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    Cold War
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    3,9
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    205 critiques spectateurs

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    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    141 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    Je ne vais pas y aller par quatre traversées de frontières, «Cold War » est un chef d’œuvre.
    Une fois de plus, Pawel Pawlikowski nous livre - avec une maestria qui lui est propre – un film en format 4/3 au noir et blanc qui explore toutes les nuances de gris possibles : de la plus claire à la plus profonde en jouant sur les contrastes marqués mais aussi une luminosité diaphane.
    Chaque cadrage est soigné au plus haut point, qu’il soit fixe ou en traveling, rien n’est laissé au hasard, preuve en est l’utilisation des miroirs où bien souvent, le plus important se situe dans la réflexion.
    D’emblée, nous avons le sentiment de regarder un grand et beau film classique, épuré et minimaliste, des années 50. Ça n’est d’ailleurs pas la minutieuse reconstitution historique qui contredira le propos. Le prix de la Mise en Scène à Cannes est amplement justifié, un tel niveau est à la fois rare et d’autant plus savoureux.
    Si le visuel est sans reproche, fort heureusement, le jeu d’acteurs l’est aussi.
    Que ça soit Joanna Kulig en femme fatale, capable de vous embraser à la folie comme dans un sauna surchauffé puis de vous refroidir tel un bain dans un lac gelé, ou bien le dandy nonchalant et patient incarné par Tomasz Kot, en passant par les seconds rôles tous parfaits, le casting ne souffre d’aucun reproche et aurait même mérité des prix d’interprétation.
    Le cœur du film (c’est le cas de le dire) se cristallise autour de la relation houleuse entre Zula et Wiktor (inspiré par les parents du réalisateur), durant la guerre froide.
    L’oppositions des caractères qui les mènent dans des pays différents (lui en exil, elle en tournée avec l’ensemble folklorique Mazowsze qui utilise l’art comme outil de propagande) permet de brosser rapidement les horreurs du communisme qui semblent bien loin du Paris bohème des années 50.
    Si le film parvient à faire de nombreuses ellipses sans jamais faillir à la partition, c’est certainement parce que la musique est un élément majeur qui est omniprésent tout au long du film. Les chassés-croisés des deux côtés du rideau de fer se font sur fond de Jazz (musique alors interdite à l’Est) et de chants traditionnels déjà datés. Cette division musicale et d’autant plus touchante quand le couple se retrouve à Paris et compose un morceau de musique mélancolique empreint de culpabilité. Sentiments qui uniront et diviseront un couple dont la pureté et l’intensité des émotions est en parfaite opposition au système Polonais qui tente de broyer tout émoi.
    Une histoire d’amour à la fois atypique et commune, portée par un élan salvateur et destructeur, qui évite des poncifs du genre et qui offre une note finale absolument magnifique.
    Arnaud R
    Arnaud R

    85 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2018
    Un film à la beauté plastique saisissante et à l'histoire d'amour déchirante mais qui s'enferme un peu dans une austérité qui rend difficile l'implication émotionnelle.
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 octobre 2018
    S’il nous parle des années de plomb, Pawel Pawlikowski en fait surtout un décor, une toile de fond sur laquelle se pose l’histoire émouvante et romantique de deux êtres qui pensaient pouvoir s’aimer dans la patrie de Victor Hugo. Zula et Wiktor se sont unis secrètement derrière le rideau de fer, à l’abris des interdictions avant de franchir l’impossible et de se retrouver pleinement libre et malgré tout contraints par une culture à laquelle Zula n’arrive pas à s’adapter. C’est le déracinement plus que le désamour que filme dans un noir et blanc à l’esthétique irréprochable un cinéaste peu enclin à reprendre l’Histoire là où le mur s’est arrêté. Un choix narratif qui édulcore un brin la puissance de sa mise en scène. L’interprétation de Joanna Kulig et Tomasz Kot est sans reproche. Ils nous évitent le mélodrame. Le pathétique.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    cinéman
    cinéman

