Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Le cinéma du moment est à la mode du "biopic", presque un univers à lui seul, une déferlante qui verse parfois sans discernement dans l’hagiographie. (...) En dépit des flagorneries, certaines initiatives sont de belles réussites. En témoigne ce tout nouveau Egon Schiele de Dieter Berner (...).
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Laissez-vous emporter par ce biopic qui vous fera découvrir, à travers les femmes de sa vie, cet artiste provocateur dont les nus érotiques ont scandalisé la bonne société viennoise.
Rolling Stone
par La Rédaction
Pour porter ce personnage fougueux, Noah Saavedra, qui tient là son premier grand rôle.
Transfuge
par Damien Aubel
La caméra, souple, ductile comme le trait de Schiele, donne l'impression d'explorer les belles images vernissées de la lumière du film.
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Dieter Berner a choisi d’adapter le roman Mort et jeune fille : Egon Schiele et les femmes d’Hilde Berger (2009). (…) Cette approche est pertinente compte tenu du sujet, car mettre en scène son obsession de représenter leurs corps ne permet pas seulement de saisir la complexité de l’homme, mais également d’appréhender son art empreint d’érotisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Sans se priver des scènes historiques de la vie du peintre, le réalisateur prend le parti de ne pas en faire sa ligne de force principale, lui préférant celle de ses relations féminines, en tout premier lieu de sa jeune sœur Gerti.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Bernard Géniès
Pour Berner, l'esthétique de Schiele se construit essentiellement à travers son rapport au corps des femmes. C'est oublier qu'il a réalisé quantité de portraits d'hommes ainsi que des paysages. La biographie n'est donc pas complète. Cela dit, le film ne laisse pas indifférent dans la mesure où il replace Schiele au cœur de l'univers qui fut le sien, entre lumière et doute, violence et solitude.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tout cela raconté dans une reconstitution particulièrement soignée, à l’image de l’interprétation et, sans échapper toujours au topo romantique de l’artiste maudit, avec une finesse dans l’approche érotique qui sait ne pas céder à l’insistance du trait. Avec une limite, toutefois, qui est celle d’une sorte de neutralité un peu fade (...).
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film se concentre sur de beaux portraits de femmes, de Moa, première muse de l'artiste, à Wally, longtemps sa compagne en passant bien entendu par sa sœur, Gerti, avec qui il entretenait une relation quasi paternelle. Dans le rôle-titre, Noah Saavedra, dont c'est le premier rôle, compose un Schiele un peu trop sage, au regard bien moins halluciné que son modèle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
L‘interprétation des acteurs, la musique raffinée et la scénographie, sublime, se mettent idéalement au service d’un biopic classique, chic et instructif.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur de nombreux épisodes de la série "Tatort" ne cherche pas à révolutionner le cinéma mais à nous guider sur la trajectoire artistique et sentimentale d'un homme subjugué par les femmes qui ont traversé sa vie : sa jeune soeur Gerti, son amante Moa, sa muse Wally et enfin son épouse Edith.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un portrait s’esquisse, sans que le spectateur se sente happé par la folie créatrice de l’artiste, l’affrontement de ses pulsions mortifères et sexuelles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Coproduit par Ulrich Seidl, ce récit historique plutôt austère peine à provoquer l’émotion, même s’il comporte quelques belles idées de mise en scène.
Ouest France
par Pierre Lunn
On regrettera cependant que l'acteur soit trop lisse pour refléter les ambiguïtés les plus sombres de l'artiste.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Dommage que, malgré le choix d’interprètes excellents, cette vision reste, paradoxalement, convenue et que Berner peine à communiquer la flamme qui habitait ses protagonistes.
Première
par Christophe Narbonne
Dommage que Noah Saavedra soit trop beau et trop lisse pour refléter le tourment intérieur et l’ambiguïté du peintre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Alors que l’on devrait grimper aux rideaux, l’oreiller lance son appel. Un atout : Valérie Pachner qui interprète le modèle préféré de Schiele, à la ressemblance troublante. C’est peu pour un film qui manque passablement d'énergie et d’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
C'était bien la peine d'avoir défié la société de son temps, d'avoir scandalisé tout Vienne au début du XXe siècle pour être représenté de façon aussi plate.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
La biographie du peintre viennois devient, avec Dieter Berner, une succession d’épisodes organisés comme une notice Wikipedia.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Noah Saavedra, l'acteur du rôle-titre, est le plus souvent réduit à un mannequin vaguement fiévreux. Schiele doit se retourner dans sa tombe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Le cinéma du moment est à la mode du "biopic", presque un univers à lui seul, une déferlante qui verse parfois sans discernement dans l’hagiographie. (...) En dépit des flagorneries, certaines initiatives sont de belles réussites. En témoigne ce tout nouveau Egon Schiele de Dieter Berner (...).
