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Eric C.
201 abonnés
2 273 critiques
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3,5
Publiée le 22 juin 2021
Globalement c'est un film d'ambiance SF plutôt divertissant et bien joué si ce n'est qu'il est surtout et annoncé le préambule à une série et un cadre d'intrigue ce qui conduit à présenter lentement les personnages, leurs liens jusqu'à former un trio final. Le problème est que l'action véritable et même l'intrigue SF révélée autour d'une arme futuriste ne se joue que dans le dernier quart d'heure avec il est vrai alors une promesse sympathique de vrai film SF au scénario potentiellement original. Finalement ce film est un espoir, une promesse avec 3 acteurs bien installés dont la toujours impeccable Zoe Kravitz.
Kin est sorti cet été et essaye de relancer, tout comme Darkest Minds le même mois, les films SF/ados à franchises. Kin s'en sort mieux que son concurrent cité précédemment et pourtant cela partait pas terriblement bien. Kin évolue dans un univers que l'on suppose actuel et son personnage principal dans une ville qui semble un peu défavorisée. Le film bénéficie d'effets spéciaux rares mais plutôt bien employés et d'un casting bien choisi. Le personnage principal est bien écrit et n"a pas des réactions de chien fou par rapport aux situations et à son age. Le scénario est assez simple et on se demande où cela va nous amener. Quand la fin arrive, alors que j'étais assez mitigé sur l'ensemble, je me suis surpris à me demander ce qui allait se passer ensuite. Reste un film qui se laisse regarder, sans grand éclat mais qui a suscité chez moi une lueur d'interêt pour une éventuelle suite.
L’idée n’est pas si mal, un film qui ressemble à une saga teen movie qui surfe sur la vague du genre. Le problème de Kin le commencement, c’est que c’est le commencement du commencement. Le “twist final” est la seule chose intéressante qu’on attendait désespérément depuis le début du film. Bref, c’est long, mou et on attend qu’il se passe quelque chose. On est en rendu avec un final qui nous laisse sur notre fin.
Vendu comme un film SF à l’esthétique 80's, Kin le commencement ne tient absolument aucune de ses promesses. La SF en question représente à peine, disons 5% d u film, du coup l'esthétique flashy des 80's est tout aussi absente. Ne vous attendez pas à voir une débauche de couleurs néon comme dans Tron: Legacy ou quelque chose d'aussi riche que Ready Player One. Le scénario est vide. Le personnage du grand frère est un loser, certes, mais en principe il devrait se révéler une conscience, devenir un héros ou finir par devenir un modèle pour le petit frère. Mais ce grand frère là est justement ce qu'il y a de pire comme exemple: spoiler: immature, irresponsable, emmène le gamin braquer une partie de poker, dans une boîte de strip-tease et le met en danger constant. Résultat, aucune empathie dégagée pour ce personnage. Pas étonnant que ce premier volet restera l'unique épisode d'une saga avortée. Reste l'interprétation surtout de James Franco décidément pas mal en truand cabot (comme dans Homefront) et de Zoé Kravitz en danseuse exotique sans attache.
En dehors de l'arme futuriste et de deux individus aux pouvoirs étranges que l'on voit par intermittence, on ne peut pas dire que ce film apporte grand chose au cinéma de science fiction. Le scénario n'est pas imaginatif et le road movie n'a rien d'exaltant. Il aurait fallu aller beaucoup plus loin pour comprendre la destination de l'arme d'un autre monde et ce que les deux aliens sont venus faire sur terre.
En 2014, les frères Jonathan & Josh Baker réalisaient un court-métrage intitulé Bag Man et c’est à partir de là qu’est né ce film. Comme l’indique si bien son titre Kin : Le commencement est censé lancer une future saga cinématographique mais cela est corrélé au succès ou non de cet épisode. C’est loin d'être évident d’abord parce que l’aspect science-fiction est assez limité avec un super fusil, quelques explosions, 2 sosies des Daft Punk et puis surtout une histoire qui soulève très peu d’enthousiasme. Ajoutez à cela un dénouement qui risque de frustrer plus d’un spectateur encore plus s’il s’avère que la saga ne trouve pas de suite !
A ma grande surprise, j’ai trouvé le film sympatoche. Un road movie à caractère social plaqué sur fond de Science-Fiction. Trois genres qui font bon ménage ponctués de peu d’effets spéciaux. James Franco a dû se faire plaisir et le jeune acteur Myles Truitt (Eli) défend bien son rôle. Une suite paraît évidente. J’attends de voir car peu convaincu des dernières scènes finales avec le fameux spoiler: « tu es l’élu » . Patienter pour se prononcer.
