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    Styx
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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2019
    Le voilier dessine une fenêtre sur l’infini qu’il parcourt, forme un cadre dans le cadre où se projettent les rêves de paradis puis l’effroi de la réalité. Styx saisit l’urgence dans ce qu’elle a de plus immobile, pose des questions auxquelles il ne répond pas – ce qui s’avère judicieux –, laisse le spectateur dans ses propres doutes. Œuvre cernée de silence, silence brisé par les appels radiophoniques et les tentatives d’échanges entre une femme devenue entre-temps mère adoptive et un rescapé ayant perdu ses racines, Styx change le cordage en ligne de démarcation : on peut demeurer d’un côté et pousser plus loin sa soif d’illusion ou, au contraire, franchir le pas, briser le cadre en y entrant et en s’en rendant acteur. Toutefois, cette guerre de positions – intervenir ou non – est elle-même flottante, la femme ne se change guère en héroïne mais en regard et témoin posés sur cette tragédie : une sortie de route ouvre le film, brutale, froide ; en face, ce radeau de la Méduse qui lentement dépérit sans que le secours promis n’apparaisse. Le voilier se mue en espace contemplatif : le chez-soi se voit percé d’images, comme un écran de télévision. La femme incarne le spectateur, non seulement le spectateur de cinéma, mais aussi le spectateur quotidien qui allume sa télévision pour assister à ce même flux de détresse qui revient comme les vagues frappent l’embarcation. Styx finit par court-circuiter ses propres dispositifs pour mieux se murer dans le silence et, ainsi, ne pas renchérir sur la médiatisation inerte. Beaucoup de bruit, beaucoup de paroles, la paperasse, les beaux discours. Et le film lance un ultime cri de détresse. Un cri sourd, assourdissant, sans son. Le silence pèse. L’horreur persiste.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2019
    « Styx » doit son titre à une nymphe aquatique dans la mythologie grecque. C’est aussi un des fleuves des Enfers qui séparait le monde terrestre de celui-ci. Dans ce long-métrage de Wolfgang Fischer, l’actrice allemande Susanne Wolff est une médecin urgentiste qui prend des vacances sur son voilier. L’objectif de son voyage en solitaire est de rejoindre l’île de l’Ascension depuis Gibraltar. Le calme de son périple et la discrétion de l’actrice rendent ce film apaisant. Mais suite à une tempête, elle découvre une embarcation à la dérive, avec à son bord, des dizaines de migrants. Le réalisateur fait le choix de toujours centrer son action du point de vue de son personnage principal. C’est alors qu’on découvre avec effroi, la non-action des autorités à se déployer rapidement pour effectuer le sauvetage. « Styx » rend hommage aux actions individuelles de citoyens en faveur de la solidarité pour les réfugiés qui sont prêts à mettre leurs vies en jeu pour fuir de pires circonstances. Ce sujet malheureusement d’actualité est mené avec une puissance captivante, même s’il peut soulever des questions sans réponses.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    traversay1
    traversay1

    3 097 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2019
    Du personnage principal de Styx, on ne saura que le minimum. La quarantaine, sans doute sans mari et sans enfants, infirmière urgentiste en Allemagne. Et une passion pour la navigation qui la conduit à entreprendre un voyage en voilier vers l'île de l'Ascension. Et d'être soudain confrontée à une situation inextricable face à un cargo en perdition transportant des migrants. Le film est ne laisse d'autre choix que de se mettre à la place de cette femme. C'est visiblement quelqu'un qui par son métier a choisi de s'occuper des autres et dont on ne pourra pas remettre en question les décisions. Très bien mais qu'en est-il d'un strict point de vue scénaristique et cinématographique. Un bon film, c'est une écriture et une mise en scène, quelque soit le sujet. Dans Styx, tout est épuré au maximum et le thème phagocyte largement la forme sans laisser au spectateur une quelconque liberté de penser, confronté qu'il est à des faits qui le dépassent. C'est un film pétri de bonnes intentions et propice à un débat après sa projection mais qui impose ses propres limites du point de vue cinématographique. C'est risquer de se faire traiter de cynique que de juger Styx tellement attendu dans sa façon de traiter un problème qui mérite des débats bien plus amples. L'on peut approuver le message que délivre le film sans pour autant être convaincu par la forme employée.
    FaRem
    FaRem

