À mon âge je me cache encore pour fumer : Critique presse
À mon âge je me cache encore pour fumer
Note moyenne
3,3
11 titres de presse
L'Humanité
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
La Voix du Nord
Télérama
aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Première
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11 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
Porté par une formidable distribution (Biyouna, Fadila Belkebla, Lina Soualem, Maymouna…), À mon âge je me cache encore pour fumer puise aux sources de la tragédie antique pour rappeler que, dans les périodes de régression, le corps des femmes est toujours la première cible des obscurantistes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Il y a, dans le film de Rayhana, un parfum de liberté. C’est la version politique de "Femmes" (1939), de George Cukor, célèbre film dans lequel une quinzaine de bonnes femmes se croisaient dans un institut de beauté. C’était fielleux et ironique. Chez Rayhana, c’est vif et tranchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Adapté d’une pièce de théâtre, un film qui dit avec force et chaleur la féminité, porteuse de liberté, dans une société qui la contraint et la violente.
Le Figaro
par La Rédaction
Les femmes vont et viennent telles que la réalité les dessine. La caméra les cadre avec empathie, en groupe, seules. Ce que réussit Rayhana avec ce film maîtrisé, c'est à suggérer la menace qui plane.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Parfois cru mais jamais voyeuriste, porté par des comédiennes habitées, ce long métrage (est) à la fois drôle, bouleversant et profondément humaniste (...).
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Le film se veut choral, on l'aurait souhaité moins démonstratif. Elle sait cependant filmer les joies et les peines de la chair qui vient laver ses douleurs, les sécrétions et les luttes de ces femmes qui refusent la violence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rien de bien neuf, hélas, à l’horizon de la femme arabe qui tente en vain de s’émanciper du joug masculin, familial et religieux. Jolie scène finale sur fond d’envol de foulards. Ce film aussi cru qu’audacieux et courageux est produit par Michèle Ray-Gavras.
Télérama
par Frédéric Strauss
Les intentions sont nobles : tirer le film vers la fable et l'hymne aux libertés — de plus en plus sacrifiées. La vérité simple des portraits séduit pourtant davantage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un beau huis clos cinématographique, où des femmes opprimées prennent enfin la parole en toute liberté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cela part d’un bon sentiment féministe et anti-autoritaire, mais tout est surligné et cousu de fil blanc. Certes, les doléances et dilemmes moraux sont en partie compensés par une certaine liberté sensuelle, par la vérité des corps (…) mais, même dans ce registre, on a vu des précédents plus satisfaisants, comme par exemple Halfaouine, l’enfant des terrasses du Tunisien Férid Boughedir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Peu d’idées de cinéma, beaucoup trop de scènes littérales qui disent le monde au lieu de le réinventer. La trivialité du lieu et la sensualité des corps auraient pu engendrer une œuvre autrement plus ambiguë et fascinante.
L'Humanité
Porté par une formidable distribution (Biyouna, Fadila Belkebla, Lina Soualem, Maymouna…), À mon âge je me cache encore pour fumer puise aux sources de la tragédie antique pour rappeler que, dans les périodes de régression, le corps des femmes est toujours la première cible des obscurantistes.
L'Obs
Il y a, dans le film de Rayhana, un parfum de liberté. C’est la version politique de "Femmes" (1939), de George Cukor, célèbre film dans lequel une quinzaine de bonnes femmes se croisaient dans un institut de beauté. C’était fielleux et ironique. Chez Rayhana, c’est vif et tranchant.
Le Dauphiné Libéré
Adapté d’une pièce de théâtre, un film qui dit avec force et chaleur la féminité, porteuse de liberté, dans une société qui la contraint et la violente.
Le Figaro
Les femmes vont et viennent telles que la réalité les dessine. La caméra les cadre avec empathie, en groupe, seules. Ce que réussit Rayhana avec ce film maîtrisé, c'est à suggérer la menace qui plane.
Le Journal du Dimanche
Parfois cru mais jamais voyeuriste, porté par des comédiennes habitées, ce long métrage (est) à la fois drôle, bouleversant et profondément humaniste (...).
Culturopoing.com
Le film se veut choral, on l'aurait souhaité moins démonstratif. Elle sait cependant filmer les joies et les peines de la chair qui vient laver ses douleurs, les sécrétions et les luttes de ces femmes qui refusent la violence.
La Voix du Nord
Rien de bien neuf, hélas, à l’horizon de la femme arabe qui tente en vain de s’émanciper du joug masculin, familial et religieux. Jolie scène finale sur fond d’envol de foulards. Ce film aussi cru qu’audacieux et courageux est produit par Michèle Ray-Gavras.
Télérama
Les intentions sont nobles : tirer le film vers la fable et l'hymne aux libertés — de plus en plus sacrifiées. La vérité simple des portraits séduit pourtant davantage.
aVoir-aLire.com
Un beau huis clos cinématographique, où des femmes opprimées prennent enfin la parole en toute liberté.
Les Inrockuptibles
Cela part d’un bon sentiment féministe et anti-autoritaire, mais tout est surligné et cousu de fil blanc. Certes, les doléances et dilemmes moraux sont en partie compensés par une certaine liberté sensuelle, par la vérité des corps (…) mais, même dans ce registre, on a vu des précédents plus satisfaisants, comme par exemple Halfaouine, l’enfant des terrasses du Tunisien Férid Boughedir.
Première
Peu d’idées de cinéma, beaucoup trop de scènes littérales qui disent le monde au lieu de le réinventer. La trivialité du lieu et la sensualité des corps auraient pu engendrer une œuvre autrement plus ambiguë et fascinante.