyage cinéphile, Terrence Malick s'est rapidement inscrit comme mon cinéaste préféré ! Ses films me parlent, me font voyager, et me font ressentir cette sensation de plénitude et de beauté assez indescriptible, *The Tree of Life* s'avouant comme le plus beau film qui m'a été donné de voir. Graphiquement parlant, on pourrait voir à travers sa filmographie une montée au fur et à mesure de ses tentatives d'expérimentation et de renouveau narratif. Des films comme *La Balade sauvage* ou *Les moissons du ciel* s’inscrivent comme accessibles et assez académiques dans leurs narration. Mais celle-ci se développent et se complexifie au fil du temps, avec un renouveau net dans *Le Nouveau Monde*, ou encore plus dans *The Tree of Life*. Inévitablement à force d'augmenter et se renouveler dans son art, Malick aurai atteint une certaines limites d'appréciation, qui va s'avouer plutôt intéressante à ne pas dépasser ( à moins que certains l'ai dépassé ). Je pense donc aux métrages *A la merveille*, *Knight of Cups* et *Song to Song*.
    Avec *Une vie cachée*, Malick inverse t'il la courbe artistiques de ses films, pour revenir à ce qu'il à fait de mieux ? Est-il enfin de retour dans son cinéma le plus beau et le plus parlant ?

    Sans être non-plus son film le plus percutant, Terrence Malick signe avec *Une vie cachée* une oeuvre très belle et fais sonner les cloches de son grand retour dans le meilleur du cinéma d'auteur Américain. Une immersion magnifié dans l'histoire vraie de Franz Jägerstätter, paysan autrichien, qui en 1938, à refusé de rejoindre les rangs du Troisième Reich. Un grand acte de courage, qui le conduira à être emprisonné à Berlin loin de sa femme, de ses enfants et de sa campagne natale.

    Au sein des montagnes et de la nature autrichienne, le petit village de Radegund. C'est ici que vit Franz ( August Diehl ), sa femme Franziska ( Valerie Pachner ) et leurs trois enfants. Ils sont agriculteurs et fervents pratiquants religieux. Ici, l'agriculture se fait à la manière ancestrales. Au pied des monts et des forets couvert par le brouillard, Franz et Fraziska travaillent dur et s'aiment plus que tout ! Mais loin de cette innocence et de la beauté naturelle de la campagne, l'Allemagne ainsi que nombreux pays aux alentours, s’effondrent dans le totalitarisme nazis. Franz Jägerstätter l'a compris, de ce qu'il à pu connaitre lors de ses classes militaires, il ne combattra pas au nom d'Hitler et de la haine nazis. Les doutes et le mépris des villageois de Radegund, autrefois simples et bienveillants, vont vite se ruer sur Franz et sa famille. Dans ce choix de ne porter allégeance à Hitler, Franz va entraîner sa femme et ses enfants au premier plan des regards endoctrinés et perdus des villageois de Radegund.
    Que faire lorsque les amis d'autrefois vous rejettent ? Que faire lorsque même l'église se range au coté de l'idéologie totalitaire et renie Franz, qui est pourtant un croyant endurcie ?
    Franz, Franziska et leurs enfants ne forment qu'un bloc, qu'une seule entité ne jurant que par dieu, l'amour, la bonté et rejetant la haine environnante. Malgré les pressions de sa sœur, de sa belle-mère et de la population de Radegund, Franziska aimera pour toujours Franz et ses convictions. Quoi que le futur apportera en bon et en mal.

