Derniers Avis sur Belle et Sébastien 3: le dernier chapitre

Belle fin de clôture de la trilogie de Belle et Sébastien, l'aventure ce termine bien belle et sauvé par Sébastien

un troisième épisode plus proche du premier qui joue sur les sentiments. belle a trois petits et Sébastien doit suivre son père au Canada...quel déchirement de quitter son grand père et ses montagnes... tout ça dans une ambiance de crainte de perdre belle qui est recherchée par son ancien propriétaire qui n'aime pas les animaux et les maltraite.... heureusement Sébastien est débrouillard et belle tellement intelligente.....

Ce dernier volet de la saga "Belle et Sébastien" est juste envoûtant !
J'ai savouré chaque films, ainsi que celui-ci.
Je n'ai rien à dire sur la performance des acteurs, ils ne se sont pas contenté de simplement lire leurs textes, c'est comme si ils le vivaient, et ça c'est super. Tchéky Karyo m'a toujours plus en César, ainsi que Félix Bossuet en Sébastien, le rôle a été taillé pour lui, je ne peux imaginer quelqu'un d'autre prendre sa place.
L'histoire est toujours aussi touchante, je pense que c'est ça qui fait la force de ce film.
Merci à Clovis Cornillac pour nous avoir offert un film splendide !

Les trois chiots nous font craquer et les belles montagnes nous font rêver. Le film s'apprécie, non pas pour son scénario, mais pour la relation entre l'enfant et sa chienne et pour les magnifiques paysages enneigés.

Scénario suivant la trilogie commencée mais pas très original et trop simple. Les acteurs tiennent la route dans l’ensemble et la photographie du film est toujours aussi belle malgré l’usage un peu trop intensif de la 3D

Je suis conscient que nous avons tous droit à notre propre opinion et que nous pouvons aussi avoir des goûts différents des autres et c'est bien. La raison pour laquelle ce troisième épisode de Belle et Sébastien n'a pas assez de bonne critiques est un petit mystère pour moi et je vais donc en ajouter une. Peu importe je peux juste dire que j'ai vraiment apprécié les trois histoires de Belle et Sébastien. Je n'ai aucun problème à ce que mes petits-enfants les regardent ils les ont appréciés et n'ont pas déclaré avoir fait de cauchemars à leurs sujet. J'imagine que nous nous demanderons toujours ou débattrons de l'influence des films sur le comportement des gens. Certains d'entre nous sont protégés dès le premier jour tandis que d'autres deviennent rapidement des gens de la rue. Mais cela ne suffit pas à déterminer leur avenir. Tous les films Belle et Sébastien nous offrent des paysages splendides et des moments magiques alors profitons-en...

Le premier était gentil, le second gentil mais dans une logique film d'aventures historique assez plaisante, le troisième apparaît clairement comme l'épisode en trop (et sera, heureusement, sans doute le dernier). Niveau mise en scène, Clovis Cornillac ne s'en sort pas si mal, même si ces beaux décors naturels auraient clairement mérité d'être plus exploités, surtout à travers cette lumière de qualité.

Non, ce qui coince est clairement le scénario et ce rôle de méchant interprété par Cornillac « himself ». Le premier n'est pas très intéressant, faiblard, où l'on sent vraiment que l'on comble comme on peut une histoire à laquelle personne ne semble avoir cru ni voulu se donner la peine de raconter. Du coup, hormis quelques scènes vaguement efficaces et des chiots plus mignons que jamais, pas grand-chose à se mettre sous la dent, à l'image de cette relation « amour vache » entre Tchéky Karyo et Anne Benoît (franchement, QUI peut tomber amoureux de quelqu'un en débutant une relation de la sorte?).

Mais surtout, SURTOUT, il y a cet antagoniste au look totalement irréel et odieux jusqu'à la caricature, que l'on ne cherche jamais un seul instant à humaniser ou complexifier : au contraire, on le fait même complice des nazis, entre autres brillants états de service... Bref. Je trouve ça d'autant plus regrettable que je ne comprends pas : comment peut-on être aussi simpliste, manichéen, surtout avec un récit ne tenant à ce point pas la route ?

