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    Saint-Georges
    Note moyenne
    3,4
    16 titres de presse
    • Télérama
    • Bande à part
    • Charlie Hebdo
    • Critikat.com
    • L'Humanité
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaroscope
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Cahiers du Cinéma
    • Femme Actuelle
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • L'Express
    • L'Obs
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Télérama

    par Pierre Murat

    Seule la dignité éclaire ce film pur, sombre et beau. C'est elle que l'on sent s'infiltrer dans le coeur — voire l'âme — du héros (interprété par un comédien magnifique, Nuno Lopes). Elle lui permet d'éviter, en fait, le piège qui le menace : se détruire lui-même en poussant les autres à mourir pour rien.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Bande à part

    par Olivier Pélisson

    Conscrit de son compatriote Miguel Gomes, Marco Martins signe un troisième film sombre et fort. Une peinture sans concession du Portugal en crise économique. Entre instantané documentaire et portrait virant au noir.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Charlie Hebdo

    par Sigolène Vinson

    Le film est de peu de bruit, mais de baeucuop de fièvre (...).

    Critikat.com

    par Benoît Smith

    Sur un modeste dispositif, ce drame aux accents de film noir touche par sa façon de s'approcher de la dureté, de chercher ses failles pour mieux y faire entrer l'émotion.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Un excellent film noir portugais tourné sur un mode documentaire, qui illustre en partie les effets de la crise économique ayant touché le pays au début des années 2010.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un itinéraire social qui se transforme en chemin de croix, marqué par la déréliction, dans un film violent et sombre qui, à l’image du corps massif de son personnage, frappe fort. On en ressort sonné.

    Le Figaroscope

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Un film coup de poing contre un monde cynique.

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Ce film portugais sur un homme qui s'enfonce pour sauver les siens sur fond de crise économique est bouleversant.

    Les Fiches du Cinéma

    par Gilles Tourman

    Une balade coup de poing au coeur des ravages de la finance.

    Cahiers du Cinéma

    par Nicolas Azalbert

    S’accordant (un peu trop) au rythme lent de son personnage, le film s’aventure, avec une réussite certaine, sur le registre du polar et du documentaire pour raconter la tragédie révoltante d’un pays. 

    Femme Actuelle

    par Amélie Cordonnier

    Derrière ses airs de brute, Nuno Lopes nous touche par sa douceur et son desarroi.

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Le film a sa puissance physique, sans pathos, qui prend à la gorge. C'est une histoire de survie, dure, sombre dans ses éclairages comme dans son esprit, mais avec un grand sens de la dignité des êtres.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    Malgré quelques passages à vide, ce long métrage sincère béné- ficie d’une véritable atmosphère et d’un acteur principal qui en impose.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    La rigueur quasi documentaire de Marco Martins est louable, mais l'histoire ne trouve jamais son rythme. Ce n'est pas malin. C'est même ennuyeux.

    L'Obs

    par François Forestier

    Ambiance glauque garantie, mise en scène intéressante, mais le scénario se répète, scène après scène. C'est dommage : il y avait là de quoi faire un sacré film, mais il n'existe qu'à moitié.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Filmé en caméra portée, rivé aux basques du pugiliste dévoyé, laconique à un point de non retour, le film, ambitieux, veut selon toute vraisemblance mêler romanesque et chronique sociale désenchantée. Il n’y parvient toutefois qu’à moitié, faute de conférer à ses personnages, silhouettes grossièrement découpées mises au service du récit, une complexité et une liberté qui les définissent comme tels.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde
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