    21 abonnés 736 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2021
    Prétentieux, et ça se sent dans chaque plan... Minimaliste à tous niveaux (dialogues, décors, psychologie, histoire...) et se prend pour un grand film ! Comme si mettre en avant une couple en noir et blanc durant la guerre froide suffisait à en faire un grand film. De plus les deux protagonistes se vouent une passion inexplicable car ils n'ont pas du tout l'air de se connaître, et même les spectateurs n'ont pas l'impression de les connaître, sur 10 ans pourtant... ou 1h24 (c'est tellement lent et ennuyeux que ça en paraît le double!).
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2018
    Je sors partagé du visionnage de « Cold war », à la fois émerveillé par sa beauté visuelle mais également déçu par son scénario qui m’a personnellement laissé en dehors. Ainsi, ce qui frappe en premier lorsque l’on voit ce film c’est la pureté incroyable de ce noir et blanc, la photographie est une merveille et contribue à créer des cadres visuellement époustouflants. Pawel Pawlikowski mérite amplement son prix de la mise en scène au dernier festival de Cannes tant sa réalisation est impeccable de maîtrise. Mais, je n’ai malheureusement pas réussi à m’attacher à ses deux amants dont l’histoire ne m’a pas touché. Le cinéaste polonais entoure le couple d’une aura faussement romantique qui voile à peine le manque d’attachement qu’il porte à ses personnages. Il ne les aime visiblement pas et cela ne me donne pas envie moi-même de les aimer si bien que je suis resté imperméable à cette intrigue sans véritable enjeu auquel j’aurai pu me raccrocher. C’est surement une appréciation très personnelle mais je n’ai ainsi pas pu apprécier « Cold war » autant que je l’aurai voulu malgré ses qualités évidentes qui suffisent à en faire une belle oeuvre de cinéma.
    AZZZO
    AZZZO

    267 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2018
    Superbe film où l'on se laisse prendre dès les premières secondes par la poésie des images et la beauté des musiques. Derrière une esthétique léchée et de superbes plans en noir et blanc, Pawel Pawlikowski déroule une intrigue pleine de finesse sur une histoire d'amour compliquée dans un contexte de guerre froide. Le film, tout en nuances, parvient à éviter le manichéisme tout en montrant la pression du régime sur la vie des artistes. Une belle histoire.
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2018
    Peu de temps avant les années 50 en Pologne. Wiktor musicien, recrute Zula une chanteuse, pour créer un groupe promouvant les musiques et danses folkloriques de Pologne.

    Ils vont s’aimer. Suivent alors plusieurs épisodes dispersés dans le temps dans l’ordre chronologique jusqu’en 1964. L’histoire d’amour évolue, les amants ne sont jamais en phase, c’est « je t’aime, moi non plus », entre la Pologne, Berlin, Paris et de nouveau la Pologne. Ils semblent, davantage qu’une force extérieure, politique ou autre, être responsables des ces rendez-vous manqués.

    L’image est en format carré, dans un élégant noir et blanc, parfois assez jazzy, toujours très soigné.

    Je trouve qu’il manque quelque chose. Je n’ai pas saisi la quintessence de cette histoire d’amour, le fil de cette relation, ce qui en fait une telle passion. Le jeu est assez froid et distant, on sait qu’ils sont amants, mais on ne comprend pas trop pourquoi.

    C’est dommage, parce que ce détail m’a rendue assez indifférente à leur histoire, malgré la très grande qualité de réalisation.

    J’ai préféré « Ida », beaucoup plus fort. Dans « Ida », les ellipses et les silences rendaient l’indicible et la violence perceptibles. Dans « Cold War », j’aurais aimé les silences plus éloquents.

    mon blog : larroseurarrose.com
    paulo l
    paulo l

    18 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2019
    Je ne l’avais pas vu et je viens enfin de le voir. « Cold War » de Paweł Pawlikowski. Quelle déception! Formaliste à l’extrême, dénué d’émotion, ce film encensé par la critique m’a laissé froid comme l’hiver. J’ai attendu vainement que ça prenne, mais désolé, d’un bout à l’autre les personnages restent creux et le scénario est d’une platitude inouïe. Il n’y a guère que la photographie qui trouve grâce à mes yeux, mais malheuresement cela ne suffit pas à donner de la chair et de la substance à une histoire d’amour totalement artificielle.
    Le 4ème homme
    Le 4ème homme