Après, il y a cette chienne magnifique (de loin le personnage le plus intéressant!), visuellement le dépaysement est loin d'être désagréable, mais il s'agit (et de loin) du plus faible volet de la trilogie : si ces adaptations de la série imaginée par Cécile Aubry pouvaient éventuellement se justifier au départ, il était clairement temps que ce dernier chapitre soit atteint.

Même s'il s'avère moins bien tout de même que les deux premiers, ce "Belle et Sébastien 3 : le dernier chapitre" clôture avec un certain panache la trilogie initié par Nicolas Vanier. Les acteurs sont toujours au top surtout Félix Bossuet qui aura tenu son personnage jusqu'au bout, ce qui est assez rare face à un Clovis Cornillac juste excellent en méchant. Il signe également la réalisation du film, ce qui est assez inattendu, car personne ne l'aurais imaginé dans un film d'aventure caméra à l'épaule. Un bon film d'aventure qui dans tous les cas devraient réjouir les fans des premiers opus.

Les paysages sont toujours magnifiques et Clovis Cornillac fait un bon méchant mais il y a moins d'aventure et côté scénario c'est le minimum syndical.

Comme d'habitude un beau conte pour enfant et une belle histoire d'amour entre un garçon et son chien. Mais avec un Clovis Cornillac excellent en grand méchant.

Normalement Le dernier de la saga. Clovis cornillac en méchant joue très bien son rôle. Une belle histoire sur la séparation ( forcée) en tre Sébastien et son grand père adoptif. Un très très bon moment passé en famille.

Filmé dans de magnifiques décors enneigés, « Belle et Sébastien 3 » est un joli film d'aventures familial qui ne révolutionne pas le genre mais qui s’inscrit dans l’esprit des deux premiers épisodes. Il faut cependant se satisfaire d'une intrigue minimaliste avec le méchant qui est très méchant et les gentils qui sont, forcément, très gentils. Les personnes manquent donc d’épaisseur, l’histoire d’audace et le résultat de subtilité. Mais l’ensemble est compensé par la beauté de la montagne, véritable hymne à la nature.

Pourquoi faire une PALE copie de l'original écrit et réalisé par Mme Cécile AUBRY pour son fils MEHDI
Rien ne peut valoir la réalisation d'une série ou d'un film dirigé par son Auteur
Pour info j'ai été sur tous les tournages des SEBASTIEN travaillant à l'époque
pour l'éditeur musical du film M. Max AMPHOUX

Très bon film pour les enfants !
C'est doux, mignon, de jolis paysages et une petite histoire sympa.
Dans l'ordre, je préfère le 3, le 1 et le 2.
Ma note : 4/5

Belle et Sébastien 3 : le dernier chapitre gagne en noirceur ce qu’il perd en originalité et en efficacité, fort d’un antagoniste tout de noir vêtu qu’incarne, non sans manichéisme, un Clovis Cornillac tout à la fois acteur et réalisateur. Et il faut bien reconnaître que ce dernier dispose de belles idées de mise en scène, offrant à ce troisième volet un cachet certain dû à l’esthétisation des plans par un soin accordé au cadrage, à l’utilisation de la demi-bonnette, aux ralentis qui immortalisent les cascades assez impressionnantes. Aussi la reconstruction d’une époque franchouillarde avec ses accordéons et sa deux-chevaux se voit-elle désamorcée par une poignée de séquences intenses, qu’il s’agisse de la traversée de la montagne sous une tempête de neige, du ravissement des chiots suivi du sacrifice de la mère, de la disparition des lutteurs sous la glace pendant de longues secondes. On pardonnera donc l’interférence produite par la figure maternelle revenue d’outre-tombe pour guider son fils, choix opportuniste que redouble l’apparition de la mère de Belle qui aide les personnages à sortir d’embarras. Manquent à cette suite une poésie et une âme qui, seules, auraient permis de filer intelligemment la métaphore maternelle, ici simple décorum assez conventionnel.