Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ceylan, lecteur de Tchekhov et de Dostoïevski, atteint avec ce film une profondeur et une acuité romanesque qui sont l'apanage de la littérature.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[...] d’une ahurissante beauté plastique et d’une ampleur presque déroutante [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
La merveille de l'été.
Positif
par Eithne O'Neill
Dans tous ses films, Nuri Bilge Ceylan remet en question la validité des liens familiaux dans une société turque changeante. "Le Poirier sauvage" s'inscrit dans cette thématique, tout en plaçant comme toujours ses personnages dans un environnement visuel somptueusement filmé qui reflète leurs contradictions. Mais le film témoigne aussi d'un renouvellement : pour suivre la quête obstinée de son jeune protagoniste, [...] le cinéaste adopte une caméra fluide, mobile, qui semble vouloir s'évader, comme le personnage, des contraintes de l'existence.
Première
par Guillaume Bonnet
La profondeur du film, sa beauté plastique inouïe prennent par moment des virages oniriques inattendus, quand l’image elle-même semble prise de transe et que le héros vacille, en même temps que le réel et les perceptions des spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Loin de n’être qu’une succession de longs tunnels logorrhéiques, "Le Poirier sauvage" est le plus ouvert des films de Ceylan, cinéaste des passions tristes, du ressentiment, capable de faire émerger la gêne, le doute chez ceux qui estiment que leur culture leur donne une supériorité sur les autres.
Télérama
par Pierre Murat
Voir un cinéaste, sans doute au sommet de son art, construire ainsi, de film en film, une œuvre que l’on sait désormais capitale, fait partie des joies que se réservent les cinéphiles. Et les justifie dans leur passion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Un récit d'apprentissage passionnant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Mélancolique et superbe.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film rugueux et mélancolique qui questionne la filiation, la solitude, et met en lumière le malaise de la Turquie contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
C’est le rire tragique du film, sa bouleversante destinée existentielle constamment ramenée au cours du film au fond d’un puits. L’homme là aussi s’y efface, comme « à la limite de la mer un visage de sable ».
Le Figaro
par La Rédaction
Une vaste fresque, âpre et rugueuse, qui ne se laisse pas facilement pénétrer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Avec « Le Poirier sauvage », le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan, qui a remporté la Palme d’Or en 2014 avec « Winter Sleep », signe un film certes bavard, mais magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le cinéma de Nuri Bilge Ceylan a toujours favorisé la parole. Mais l’élégance de sa mise en scène, dans "Le Poirier sauvage", donne à cette parole une grâce étonnante, une force de mise en mouvement du monde dont la Turquie semble, en tout cas pour un jeune homme, être totalement dépourvue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
par Jo Fishley
Nuri Bilge Ceylan prolonge son oeuvre de questionnement. Sa maïeutique est du grand art : il éblouit souvent, mais aussi, disserte parfois, en pure digression, jusqu'à l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Plus qu’un chef-d’œuvre monumental dispensant ses leçons, ce vers quoi il aurait pu tendre, le film garde une souplesse proche de l’ironie légère de ses acteurs, tourné comme eux vers une composition de bon aloi, qui se révèle émouvante.
Critikat.com
par Thomas Choury
Comme s’il s’était attaché à assouplir son cinéma monumentaliste, l’aérer de plusieurs pores, Ceylan ne produit plus que des excroissances. La profondeur souterraine que l’on sent poindre ici et là fait du "Poirier sauvage" un film toujours remarquable, mais son aspect curieusement relâché le laisse dans l’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Toujours à la tête d’une mise en scène contemplative et cohérente, Nuri Bilge Ceylan verse dans l'intellectualisme, mais parvient tout de même à garder l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Adepte des formats fleuves, Nuri Bilge Ceylan devrait réfléchir à l'idée de réaliser des films plus resserrés, où la langueur ne serait transformerait pas en longueur. Cela n'en serait certainement que meilleur.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un conte amer et acide sur la solitude et l’absence d’espoir dans son pays.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Pour accéder à l’âpre beauté de la relation entre un père et son fils dépeinte par le film, le spectateur doit s’accrocher : les dialogues sont fournis, très écrits et semés de références littéraires.
Voici
par Daniel Blois
Nuri Bilge Ceylan touche parfois au sublime, mais dilue son propos dans de longues scènes discursives.
L'Obs
Ceylan, lecteur de Tchekhov et de Dostoïevski, atteint avec ce film une profondeur et une acuité romanesque qui sont l'apanage de la littérature.
