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    Désobéissance
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    3,6
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    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 022 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    Ce film britannique du réalisateur argentin Sebastian Lelio aurait pu être excellent, il n'est que moyen. L'intrigue : une relation homosexuelle refoulée entre deux femmes dans le milieu des juifs orthodoxes. Intéressant ! Le problème, c'est que entre quelques scènes fortes et puissantes prend place un développement plutôt mou et peu passionnant. On n'arrive pas à bien sentir les enjeux d'une révolte par rapport à l'intégrisme religieux. Dommage !
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 730 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2022
    Un drame passionnel intense et émouvant sur fond d'intolérance religieuse, porté par deux grandes actrices.
    petitbandit
    petitbandit

    75 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2018
    Une immersion chez les juifs orthodoxes et l'amour interdit de 2 femmes qui vont se heurter au poids des traditions et à l'hostilité de ses membres. Si le film ne verse pas dans la caricature et fait bien ressortir cette ambiance si particulière de l'univers ultra religieux, il est avant tout porté par un duo d'actrices épatant rendant très crédible ce récit. Beaucoup de tension et de suspense pour cette histoire simple et belle. Dubitatif sur le chapitre final et son dénouement mais pourquoi pas ? Une réalisation et une mise en scène solides pour un bon film plaîsant à suivre.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2018
    Une jeune femme juive-orthodoxe, retourne chez elle après la mort de son père. Elle en profite pour dévoiler ses sentiments à sa meilleure amie. Sebastián Lelio ose s’attaquer à un sujet tabou, celle de l’homosexualité dans une communauté qui la rejette. Bien que très bien joué par Rachel Weisz et Rachel McAdams, « Désobéissance » souffre d’un rythme mollasson et d’une mise en scène bien trop sage vis-à-vis de son titre. Si le cinéaste s’est aventuré sur le terrain, il semble s’être perdu en chemin car n’ose pas aller jusqu’au bout des sentiments refoulés de ses personnages féminins. Le film apparaît convenu et sans passion.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Alasky
    Alasky

    282 abonnés 3 075 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2018
    Même si l'ensemble sonne un peu creux à la fin du film, j'ai trouvé l'oeuvre touchante et interprétée avec brio, les deux actrices à l'affiche sont vraiment au top, on en oublie leurs grands noms, car elles sont vraiment très crédibles dans leurs rôles. Belle réalisation.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    88 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2018
    Le point de la pression sociale dans toute sa mauvaise dimension. Excellente interprétation des principaux personnages. Bémol le début est vraiment lent.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    50 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2019
    Un drame tout en sobriété qui se passe dans le milieu juif orthodoxe, un amour interdit et passionné de deux femmes, très émouvant
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    22 abonnés 862 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2018
    Beaucoup de puissance dans ce film, sur le plan émotif, avec une tension très soutenue, et une réalisation remarquable. Les acteurs sont excellents. La dénonciation d'une communauté fermée, coercitive, repliée sur un dogme hermétique. Une ode à la liberté humaine et à la modernité contre les carcans de la société traditionnelle oppressive. Il aurait pu s'agir des Mormons ou de certaines castes sociales, ou même de groupuscules politiques identitaires ou révolutionnaires, mais l'auteur traite des Juifs orthodoxes anglais, sans que l'on ne puisse l'accuser d'antisémitisme. Dommage que la fin, plutôt confuse dans le message qu'elle entend passer (s'il n'y en pas, c'est alors une aberration scénaristique à mon sens), gâche quelque peu la qualité supérieure de l'ensemble.
    Yves G.
    Yves G.

    1 273 abonnés 3 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2018
    À la mort de son père, le rabbin Krushka, Ronit (Rachel Weisz), qui s'était exilée à New York, revient à Londres. La jeune femme avait quitté la communauté juive orthodoxe où elle avait grandi dont elle ne supportait plus les règles étouffantes.
    Elle est accueillie par son ami d'enfance Dovid (Allesandro Nivola), que le rabbin avait adopté comme son fils spirituel et qui s'apprête à lui succéder. Dovid a épousé Esti (Rachel MacAdams), liée à Ronit par un indicible secret.

    On pourrait paresseusement qualifier "Désobéissance" de romance lesbienne dans une communauté juive orthodoxe.
    Une histoire d'amour impossible entre deux amants du même sexe. On pense bien sûr à "Brokeback Moutain" ou à "Carol".
    Une communauté juive ultra-orthodoxe, ses rites, ses règles et ses membres qui y étouffent. L'action se passe à Londres. Elle aurait pu se passer à Jérusalem ("Kaddosh"), à Haïfa ("Prendre femme") ou à New York ("Brooklyn Yiddish").