Femme Actuelle
Laissez-vous emporter par ce biopic qui vous fera découvrir, à travers les femmes de sa vie, cet artiste provocateur dont les nus érotiques ont scandalisé la bonne société viennoise.
Rolling Stone
Pour porter ce personnage fougueux, Noah Saavedra, qui tient là son premier grand rôle.
Transfuge
La caméra, souple, ductile comme le trait de Schiele, donne l'impression d'explorer les belles images vernissées de la lumière du film.
Critikat.com
Dieter Berner a choisi d’adapter le roman Mort et jeune fille : Egon Schiele et les femmes d’Hilde Berger (2009). (…) Cette approche est pertinente compte tenu du sujet, car mettre en scène son obsession de représenter leurs corps ne permet pas seulement de saisir la complexité de l’homme, mais également d’appréhender son art empreint d’érotisme.
Culturopoing.com
Sans se priver des scènes historiques de la vie du peintre, le réalisateur prend le parti de ne pas en faire sa ligne de force principale, lui préférant celle de ses relations féminines, en tout premier lieu de sa jeune sœur Gerti.
L'Obs
Pour Berner, l'esthétique de Schiele se construit essentiellement à travers son rapport au corps des femmes. C'est oublier qu'il a réalisé quantité de portraits d'hommes ainsi que des paysages. La biographie n'est donc pas complète. Cela dit, le film ne laisse pas indifférent dans la mesure où il replace Schiele au cœur de l'univers qui fut le sien, entre lumière et doute, violence et solitude.
Le Dauphiné Libéré
Tout cela raconté dans une reconstitution particulièrement soignée, à l’image de l’interprétation et, sans échapper toujours au topo romantique de l’artiste maudit, avec une finesse dans l’approche érotique qui sait ne pas céder à l’insistance du trait. Avec une limite, toutefois, qui est celle d’une sorte de neutralité un peu fade (...).
Le Parisien
Le film se concentre sur de beaux portraits de femmes, de Moa, première muse de l'artiste, à Wally, longtemps sa compagne en passant bien entendu par sa sœur, Gerti, avec qui il entretenait une relation quasi paternelle. Dans le rôle-titre, Noah Saavedra, dont c'est le premier rôle, compose un Schiele un peu trop sage, au regard bien moins halluciné que son modèle.
Les Fiches du Cinéma
L‘interprétation des acteurs, la musique raffinée et la scénographie, sublime, se mettent idéalement au service d’un biopic classique, chic et instructif.
Paris Match
Le réalisateur de nombreux épisodes de la série "Tatort" ne cherche pas à révolutionner le cinéma mais à nous guider sur la trajectoire artistique et sentimentale d'un homme subjugué par les femmes qui ont traversé sa vie : sa jeune soeur Gerti, son amante Moa, sa muse Wally et enfin son épouse Edith.
La Croix
Un portrait s’esquisse, sans que le spectateur se sente happé par la folie créatrice de l’artiste, l’affrontement de ses pulsions mortifères et sexuelles.
Le Journal du Dimanche
Coproduit par Ulrich Seidl, ce récit historique plutôt austère peine à provoquer l’émotion, même s’il comporte quelques belles idées de mise en scène.
Ouest France
On regrettera cependant que l'acteur soit trop lisse pour refléter les ambiguïtés les plus sombres de l'artiste.
Positif
Dommage que, malgré le choix d’interprètes excellents, cette vision reste, paradoxalement, convenue et que Berner peine à communiquer la flamme qui habitait ses protagonistes.
Première
Dommage que Noah Saavedra soit trop beau et trop lisse pour refléter le tourment intérieur et l’ambiguïté du peintre.
Franceinfo Culture
Alors que l’on devrait grimper aux rideaux, l’oreiller lance son appel. Un atout : Valérie Pachner qui interprète le modèle préféré de Schiele, à la ressemblance troublante. C’est peu pour un film qui manque passablement d'énergie et d’ambition.
Le Figaro
C'était bien la peine d'avoir défié la société de son temps, d'avoir scandalisé tout Vienne au début du XXe siècle pour être représenté de façon aussi plate.
Le Monde
La biographie du peintre viennois devient, avec Dieter Berner, une succession d’épisodes organisés comme une notice Wikipedia.
Télérama
Noah Saavedra, l'acteur du rôle-titre, est le plus souvent réduit à un mannequin vaguement fiévreux. Schiele doit se retourner dans sa tombe.