    10 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2018
    Film absolument magnifique et rare de nos jours.
    La beauté visuelle est fabuleuse, ce noir est blanc transcende l’image. L’esthétique de la photo est vertigineuse.
    Belle histoire d’amour.
    Je ne mets que 4* car je n’adore pas l’acteur qui est peut-être le bémol de ce film, mais je recommande tout de même de toute urgence ce film !!!!
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    12 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    Ambiance bien rendue de ces années de plomb avec les "camarades" soviétiques, mais la trame du film est surtout une longue histoire d'amour, en fait, selon les goûts, parfois plutôt laborieuse, voire convenue. Il reste de belles prises de vue, et une façon tout à fait brillante de restituer des atmosphères.
    Edouard64
    Edouard64

    7 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    Une romance dans la Pologne des années rouges ? Bien sûr, on trouvera cela dans Cold War. Mais on y trouve surtout une interrogation sur la liberté: celle dont un artiste a besoin pour travailler, mais aussi la liberté d'aimer, même si dans cet amour la raison doit céder la chair, les contraintes sociales à l’absolu du désir. Ces deux thèmes, la liberté et l'amour fou, que notre époque a érigé à peu près au même moment en mythe, Pawlikovsky invite donc à les questionner, et c’est sans doute pourquoi ce film magnifique et souvent apprécié a aussi déçu.
    A lire les critiques, rares sont ceux qui ont été insensibles à la beauté de la première partie du film, à ces spectacles du chœur populaire dirigé par Viktor, si réussis qu’il aura le privilège, moyennant l’introduction de quelques hymnes à Staline et à la paix, de représenter la Pologne dans tous les pays « frères ». La proposition, et ce qu'elle recèle de servilité, a fortement heurté Viktor. Son visage se crispe mais il acquiesce. Le pouvoir ne tient pas compte de la crispation soudaine de ceux qui ont compris qu’ils ne pourraient sauver leur liberté intérieure, et devraient volens nolens prêter la main à l’abjection. « Crispez-vous, semble dire un ministre, pourvu que vous vous couchiez, et que le spectacle soit beau, et que nul ne puisse rien savoir du reste. »
    D'ailleurs, à un musicien aussi talentueux que Viktor, le régime propose, à côté de l’humiliation permanente, une façon assez simple de s’y soustraire : en ce début des années Cinquante, une fois arrivé à Berlin, il n’est pas difficile, à en croire Pawlikovsky, même avec une grosse valise, de passer à l’Ouest, et de goûter à la liberté. Être libre ? Mais encore ? C’est là que le film déploie ses lancinantes interrogations, et qu’on peut ou non le suivre. Car si la main de fer du régime continue de s'appesantir, conformément à nos attentes, l'illusion de la liberté se dissipe et il ne reste que deux êtres fragiles et perdus bientôt devant l'immensité du désastre.
    Caine78
    Caine78

    6 005 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2019
    J'avais relativement apprécié « Ida » du même Pawel Pawlikowski, tout en m'étant (quand même) légèrement ennuyé. Du coup, j'étais assez tenté par « Cold War », tout en ayant cette inquiétude... pas forcément justifiée. Vous écrire que je me suis passionné pour cette histoire pendant presque 90 minutes serait clairement exagéré. Mais j'ai vu du cinéma. Noir et blanc magnifique, belle histoire d'amour, regard subtil et complexe, duo d'acteurs excellent (notamment la vibrante Joanna Kulig)... Sans avoir des centaines de choses à écrire, j'ai apprécié le moment. Surtout, la musique est admirable, tout comme la manière dont est filmée les scènes de concerts : à vous donner parfois des frissons, à l'image d'un remarquable travail sonore. Alors je ne nie pas : par moments j'ai pu légèrement décrocher, certaines transitions entre les différentes années ne m'ayant notamment pas toujours paru évidentes. Ces quelques ellipses un peu « violentes » exceptées, voici une œuvre résolument personnelle, formellement saisissante et finalement plutôt intéressante à suivre, aussi bien par ses personnages que le contexte historico-politique l'accompagnant. J'ai aimé.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 803 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2019
    Je suis peut-être un peu déçu par ce film, j'en avais entendu tellement de bien, mais c'est vrai qu'il regorge de qualités. La première étant tout simplement la narration, le fait d'éclater la narration sur plusieurs années, de se concentrer sur l'histoire d'amour et d'avoir en toile de fond cette guerre froide, cette volonté d'appropriation des cultures populaires par le régime. Mais surtout le film ne dit pas tout, il ne montre pas tout. Beaucoup de choses sont passées sous silence, ce qui fait cogiter un peu le spectateur pour recoller les morceaux de cette histoire. Alors oui, c'est assez explicite malgré tout, mais disons que ça change de ne pas être pris par la main.