    Pour autant, "Désobéissance" n'est pas cela. Ou, en tout état de cause, "Désobéissance" est plus que cela.
    Que l'histoire d'amour entre Ronit et Esti rapproche deux femmes n'a tout bien considéré aucune importance - si ce n'est de donner l'occasion à deux des plus jolies actrices du moment de s'embrasser à bouche que veux-tu.
    Et que l'action se déroule dans la communauté juive de Londres n'en a guère non plus, si ce n'est de nous introduire dans un milieu fascinant par l'anachronisme de ses rites et la beauté de ses chants. Elle aurait pu se dérouler dans n'importe quelle communauté régie par des règles ("La mauvaise réputation", sortie la semaine dernière, décrivait le parcours d'une jeune musulmane qui avait défié l'autorité paternelle).

    Le sujet de "Désobéissance" est ailleurs. Il est dans l'homélie du rabbin Krushka qu'il prononce dans la toute première scène du film. Il y évoque les créations divines : les anges, les animaux guidés par leur instinct et l'homme doté d'une qualité, le libre arbitre.

    La liberté est le vrai sujet de "Désobéissance". La liberté de choisir. La liberté de laisser l'autre choisir. C'est de cette liberté qu'a usé Ronit en décidant de quitter son père, de partir à New York, au risque de se couper de ses racines. C'est de cette liberté dont Esti va faire lentement l'apprentissage en remettant en cause les choix de vie qu'elle a effectués jusqu'alors. C'est aussi cette liberté que Dovid, personnage faussement secondaire, loin du manichéisme qu'on pouvait craindre, interprété avec délicatesse et douceur, va toucher du doigt alors que ses péripéties conjugales remettent en cause sa vocation.
    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2020
    Un très beau film sur deux femmes qui s'aiment malgré leur religion juive orthodoxe , leur communauté religieuse.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    220 abonnés 1 596 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2019
    Film de commande, signé par le réalisateur d'Une Femme fantastique. Titre peu subtil. Mais bonne surprise. Les trois acteurs principaux (Weisz, McAdams, Nivola) sont magnifiques. La tension psychologique et sensuelle qui nourrit ce mélodrame est captée avec force et finesse tout au long du film... ou presque : bémol sur le dénouement, un peu long à faire aboutir toutes ses pistes thématiques et peut-être moyennement crédible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2018
    C’est bouleversant comme excellent film même si c’est du déjà-vu rappelant « Carol », se distinguant du thème de la religion qui y est pertinent. Comment inculquer des fondements de sociétés prônant les unions maritales depuis les temps anciens, la fin le démontre après de sage parole, l’homosexualité bannie tel que l’histoire le raconta. Les fois musulmanes et juives ne sont pas si différentes, se rapprochant par leurs approches culturelles sur la piété de la femme.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2018
    Vu et avis le 20180709

    J ai eu un tout petit peu de mal à apprécier le début du film, plus il avançait, plus je l ai apprécié. Pour moi un film apodictique.

    En général je vois les films en me fichant de l intention du réalisateur, des indices donnés par le titre, j essaie de prendre les films pour ce qu ils me montrent et ce que j en comprend, les autres avis je les prend parfois en compte après avoir vu un film. J ai donc vu ce film sans avoir prêté attention au titre, sans y penser pour me guider dans son interprétation. Le titre me semble très bien, seulement je crois que le film va bien plus loin que la lecture selon l axe de perception donné par le titre. Mais l avantage est que je peux plus librement parler de cet axe puisqu il est dévoilé et que j essaie très fort dans mes avis de ne dire que ce qui ne peut être compris qu en ayant vu le film dont je parle.