    La lettre de convocation tant redoutée arrive. Franz ne peut échappée à y aller, mais ses convictions de rejet du mal le suivent et le maintiendront toujours vers la lumière durant ce long voyage, dans le couloir inévitable de l'emprisonnement, de la violence et de la mort. Le libre-arbitre existe toujours en lui, malgré les pressions et les doutes. Le bois des chalets est rapidement remplacé par la pierre usée des murs et la ferraille rouillée des lits, au sein des deux prisons successives. L'être unique formé par la famille au sein de la nature autrichienne se divise. Une partie toujours en campagne, l'autre réprimandée par des nazis entre 4 murs. Bien que divisé, l'amour et la beauté sont toujours présent, à travers les nombreuses lettres et la foi perpétuelle du couple vers les cieux. Avec le peu le lumière qui traverse la cellule sombre, Franz arrive à s'en remettre complètement à dieu, ignorant supplices physiques et tortures morales. Qu'il soit objectivement libre ou emprisonné, Franz est un homme bon. Le partage, la prière et le rejet du mal continue d'exister en lui à la prison. **Son physique est certes menotté et frappé par les gardes, son esprit quant à lui est ailleurs.**
    Mais certaines interrogations religieuses sont toujours semés entre les prisonniers dépourvus d'espoir. Dieu les a-t'ils laissés pour compte ici, entre les mains du diables ? La mal est-il simplement une création de Dieu qui à le mérite d'exister ?

    Le couple peut une dernière fois se revoir, quelques jours avant la l’exécution de Franz. L'être pourtant unique et bon formé jadis, ne peut s’entremêler dans ce rendez-vous quadrillé par les gardes. Des derniers mots d'amour et de compréhension l'un l'autre, avant l'ultime regard et le dernier baiser. Un geste d'amour encore une fois rapidement rompue. L'amour et la beauté n'a pas sa place ici, dans cette antre du mal et de l'horreur.
    Mais y'a t'il au moins une personne portant allégeance au mal, qui pourrait s’interroger sur les convictions et la personne de Franz ? Peut-être le juge Lueben ( Bruno Ganz ) qui dans une entre-vue rapide dans son bureau avec le prisonnier, aurait été touché par la lumière. Mais la réalité des choses et sa position dans la pyramide nazis l'a emmené à choisir comme jugement final, la mort.
    Le long couloir prend bientôt fin. Des regards et un baiser avec les autres condamnées, à quelques minutes de mourir. Un personnages intriguant, aux airs de Jésus, allant à la guillotine sûr de lui et fier de ses convictions. C'est ici alors que prend fin l'humanité ? L'au-delà est surement plus beau. Franz retrouvera sans doute bientôt sa femme et ses enfants, au sein de la nature et des montagnes. La lumière les éclairant pour toujours.

    Pour adapter cette histoire cachée, Malick fait appel à son style sensoriel parfait. Les phrases et les poèmes semés dans ce fabuleux récit. Le grand angle pour magnifié la nature, les ombres, la lumière et les êtres. Comme à son habitude, il y'a une importance sur les mains qui s’entremêlent, se frappent et éprouvent le remords. Mais aussi les visages marqués par l'endoctrinement, la tristesse et l'amour. Emmanuel Lubezki, chef op de Malick depuis *Le Nouveau Monde* en 2005, n'a pas été rappeler par le maître. C'est au tour de directeur de la photographie allemand, Jörg Widmer de faire ses preuves. Evidemment c'est extrêmement beau, mais le style ne change pas non plus de celui de Lubezki. D'ailleurs Terrence Malick n'en à pas fini à les expérimentations de réalisation. Apres la Go-Pro dans *Knight of Cups*, c'est la caméra à la première personne qui arrive dans *Une vie cachée* pour nous immerger encore plus dans le film.

    Pour revenir sur quelques petits défauts du long-métrage, il faut avouer en grande globalité que le film n'est pas aussi percutant que certains de ses anciens travaux cinématographiques ( assez étonnent par rapport à son récit ). Une première heure plutôt faible, même si le film prend rapidement son envol par la suite. La musique de James Newton Howard que je trouve de même peu marquante, alors qu'évidement chez Malick la bande-originale est importante pour le ressentie. Et pour finir, j'ai inévitablement envie de revenir sur cette question de la langue. J'avoue ne pas trop comprendre la volonté de Terrence Malick de faire parler le couple en anglais, et le reste en allemand ( de même pour ne pas vouloir traduire les scènes allemandes ). Une impression bizarre comme si l'allemand c'est mauvais, et l'anglais c'est bien.