Libération
[...] d’une ahurissante beauté plastique et d’une ampleur presque déroutante [...].
Marianne
La merveille de l'été.
Positif
Dans tous ses films, Nuri Bilge Ceylan remet en question la validité des liens familiaux dans une société turque changeante. "Le Poirier sauvage" s'inscrit dans cette thématique, tout en plaçant comme toujours ses personnages dans un environnement visuel somptueusement filmé qui reflète leurs contradictions. Mais le film témoigne aussi d'un renouvellement : pour suivre la quête obstinée de son jeune protagoniste, [...] le cinéaste adopte une caméra fluide, mobile, qui semble vouloir s'évader, comme le personnage, des contraintes de l'existence.
Première
La profondeur du film, sa beauté plastique inouïe prennent par moment des virages oniriques inattendus, quand l’image elle-même semble prise de transe et que le héros vacille, en même temps que le réel et les perceptions des spectateurs.
Transfuge
Loin de n’être qu’une succession de longs tunnels logorrhéiques, "Le Poirier sauvage" est le plus ouvert des films de Ceylan, cinéaste des passions tristes, du ressentiment, capable de faire émerger la gêne, le doute chez ceux qui estiment que leur culture leur donne une supériorité sur les autres.
Télérama
Voir un cinéaste, sans doute au sommet de son art, construire ainsi, de film en film, une œuvre que l’on sait désormais capitale, fait partie des joies que se réservent les cinéphiles. Et les justifie dans leur passion.
20 Minutes
Un récit d'apprentissage passionnant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mélancolique et superbe.
L'Humanité
Un film rugueux et mélancolique qui questionne la filiation, la solitude, et met en lumière le malaise de la Turquie contemporaine.
La Septième Obsession
C’est le rire tragique du film, sa bouleversante destinée existentielle constamment ramenée au cours du film au fond d’un puits. L’homme là aussi s’y efface, comme « à la limite de la mer un visage de sable ».
Le Figaro
Une vaste fresque, âpre et rugueuse, qui ne se laisse pas facilement pénétrer.
Le Parisien
Avec « Le Poirier sauvage », le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan, qui a remporté la Palme d’Or en 2014 avec « Winter Sleep », signe un film certes bavard, mais magnifique.
Les Inrockuptibles
Le cinéma de Nuri Bilge Ceylan a toujours favorisé la parole. Mais l’élégance de sa mise en scène, dans "Le Poirier sauvage", donne à cette parole une grâce étonnante, une force de mise en mouvement du monde dont la Turquie semble, en tout cas pour un jeune homme, être totalement dépourvue.
Bande à part
Nuri Bilge Ceylan prolonge son oeuvre de questionnement. Sa maïeutique est du grand art : il éblouit souvent, mais aussi, disserte parfois, en pure digression, jusqu'à l'ennui.
Cahiers du Cinéma
Plus qu’un chef-d’œuvre monumental dispensant ses leçons, ce vers quoi il aurait pu tendre, le film garde une souplesse proche de l’ironie légère de ses acteurs, tourné comme eux vers une composition de bon aloi, qui se révèle émouvante.
Critikat.com
Comme s’il s’était attaché à assouplir son cinéma monumentaliste, l’aérer de plusieurs pores, Ceylan ne produit plus que des excroissances. La profondeur souterraine que l’on sent poindre ici et là fait du "Poirier sauvage" un film toujours remarquable, mais son aspect curieusement relâché le laisse dans l’ombre.
Franceinfo Culture
Toujours à la tête d’une mise en scène contemplative et cohérente, Nuri Bilge Ceylan verse dans l'intellectualisme, mais parvient tout de même à garder l’émotion.
L'Express
Adepte des formats fleuves, Nuri Bilge Ceylan devrait réfléchir à l'idée de réaliser des films plus resserrés, où la langueur ne serait transformerait pas en longueur. Cela n'en serait certainement que meilleur.
La Croix
Un conte amer et acide sur la solitude et l’absence d’espoir dans son pays.
Le Journal du Dimanche
Pour accéder à l’âpre beauté de la relation entre un père et son fils dépeinte par le film, le spectateur doit s’accrocher : les dialogues sont fournis, très écrits et semés de références littéraires.
Voici
Nuri Bilge Ceylan touche parfois au sublime, mais dilue son propos dans de longues scènes discursives.