    7 410 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2019
    Il y a ceux qui prennent la mer pour en quelque sorte se mettre en danger et vivre des expériences inoubliables et il y a ceux qui n'ont d'autre choix que de prendre cette route dangereuse pour échapper à la mort et tenter d'avoir une vie meilleure. Wolfgang Fischer nous propose la rencontre entre deux groupes qui ont pris ces deux décisions radicalement opposées. Après un début de voyage tranquille, Rike va tomber sur un bateau transportant des migrants qui semblent avoir des problèmes et c'est à partir de là que la situation se complique pour cette urgentiste qui est confrontée à un dilemme. Sur le papier, c'est un film intéressant et nécessaire qui montre une triste réalité que ce soit celle du sort des migrants ou encore celle des autorités qui restent trop souvent spectateurs face à cette détresse humaine seulement, le film manque d'authenticité à tel point que l'ensemble finit par ressemble à un simple message de propagande... Au-delà du fond et du message, et si l'on doit juger uniquement le film en tant que film, c'est quand même hyper redondant et ennuyeux à la longue. Quasiment aucun dialogue, une situation qui n'évolue jamais et surtout zéro émotion. Un film surfait qui ne fera probablement pas avancer la cause... Il y a malheureusement des histoires plus fortes et tragiques qui sont racontées toutes les semaines.
    mat niro
    mat niro

    295 abonnés 1 721 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2018
    Vu en avant première, ce film commence par un accident de la route où l'on peut voir les premiers secours portés au jeune conducteur. Ensuite, Susanne Wolff nous offre une "Route du Rhum" où elle manoeuvre seule à travers l'Atlantique. C'est d'un ennui abyssal (sauf peut-être pour les marins) et cela semble interminable. La rencontre avec le jeune migrant donne un peu de peps à l'histoire mais l'ensemble reste superficiel, sans dialogues quasiment, mais délivre un message positif quand même au sein d'un long-métrage sans saveur. Ennuyant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 739 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2022
    Évoquant le sort des bateaux migrants en détresse, un drame humain inabouti, pétri de bonnes intentions, au message percutant, mais desservi par un récit peu captivant, malgré la prestation pleine de justesse de Susanne Wolff. 2,25
    cinéman
    cinéman

    21 abonnés 736 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 septembre 2023
    Personne ne peut être indifférent au sort des migrants d'Afrique qui échouent en pleine mer, à part des salauds, aussi ce film joue un peu trop facilement sur cette corde sensible, d'autant qu'il met en scène des enfants. Après, la question qu'il pose reste hautement d'actualité, même si on n'a pas besoin de voir ce film précisément pour le savoir : peut-on laisser mourir des Africains en pleine mer alors qu'ils fuient la guerre ou la misère et cherchent juste à vivre convenablement ? Ne sommes-nous pas égoïstes ? Ne ferions-nous pas la même chose à leur place ? Pourtant ne nous y trompons pas... Face à ces grandes questions, ce film reste sobre, à petit budget, avec beaucoup de plans fixes et peu de personnages (essentiellement une Allemande médecin et un adolescent africain), ce qui ne veut pas dire qu'un bon film soit forcément onéreux. Mais celui-ci accuse de vraies longueurs car il comporte peu de dialogues ou d'actions, et le message humaniste qu'il tente de faire passer, ses ambitions, ne s'accorde pas forcément avec son côté minimaliste et dépouillé. De plus, les scènes du début avec les singes et l'accident de voiture semblent complètement hors-sujet et inutiles.
    Denis Lecat
    Denis Lecat

    66 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2019
    Un film magnifique sur la mer, la solitude et le sens de vivre ensemble sur cette même planète. Hormis la prouesse,
    de mise en scène et l'interprétation des comédiens, c'est une oeuvre utile politiquement. Un film à voir absolument !
    Hervé L
    Hervé L

    59 abonnés 602 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 avril 2019
    Une medecin allemande un peu culture culture part découvrir le monde seule dans son beau voilier blanc. Après une tempête force 8/9 très peu crédible elle prends à son bord un africain qui lui fera comprendre en la jetant à l eau les risques pris....elle finira hebetée
    ElBlasio
    ElBlasio