Premier volet d'une trilogie qui verra peut être le jour, " Kin : Le Commencement " est l'adaptation d'un court-métrage baptisé " Bag Man " dans lequel on suit la fuite de deux frères à travers l'Amérique. L'histoire du long-métrage n'est pas bien différente puisqu'on retrouve les deux frères - incarnés à l'écran par Myles Truitt et Jack Reynor qui, après qu'un vol ne tourne mal, quittent Detroit dans un road-trip psychédélique et violent. Mais ce que le second ne sait pas, c'est que le premier a récupéré dans un immeuble abandonné une mystérieuse arme qui pourrait lui causer de graves problèmes, bien au-delà de notre présent. " Kin " est un énième film pour ado avec de la science-fiction, rien de plus. Si la mise en scène vaut le coup d’œil, le scenario n'exploite à aucun moment l'origine de l'arme qui n'est au centre du scénario que durant la toute dernière partie du film et c'est dommage. C'est très osé pour un film qui sert d'introduction à une trilogie. Ne pas en parler sans jamais résoudre cette énigme alors que tous les regards se braquent sur l'arme. Incroyable.. Cependant, il y a de bonnes choses. Au-de-là de l'ambiance science-fiction, c'est aussi une aventure dramatique et meurtrière entre deux frères que tout oppose. Entre se racheter une conduite et chercher une rédemption, le film nous en fait voir beaucoup pour montrer le caractère de ses personnages humains et touchants. Usant de la violence d'un film d'adulte, il offre de belles scènes d'action et une très bonne dose de tension. Sur ce point là, on est d'accord. Cette production est une petite surprise, bien écrite, bien mise en scène malgré ses défauts mais qui mérite qu'on lui accorde une certaine attention.
Une bonne surprise ! Alors oui, c'est vrai que le film est maladroit dans la forme, la mise en scène est bancale car trop aseptisée et en manque de profondeur. Mais le fond, donc le scénario, est diablement efficace ! Ce premier épisode pose clairement les bases de ce qui ressemble grandement à une future trilogie. Bourré de référence en tout genre (surtout Terminator) il serait bien dommage de bouder ce film rempli de pleins de bonnes choses mais aussi de maladresses. A noter que la bande son signée MOGWAI est sublime.
Dommage, le début semblait prometteur. Malgré que les décors, l'histoire est planté sans liens logique, le spectateur essaie de comprendre, il se fait son idée. Et en fin de compte, le scénario ne tient pas la route longtemps. Une succession d'évènements aussi chaotique les uns que les autres amène les 2 protagonistes vers des ennuis. L’étau se resserre au fur et à mesure de leur cavale. La seule chose qui tient à nous faire ternir c'est cette arme, comme elle arrivée là, et comment un gamin y a accès. Le reste, semble faire penser à Terminator, mais rien à voir.
Il doit s’agir du premier opus d’une saga, car on commence à apprécier vraiment le film, le dernier quart d’heure... La mise en place de l’histoire et des personnages est un peu longue, mais je pense que la suite est prometteuse! À suivre donc...
Je ne savais pas à quoi m'attendre avant de regarder ce film n'ayant même pas vu la bande annonce. Et au final, j'ai plutôt été déçu du rendu. En effet, ce film porte très bien son nom "Le commencement", le souci, c'est qu'on ne voit pas le commencement de quoi. Le film est d'une longueur et n'aboutit surtout à rien. Chez moi, le commencement d'une nouvelle saga est censé capter le spectateur et l'amener dans un nouvel univers. Le problème dans ce long métrage c'est qu'on n'est jamais amener dans l'univers de Kin, d'ailleurs, on ne sait même pas ce que signifie ce terme... Sinon, pour les autres domaines techniques (effets visuels, interprétation des personnages,... ), le résultat est plutôt intéressant. Ce film nécessite obligatoirement une suite afin de rentrer dans ce nouvel univers mais aussi comprendre le destin du jeune Elijah. Mais je ne suis pas sur que l'on verra un jour ce deuxième opus ...
J'ai trouvé comme un petit renouveau dans le style, même si on retrouve l'univers Daft Punk de Tron, lumière néon. On ratisse large niveau public, le protagoniste étant un gosse, ça rappelle un peu la tendance Stranger Things ou Super 8. Je reproche quand même spoiler: l'oubli rapide du décès du père dû à la stupidité de son aîné. En un sens, cela prend un coté dramatique donc plus réaliste mais c'est un peu gros, surtout quand on voit les 2 frères complices comme si dans l'adversité on avait oublié cette perte. Bref, passons ce détail. Bref, une belle mise en place, reste à savoir si le deuxième opus sûrement déjà tourné, trouvera son public. Moi je l'attends avec impatience maintenant que le décor est planté.
A la croisée des chemins entre SF, action et road movie , ce film tient en haleine grâce à un scénar bien ficelé. Malgré quelques petites lenteurs de ci de là on reste scotché en attendant le dénouement. On n'est jamais déçu car entre l'interprétation très juste et la photo soignée on s'attache à la fuite en avant de ces 2 frangins. Plutôt bien, il ne reste qu'à espérer que la (les?) suite prévue fasse aussi bien.
Calqué sur un modèle très proche de "Star wars", construit exactement sur le modèle décrit par le mythologue Joseph Campbell, une quête initiatique qui ne brille pas par une quelconque originalité ou inventivité mais qui se laisse agréablement regarder. Un long-métrage à mi-chemin entre le polar et la science-fiction qui prend la forme d'un road movie à l'ambiance très 80's, dans les standards de la mode actuelle, une photographie très riche et colorée mais globalement un ensemble qui manque un peu de cohérence ou de développement dans son écriture pour vraiment marquer les esprits. Distrayant, pas mal mais guère mieux.