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    Le Grand Méchant Renard et autres contes
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Grand Méchant Renard et autres contes" et de son tournage !

    Adaptation

    Le Grand Méchant Renard et autres contes est à l'origine une bande-dessinée de Benjamin Renner, parue en 2015. Elle résulte de tout un univers que l'auteur avait l'habitude d'imaginer sous forme de petites BD qu'il offrait à sa famille, depuis l'âge de 10-12 ans. Trois histoires composent le film.

    Conte amusant

    À la manière de contes anthropomorphes tels que les Fables de La Fontaine et Les Contes du Chat perché de Marcel Aymé, Benjamin Renner voulait traiter des problématiques humaines de manière légère et ludique, à travers des animaux hauts en couleur : "Dans mes histoires aussi, on sent que le petit cochon va être un personnage joyeux et débonnaire, le canard un râleur, et le lapin un être fantasque et un peu irresponsable", ajoute-t-il.

    Anecdote enfantine

    L'histoire du Grand Méchant Renard correspond à une anecdote qui remonte à l'enfance de Benjamin Renner, alors qu'il visitait avec son père une ferme, équipée d’une couveuse remplie d’oeufs de poule. Le garçon s'était alors interrogé : "«Si on se retrouve brutalement maman adoptive de poussins, doit-on leur apprendre à se comporter comme des humains ou comme des poules ?». Cette idée a continué à faire son chemin dans mon esprit, puis plus tard, je me suis dit que la situation serait encore plus amusante si c’était un renard qui était contraint d’élever ces petits poussins", s'amuse le réalisateur.

    Réécriture à quatre mains

    Benjamin Renner a collaboré avec le scénariste Jean Regnaud afin de bénéficier d'un regard extérieur sur son adaptation : "Ce qui marche très bien en une série de dessins fixes ne fonctionne pas toujours en animation", analyse-t-il. Certains personnages, notamment les trois poussins, prenaient ainsi une plus grande importance dans le film et devaient être plus écrits. Quelques blagues ont également été modifiées pour ne pas déséquilibrer la structure du récit.

    Première fois... ou presque

    Si c'est la première fois que Benjamin Renner adapte son propre travail en film, le réalisateur avait déjà transposé à l'écran Ernest et Célestine d'après les illustrations de Gabrielle Vincent. Le film avait connu un grand succès, remportant notamment le César du meilleur film d’animation en 2013 et une nomination aux Oscars en 2014.

    Ambiance de travail

    L'adaptation de la bande-dessinée de Benjamin Renner avait été à l'origine envisagée pour la télévision, sous forme de programme court. Le film a été réalisé dans des studios parisiens conçus pour l'occasion, afin que toutes les équipes puissent être réunies à toutes les étapes de la production. "Avancer tous ensemble dans le même lieu nous a apporté beaucoup de marge de manoeuvres, plus de spontanéité artistique, et a permis d’éviter beaucoup d’erreurs. Je pense que cela a contribué à créer une ambiance plus sereine et plus familiale dans le studio. Et une plus grande solidarité au sein de l’équipe", déclare-t-il.

    Astuce

    Pour que l'ensemble du film corresponde au style de Benjamin Renner, le dessinateur a esquissé ses personnages dans toutes les poses possibles et imaginables afin que les dessins puissent servir de modèles aux équipes.

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