    26 abonnés 324 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    On est tout de suite happé par cette aventure très brute, dénuée de dialogue et filmée au plus près de sa protagoniste. Comme Robert Redford dans All is Lost, Susanne Wolff capte à elle seule l’attention du spectateur grâce à la force de son personnage et à son jeu particulièrement juste. Elle est très bien aidée par la réalisation qui filme au plus près son odyssée et son combat face aux éléments.
    Lorsque Rieke se retrouve subitement confrontée à la civilisation, l’intérêt redescend d’un cran. L’idée d’aborder la problématique des migrants clandestins sous l’angle d’un survival aurait pu être originale, mais pour peu qu’on suive l’actualité, on est en terrain malheureusement connu. Le réalisme quasi documentaire de ce voyage cède place à des situations quelque peu téléphonées, qui s’enchaînent mécaniquement pour illustrer la grande hypocrisie et l’inhumanité avec laquelle sont traités les migrants clandestins. Certes, le réalisateur Wolfgang Fischer tente d’universaliser la question des migrations, en orientant son récit sur l’océan Atlantique vers l’île de l’Ascension, dont la végétation a été artificiellement « repeuplée » par Charles Darwin au 19ème siècle, mais on a quand même l’impression qu’il raconte une situation quotidienne en Méditerranée.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 774 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2022
    « L’horreur de la mort » une des définitions du mot Styx.
    Le « Styx » de Wolfgang Fischer nous montre bien au-delà de l’horreur de la mort : l’horreur de l’indifférence pour des migrants africains…
    Quoique…
    Rike (Susanne Wolff) part seule en mer rejoindre l’île de l’Ascension pour ses vacances sur son propre voilier (ou loué ?). Médecin urgentiste, elle ne se contente pas de longer les côtes, elle navigue au large. On la voit dans son quotidien se démener pour conduire son voilier sous temps calme et agité. Elle a des moments de plaisirs, elle prend le soleil, se baigne. A travers ces longues séquences qui s’étirent sur plus d’une demi heure, je suis admiratif de son investissement. Ce n’est pas une marine du dimanche, on perçoit nettement un comportement professionnel.
    Cette partie est passionnante.
    La prestation de Susanne Wolff est captivante.
    Puis arrive « l’horreur », un bateau bondé de réfugiés.
    Le film est centré sur le point de vue de Rike. Ainsi, quand elle aperçoit ce bateau de sa cabine, et qu’elle scrute avec ses jumelles, on ne voit qu’elle, rien de ce qu’elle voit.
    On perçoit des cris au loin, on entrevoit des bras qui s’agitent dans le flou de la profondeur de champ.
    Tout est à hauteur de Rike.
    Comme on ne l’entend pas puisqu’elle est seule, tout passe par son regard, ses silences.
    A partir de ce postulat, je m’interroge comme elle : je me surprends à lui susurrer à l’oreille de ne pas s’approcher davantage de l’épave, d’écouter les recommandations des secours maritimes.
    Comment peut-on rester indifférent devant une telle horreur ?
    En tant que médecin, elle ne peut que suivre son instinct.
    Pourtant, en tant que marine expérimentée, elle sait pertinemment qu’elle ne doit pas intervenir dans ce cas de figure.
    Malgré tout, elle récupère un jeune homme, un ado, inanimé au moment où elle se démène pour le monter à bord ; je souffre avec elle physiquement. J’ai l’impression que le réalisateur filme en temps réel. Le poids inanimé du jeune garçon est lourd comme un âne mort.
    Elle parvient à le soigner, à l’hydrater… c’est tout.
    C’est déjà considérable, elle a quand même sauvé une vie !
    Cependant, le jeune ado semble ingrat, il exige plus. Rike doit sauver le reste de sa famille, il parle d’une soeur. Mais il se heurte à l’impuissance de Rike de plus en plus torturée par le doute.
    Après une longue réflexion, le metteur en scène ne s’amuse-t-il pas avec les sentiments du spectateur ?
    Evidemment, le premier réflexe est de porter secours à des individus perdus en mer, épuisés de faim, de soif et de fatigue.
    Evidemment, on doit suivre les recommandations des services de secours.
    Il est évident que le voilier de Rike ne peut pas prendre en charge tous ces migrants estimés à plus de cent.
    Il est évident que Rike ne peut pas choisir entre tel ou tel migrant.
    Il est évident qu’en se rapprochant du bateau fantôme, Rike peut semer la confusion. Dans leur folie, la grande majorité des rescapés plongera et prendra d’assaut le voilier.
    Que faire ?
    Attendre ?
    Seulement, l’attente se fait attendre !
    C’est à se demander si les secours ne sous-estiment pas la situation.
    D’autant que dans les environs, des navires pourraient prendre en charge ces migrants.
    Seulement, ils suivent les recommandations des secours.
    Aucun ne veut prendre d’initiative.
    Puis des migrants africains, ça ne pèse pas lourd sur la conscience !
    C’est ce que semble nous dire implicitement le réalisateur.
    Apparemment, pour l’initié en mer, des bateaux remplis de migrants africains, ça doit être banal.
    Moi qui pensais qu’il y avait une solidarité maritime, je suis tombé de haut.
