Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Ce qui commence comme une comédie romantique estivale vire au cauchemar, basculant dans un "Liaison fatale" hanté par le sourire doux et triste de l'héroïne.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Portrait d’une femme en rupture de ban, filmé dans un style affirmé, "C'est qui cette fille", sans point d’interrogation, répond partiellement à cette question identitaire. Car le mystère de la passion reste irrésolu, dans ce beau film au romantisme noir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Marie Claire
par La rédaction
À rebrousse-poil des comédies romantiques classiques, cette chronique sentimentale surprend par ses sursauts tragiques et sa cruauté.
Voici
par Lola Sciamma
Le rictus mélancolique de Lindsay Burdge rique de vous poursuivre.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
La folie douce et peu ordinaire d’une héroïne de cinéma indépendant américain dans un décor parisien de comédie lunaire, sensuelle et accaparante, qui distille astucieusement les charmes de son univers décalé et envoûtant. L’une des belles surprises de l’été 2018.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette artificialité assumée est un des atouts de cette œuvre au certain charme discret qui flirte avec le cliché touristique. Mais on peut mieux faire. Mention à Jacques Nolot en patron de boîte onctueux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par C. P.
l’absence de point d’interrogation à la fin du titre n’est pas un hasard. Nathan Silver n’a pas l’intention de résoudre toutes les ambivalences de son histoire et de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Nathalie Simon
Ce film américain indépendant n'est pas porté par une mise en scène choc, mais son héroïne suscite l'empathie, voire l'inquiétude du spectateur.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Nathan Silver réalise une étude de caractères pop et déjantée, qui brouille les frontières entre thriller et drame romantique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Entre fantaisie et noirceur, un premier film atypique sur une héroïne érotomane.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
C’est une comédie noire et (anti) romantique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Cette plongée dans le Paris nocturne peine à tenir la distance mais vaut pour la qualité de son interprétation et son atmosphère joyeuse.
Positif
par Ariane Allard
"C'est qui cette fille" est une drôle de petite comédie qui, à défaut d'être totalement aboutie, pique la curiosité.
Première
par A. F.
Gina ne veut voir que Jérôme. Une obsession bien rendue par Sean Price Williams, qui nimbe la capitale d'un halo féérique à la Douglas Sirk.
Télérama
par Louis Guichard
Avec ses seconds rôles emblématiques du cinéma d’auteur français (Françoise Lebrun, Jacques Nolot…), le film pique la curiosité. Mais le dénouement, proche du gag, fût-il très cruel, en réduit la portée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Gina est-elle érotomane ou juste paumée ? On s'en fiche, et c'est bien le problème de cette anti-romance jouant laborieusement sur l'incompréhension de personnages qui ne parlent pas la même langue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
À la fois romantique et inquiétant, ce film finit en revanche par tourner un peu en rond.
BIBA
Ce qui commence comme une comédie romantique estivale vire au cauchemar, basculant dans un "Liaison fatale" hanté par le sourire doux et triste de l'héroïne.
Franceinfo Culture
Portrait d’une femme en rupture de ban, filmé dans un style affirmé, "C'est qui cette fille", sans point d’interrogation, répond partiellement à cette question identitaire. Car le mystère de la passion reste irrésolu, dans ce beau film au romantisme noir.
Marie Claire
À rebrousse-poil des comédies romantiques classiques, cette chronique sentimentale surprend par ses sursauts tragiques et sa cruauté.
Voici
Le rictus mélancolique de Lindsay Burdge rique de vous poursuivre.
aVoir-aLire.com
La folie douce et peu ordinaire d’une héroïne de cinéma indépendant américain dans un décor parisien de comédie lunaire, sensuelle et accaparante, qui distille astucieusement les charmes de son univers décalé et envoûtant. L’une des belles surprises de l’été 2018.
L'Humanité
Cette artificialité assumée est un des atouts de cette œuvre au certain charme discret qui flirte avec le cliché touristique. Mais on peut mieux faire. Mention à Jacques Nolot en patron de boîte onctueux.
La Voix du Nord
l’absence de point d’interrogation à la fin du titre n’est pas un hasard. Nathan Silver n’a pas l’intention de résoudre toutes les ambivalences de son histoire et de son personnage.
Le Figaro
Ce film américain indépendant n'est pas porté par une mise en scène choc, mais son héroïne suscite l'empathie, voire l'inquiétude du spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Nathan Silver réalise une étude de caractères pop et déjantée, qui brouille les frontières entre thriller et drame romantique.
Les Inrockuptibles
Entre fantaisie et noirceur, un premier film atypique sur une héroïne érotomane.
Libération
C’est une comédie noire et (anti) romantique.
Ouest France
Cette plongée dans le Paris nocturne peine à tenir la distance mais vaut pour la qualité de son interprétation et son atmosphère joyeuse.
Positif
"C'est qui cette fille" est une drôle de petite comédie qui, à défaut d'être totalement aboutie, pique la curiosité.
Première
Gina ne veut voir que Jérôme. Une obsession bien rendue par Sean Price Williams, qui nimbe la capitale d'un halo féérique à la Douglas Sirk.
Télérama
Avec ses seconds rôles emblématiques du cinéma d’auteur français (Françoise Lebrun, Jacques Nolot…), le film pique la curiosité. Mais le dénouement, proche du gag, fût-il très cruel, en réduit la portée.
L'Obs
Gina est-elle érotomane ou juste paumée ? On s'en fiche, et c'est bien le problème de cette anti-romance jouant laborieusement sur l'incompréhension de personnages qui ne parlent pas la même langue.
Le Journal du Dimanche
À la fois romantique et inquiétant, ce film finit en revanche par tourner un peu en rond.