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    Le Poirier sauvage
    Note moyenne
    4,0
    22 titres de presse
    • L'Obs
    • Libération
    • Marianne
    • Positif
    • Première
    • Transfuge
    • Télérama
    • 20 Minutes
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • L'Humanité
    • La Septième Obsession
    • Le Figaro
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
    • Bande à part
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Franceinfo Culture
    • L'Express
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Voici

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    22 critiques presse

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Ceylan, lecteur de Tchekhov et de Dostoïevski, atteint avec ce film une profondeur et une acuité romanesque qui sont l'apanage de la littérature.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    [...]  d’une ahurissante beauté plastique et d’une ampleur presque déroutante [...].

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marianne

    par Olivier de Bruyn

    La merveille de l'été.

    Positif

    par Eithne O'Neill

    Dans tous ses films, Nuri Bilge Ceylan remet en question la validité des liens familiaux dans une société turque changeante. "Le Poirier sauvage" s'inscrit dans cette thématique, tout en plaçant comme toujours ses personnages dans un environnement visuel somptueusement filmé qui reflète leurs contradictions. Mais le film témoigne aussi d'un renouvellement : pour suivre la quête obstinée de son jeune protagoniste, [...] le cinéaste adopte une caméra fluide, mobile, qui semble vouloir s'évader, comme le personnage, des contraintes de l'existence.

    Première

    par Guillaume Bonnet

    La profondeur du film, sa beauté plastique inouïe prennent par moment des virages oniriques inattendus, quand l’image elle-même semble prise de transe et que le héros vacille, en même temps que le réel et les perceptions des spectateurs.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Transfuge

    par Frédéric Mercier

    Loin de n’être qu’une succession de longs tunnels logorrhéiques, "Le Poirier sauvage" est le plus ouvert des films de Ceylan, cinéaste des passions tristes, du ressentiment, capable de faire émerger la gêne, le doute chez ceux qui estiment que leur culture leur donne une supériorité sur les autres.

    Télérama

    par Pierre Murat

    Voir un cinéaste, sans doute au sommet de son art, construire ainsi, de film en film, une œuvre que l’on sait désormais capitale, fait partie des joies que se réservent les cinéphiles. Et les justifie dans leur passion.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    20 Minutes

    par Stéphane Leblanc

    Un récit d'apprentissage passionnant.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par La Rédaction

    Mélancolique et superbe.

    La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace

    L'Humanité

    par Sophie Joubert

    Un film rugueux et mélancolique qui questionne la filiation, la solitude, et met en lumière le malaise de la Turquie contemporaine.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Septième Obsession

    par Morgan Pokée

    C’est le rire tragique du film, sa bouleversante destinée existentielle constamment ramenée au cours du film au fond d’un puits. L’homme là aussi s’y efface, comme « à la limite de la mer un visage de sable ».

    Le Figaro

    par La Rédaction

    Une vaste fresque, âpre et rugueuse, qui ne se laisse pas facilement pénétrer.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Avec « Le Poirier sauvage », le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan, qui a remporté la Palme d’Or en 2014 avec « Winter Sleep », signe un film certes bavard, mais magnifique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Le cinéma de Nuri Bilge Ceylan a toujours favorisé la parole. Mais l’élégance de sa mise en scène, dans "Le Poirier sauvage", donne à cette parole une grâce étonnante, une force de mise en mouvement du monde dont la Turquie semble, en tout cas pour un jeune homme, être totalement dépourvue.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Bande à part

    par Jo Fishley

    Nuri Bilge Ceylan prolonge son oeuvre de questionnement. Sa maïeutique est du grand art : il éblouit souvent, mais aussi, disserte parfois, en pure digression, jusqu'à l'ennui.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Cahiers du Cinéma

    par Florence Maillard

    Plus qu’un chef-d’œuvre monumental dispensant ses leçons, ce vers quoi il aurait pu tendre, le film garde une souplesse proche de l’ironie légère de ses acteurs, tourné comme eux vers une composition de bon aloi, qui se révèle émouvante.

    Critikat.com

    par Thomas Choury

    Comme s’il s’était attaché à assouplir son cinéma monumentaliste, l’aérer de plusieurs pores, Ceylan ne produit plus que des excroissances. La profondeur souterraine que l’on sent poindre ici et là fait du "Poirier sauvage" un film toujours remarquable, mais son aspect curieusement relâché le laisse dans l’ombre.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Toujours à la tête d’une mise en scène contemplative et cohérente, Nuri Bilge Ceylan verse dans l'intellectualisme, mais parvient tout de même à garder l’émotion.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Express

    par Antoine Le Fur

    Adepte des formats fleuves, Nuri Bilge Ceylan devrait réfléchir à l'idée de réaliser des films plus resserrés, où la langueur ne serait transformerait pas en longueur. Cela n'en serait certainement que meilleur.

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Un conte amer et acide sur la solitude et l’absence d’espoir dans son pays.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Pour accéder à l’âpre beauté de la relation entre un père et son fils dépeinte par le film, le spectateur doit s’accrocher : les dialogues sont fournis, très écrits et semés de références littéraires.

    Voici

    par Daniel Blois

    Nuri Bilge Ceylan touche parfois au sublime, mais dilue son propos dans de longues scènes discursives.

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