    Maintenant, à toute toute petite échelle, combien sommes-nous à ne pas donner un sou à des femmes orientales ou d’Europe de l’est qui font la manche aux feux rouges ?
    Elles font partie du paysage !
    On a donné une fois ici ou là de temps à autres, on ne donne pas tout le temps. D’autres s’en chargeront.
    Pourtant, la solidarité maritime ou secours maritimes semblerait mieux fonctionner pour une personne occidentale.
    C’est ce que semble nous dire implicitement le réalisateur.
    On le voit aujourd’hui avec la guerre russo-ukrainienne : tous ces migrants ukrainiens sont plus acceptés que les syriens ou afghans.
    Certaines personnes politiques ont fait leur mea culpa.
    Un migrant reste un migrant. Peu importe d’où il vient.
    Seulement, il y a dans l’inconscient un migrant qui présente bien un migrant qui présente mal !
    Bref, là où je me plais à penser que le réalisateur peut manipuler les sentiments du spectateur c’est par ses mauvaises pistes.
    Ce ne sont pas les migrants qui posent soucis, ils sont là pour mesurer la bêtise ou les louables intentions de Rike, c’est selon.
    Dans un premier temps, le film est fait de telle manière que les autorités maritimes passent pour être ingrates.
    C’est ce que semble nous dire implicitement le réalisateur.
    Il est vrai qu’elles donnent raison à Rike. Après avoir sauvé le jeune garçon, la patrouille demeure absente dix heures après le premier contact.
    Le réalisateur nous dit implicitement qu’on ne peut pas faire confiance aux secours et que Rike a bien fait d’agir.
    Mais comme toutes les conditions ne sont pas réunies à commencer par un voilier petit, ne nous met-il pas dans une inconfortable réflexion ?
    Car à bien y regarder, il n’y a pas photo : il est impossible d’agir pour l’ensemble des migrants.
    Alors, Rike va devoir mentir sur sa situation pour forcer les autorités ou les navires environnants à revoir leur position.
    Mais le réalisateur rectifie le tir pour mieux l’orienter sur Rike qui a menti sur sa condition de naufragée.
    La caméra rapprochée de Wolfgang Fischer sur Rike semble la culpabiliser.
    Celle-ci réalise (réaliserait ?) que les secours auraient fini par arriver s’ils avaient fini par secourir d’autres naufragés en détresse. Et ces secours engagés pour sauver Rike - naufragée volontaire ! - sont des secours en moins pour de vrais naufragés.
    En soi, « Styx » n’est pas que « l’horreur de la mort », que l’horreur de bateaux gorgés de réfugiés, c’est l’horreur des priorités dans la hiérarchie des S.O.S ! C’est ce que réalise aussi Rike.
    Les lois ou règlements de la marine ne participent-elles pas indirectement à l’horreur ?
    Le réalisateur participe à cette horreur avec ses nombreux questionnements qui peuvent déstabiliser le spectateur et faire de Rike une partie du problème et non une solution pour reconsidérer tout le système des secours.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    220 abonnés 2 858 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Film qui laisse un drôle de ressenti ! Déjà, le début est étrange (pourquoi 2 macaques marchent pendant près de 2 minutes au démarrage ?) puis il ne se passe rien pendant près de 20 minutes puisque la fille est seule sur son bateau et enfin la lumière arrive ! Le jeune clandestin monte à bord et on se retrouve happé par l'histoire et on se dit que ça valait le coup de tenir car franchement c'est prenant, frustrant et émouvant et on se rend malade pour le jeune africain qui veut sauver sa soeur du naufrage ! Mais soudain le rythme change à nouveau et tout redevient bizarre & la fin laisse perplexe et on a l'impression qu'on s'est foutu de nous !! Vraiment dommage car le thème était excellent et la demie heure du milieu était vraiment au top !
    Padami N.
    Padami N.

    59 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2019
    film Minimaliste qui parle d'un sujet d'actualité , les migrants " réfugiés" ,.le cas de conscience et état des lieux... sont bien décrit, amenés.. l'actrice est bluffante,.ce film porte a réflexion.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Wolfgang Fischer fait preuve d’une grande intelligence pour réaliser son film Styx, dans lequel il mêle réalité et fiction à la manière d’un très beau documentaire, sans jamais en être un. Interroger les consciences individuelles sur un sujet aussi important que l’exil est parfois difficile, mais il parvient à maîtriser son propos malgré quelques failles de réalisation.

    Gwennaëlle Masle
    Chris CD
    Chris CD

    8 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2018
    Film poignant, techniquement très bien fait et surtout 2 personnages très forts. Ce film parle de devoir, d’empathie, d’humanité. Le personnage principal est une femme, médecin urgentiste allemande, qui fait une croisière en solitaire sur un voilier pendant ses vacances. Elle va être malgré elle confronté à l’indifférence et l’incapacité du monde à faire face à la crise migratoire. Peu de dialogue mais ça n’est pas nécessaire, on ressent ce que le personnage ressent, on se pose les mêmes questions, on a les mêmes peurs… À voir absolument !
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