    Pour autant Malick signe son grand retour au film historique et à son style de toujours, dans une narration linéaire aux allures sensoriels et inventives. Au sein de la campagne autrichienne, la famille Jägerstätter touché par la foie, l'amour et le respect de la terre et des ancêtres, face à la haine grandissante et la fin certaines de l'innocence, et de la beauté de l'homme.
    Franz Jägerstätter sera béatifié et considéré comme martyr par le pape Benoit XVI, prés de 60 ans après sa mort. Une vie qui s'avoue, comme celle de milliers d'autres, cachées dans l'ombre de l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 décembre 2019
    Beaucoup trop long 2h53
    Beaucoup trop triste
    Peu d'action
    Fin du film sans surprise qu'on imagine déjà dans les 30 premières minutes.
    Points positifs : beaux panoramas et vie à la ferme bien lise en scène
    fredtcd
    fredtcd

    3 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2019
    Oui, il y a de beaux paysages, des scènes magnifiques de travaux dans les champs...au début car notre héros abandonne tout, sa femme et ses gosses (on en parle peu dans les critiques que j'ai lues) et alors la vie de sa femme devient un enfer.
    Elle tente tout pourtant pour le faire changer d'avis, fuir avec lui, travailler dans un hôpital mais au moins se sauver . Non, il ne veut même pas faire semblant face au régime, il se sacrifie mais sacrifie aussi sa famille. La plus belle religion n'est-elle pas d'aimer et protéger les siens avant n'importe quel idéal? Ce ne sont pas ces gens qui ont contibué à détruire le monstre, mais ceux qui ont fui ou pris le maquis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 avril 2020
    Je viens de finir de le visionner et j'ai envie de vomir là maintenant.
    Ce film est bien fait (et beau), mais je l'ai vraiment détesté sur le fond, sur la réalité qu'il décrit si bien ! C'est horrible:
    spoiler: Partir tuer des "ennemis" pour une idée de "patrie" c'est aussi stupide que d'abandonner sa femme et ses 3 filles pour une idée de "liberté" en croyant qu'on les reverra au paradis. Ça me met vraiment en colère autant de souffrances inutiles !

    Ce film aurait du s'appeler "4 vies gâchées !" ou "La grande et la petite famille Darwin-Awards".
    J'ai mis un peu plus que 2,5/5 - ne sachant pas vraiment comment noter ça - car j'aime les Alpes et c'est bien filmé.
    fral25
    fral25

    8 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2020
    Ça doit venir de moi...
    Je dois être un gros bourrin.

    Parceque non, non, non !!!
    C'est pas possible un film comme ça...
    Bien sûr que les images sont magnifiques,
    même si sur certaines séquences, j'avais l'impression
    de visionner un diaporama d'exercice de composition de cadre gratuit...
    et muet bien sûr.

    Mais que c'est loooong, faut être lunaire pour savoir apprécier ou quoi ???
    Je m'excuse mais non, la photo ne sauve pas une histoire qui traine en longueur
    ... en grande longueur 2h41, si j'avais su !!! In-ter-minable... Pénible.
    Kévin Pilastra L
    Kévin Pilastra L

    9 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Toujours difficile de donner un avis éclairé sur un film du brillantissime T. Malick. Au final, c'est très personnel et cela ne peut refléter qu'une approche pudique de son cinéma, de sa vision du monde. Avec toujours cette manière bien à lui de filmer, de rendre beau, d'améliorer et de faire comprendre le divin.
    J'ai regretté toutefois deux choses : la première, la langue, pourquoi ne pas tout jouer en allemand ? Même si les colères ne sont pas traduites, on est un peu perdus entre ces autrichiens qui parlent à la fois anglais et allemand.
    La seconde, c'est un peu long, 2h50... Cela aurait mérité quelques cut de plus, mais encore une fois, c'est très personnel...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top