    Donc ce film parle de désobéissance et de liberté de choix. J ai vu de très nombreux films sur la pression sociale, religieuse, politique et sur la difficulté de s en extraire. Il y a beaucoup de films sur les dettes de sang, les dettes d honneurs, les familles qui pourchassent à travers le monde et les années l un de ses membres, chasse qui ne peut se terminer que par la mort de la proie ou du chasseur, alors qu au fond, à la base, elles n auraient aucune raison de se tuer mutuellement si ce n est cette obligation de l honneur.
    Dans désobéissance, le discours de dovid lors de la cérémonie est très largement minoritaire dans les représentations cinématographiques que j ai eu l occasion de voir (la plupart des réalisateurs préfèrent montrer un autre choix afin de plus facilement faire passer leur point de vue). Ce discours est probablement très courageux même si, n ayant pas de conviction religieuse, je n en perçois pas bien cet aspect (par contre je sais bien qu il y a aussi la question de la carrière de dovid même s il est très peu souligné que cela fait partie de l enjeu - et je remercie le film d avoir eu l intelligence de ne pas insister plus dessus car il me semble que cela se comprend suffisamment ainsi).
    C est alors que le film m a vraiment étonné par ce qui se passe lors du départ « en paix » de Ronit. A un moment dans le film, esti dit ce qu elle souhaite, pas uniquement pour elle mais aussi pour ses proches. Le discours de dovid est à prendre à la mesure aussi de l attente d esti, et c est la que le film touche pour moi a l exceptionnel, par ce qui se passe au moment du départ « en paix » de ronit, la situation entre les trois a trouvé une nouvelle force qui pourra leur permettre de changer leur vie à tous les trois.
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    Le sujet est suffisamment riche, bien traité pour que dans le film, on trouve d autres aspects. Il y a la question de Rav. C est un aspect quasi jamais traité dans les films, comment concilier ses convictions, ses dires, avec les actes réalisés en ayant pris en compte ces convictions. Je le redis autrement car cela m a l air important. Un homme a des convictions, en applications de ces convictions, il fait un choix qui peut sembler en contradiction avec ces mêmes convictions, comment un homme concilie t-il ces convictions et ces conséquences de ses convictions. On voit en la circonstance que c est un peu « après moi le déluge », ou je ne suis plus confronté à la question (ronit est partie probablement très jeune de chez elle), la question n existe plus. Pourtant si, elle existe bien puisqu il a rédigé un testament qui le prend en compte, il côtoyait tous les jours des gens qui savaient tout ou partie de ce qui s était passé (dovid et esti, l oncle et la tante, d autres membres de la communauté).
    On ne peut que deviner un peu comment rav a vécu cela. On voit bien en revanche que l oncle et dovid ont donné raison à rav, pour la tante je pense que c est moins net il faudrait revoir le film, il n est pas certain de savoir s’ils ont essayé de comprendre ronit, ce qu ils ont su. En tout cas, le film se passe probablement après une vingtaine d années d absence, d éloignement, ils y ont sûrement pensé au cours de ces 20 ans. Et la question du pardon, et la question de la liberté de choix (on revient au titre), et celle de la redemption, et celle même simplement du doute - douter de ce qu on croit savoir, ... toutes ces choses sont souvent passées sous silence, dans ce film peut être un tout petit moins que dans d autres.
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    Reprise de l avis le 20180710
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    Le cas du couple sur le terrain Sfr sport est intéressant. On le voit à l école lorsque esti va voir sa directrice. Dovid dit les avoir rencontré. Lorsque dovid voit son conseil de rabbins, au vu de la discussion, on peut penser que le couple a rencontré le conseil. L enfer est pavé de bonnes intentions, où commence la médisance, le harcèlement, ou s arrête la protection, pourquoi ont ils posé cette question sur le terrain de tennis si c’est pour ne pas croire en la réponse obtenue.

    D un point de vue graphique. La toute première image est rav de dos qui commence à parler et après quelques mots se tourne, puis la caméra s éloigné et l on voit l ensemble du lieu. Déjà la toute première image de dos, je doute qu elle ait été effectivement tournée dans le lieu où elle a été supposée prise. Il me semble que l arrière plan ne peux pas correspondre à ce qu on voit (une fois que la caméra a fini son tour) dans la vue d ensemble. En tout cas, ce plan m a paru trop artificiel. D une façon générale, le film m a semblé un peu trop artificiel, le discourt de rav du début qui est repris par dovid plus tard, ce que dit ronit sur la femme de dovid avant de la rencontrer, l urgence qu elle a de s occuper de la maison, ...

    Je pense que je film est très bien informé. Les perruques féminines juives est quelque chose de rarement souligné a ma connaissance. En revanche, je ne sais pas à quoi correspond ces bougeoir, ceux à 7 branches sont connus, mais ceux qu esti prend sont sûrement une référence culturelle très précise que je n ai pas. En tout cas, cela ne dérange pas du tout la compréhension du film.
    Romain C.
    Romain C.

    75 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2018
    Désobéissance n'est pas mon genre de film habituellement mais je me suis laisser convaincre par les critiques et la bande-annonce mais je n'ai pas de regret car c'est une belle histoire d'amour entre deux femmes interdite ou mal vue dans une famille/entourage religieux .
    Le scénario est construit mais comporte quelques longueurs .
    Les deux Rachel (Weisz et MacAdams) sont bluffantes.

    Une belle histoire ,un très bon drame.
    Stéphane R
    Stéphane R

    17 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2022
    Film sobre et élégant, sans manichéisme, sans trop de militantisme. Les difficultés de s'assumer en tant qu'individu au sein d'une société corset (ici la communauté juive orthodoxe londonienne)
    Les deux Rachel sont absolument magnifiques
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