    Par contre cette histoire d'amour ne m'a pas touché... C'est superbement filmé, mais j'ai l'impression qu'il y avait matière à faire un film beaucoup plus long et là ça dure même pas une heure trente et tout va trop vite. Le réalisateur a enlevé tout le superflus, voire même un peu trop. Disons que je n'ai pas ressenti d'émotions. Dommage... alors qu'il y avait moyen vu l'histoire.

    Néanmoins la musique est juste sublime, les chants folkloriques polonais sont géniaux et ouvrir le film par ça permet d'enchanter littéralement le spectateur. C'est juste beau. En plus la sobriété de la mise en scène permet vraiment de s'imprégner de l'ambiance.

    Disons que le plan d'intro sur les deux qui jouent d’instruments à vent bizarre m'a plus marqué que toute l'histoire d'amour. C'est vraiment un très bel hommage à cette musique, à cette culture.
    joselefer
    joselefer

    1 abonné 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    C est beau, vraiment très beau. Le début formidable mais après on voit venir et on ne se trompe pas. Je suis resté un peu sur le bord de la route. Ida m avait bien secoué, Zula, très sexy, moins.
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2022
    Après le très grand succès de « Ida », Pawel Pawlikowski surfe sur une lancée très poétique et parvient de nouveau à nous émouvoir sur un nouveau front. Le conflit sentimental est pour beaucoup quelque chose de banaliser, notamment lorsqu’on en parle. Mais lorsqu’on le vit, il s’agit d’une toute autre histoire qu’il convient de resituer dans son contexte. Les bras de la passion s’accrochent au cou d’un amant, comme des menottes ligoteraient les mains d’un artiste. On y voir du noir et du blanc dans cette escapade amoureuse et pas seulement dans l’esthétique d’une œuvre qui en dit long sur l’impact du Rideau de Fer. Le contraste entre l’Est et l’Ouest est exploité à souhait, mettant en scène des individus qui ne cesseront de se chercher, jusqu’à ce qu’un couple réussisse là où les précédentes aventures ont échoué.

    Et c’est en découvrant une Pologne d’après-guerre qu’on ouvre ce récit qui évoque avant tout la nostalgie et les souvenirs froids. Le drame traverse ces terres et y est resté gravé dans le cœur d’habitants qui cherchent dorénavant à s’épanouir dans une nouvelle ère, une nouvelle vie. Le folklorique s’empare alors rapidement de l’intrigue comme le tremplin qui aligne les personnages dans une danse sensorielle, tout en distinguant le patriotisme, vu comme les principales causes de ruptures dans un monde qui ne demande plus qu’à s’aimer. Zula (Joanna Kulig), au passé trouble, cherche continuellement à aller de l’avant et est prête à tout afin de changer sa condition de paysanne sans intérêt. Et sans pour autant chercher le succès, elle finir par s’ancrer dans un esprit de suffisance qui ne la saisit que dans des instants éphémères, comme si le mal-être la rattrapait dans sa quête d’évasion.

    On prend alors soin d’introduire le directeur musical, Wiktor (Tomasz Kot), qui lance ainsi la troupe folklorique Mazowsze. Fruit de sa Pologne natale, le réalisateur y trouve les cicatrices d’une société qui a souffert de la pression communiste. En observant avec attention, on se laisse entraîner dans cette poésie du peuple qui vient affirmer, avec dynamisme, sa liberté et son côté révolutionnaire. L’amour qui découle de ce constat montre bel et bien ce qu’il existe des difficultés dans ce concept encore abstrait, encore inaccessible pour Wiktor et Zula. Elle-même vit dans cette crainte perpétuelle des représailles. Elle trahit pour survivre. De l’autre côté du rideau, le musicien finit par se dépayser, dépassé par son exil et ce qu’il tente de fuir. Tout ceci est induit dans les diverses ellipses que l’on éparpille tout le long de l’intrigue. On en retient le jazz et les scènes intimes qui lient ces deux êtres exceptionnels, où la photographie noir et blanc cristallise leur passage à l’écran.

    Si le réalisateur s’est inspiré de ses parents comme squelette dramaturgique, il aura tout de même fait naître des instants magistraux dur les écrans. « Cold War » est pour lui une sorte d’hommage, dont la mise en scène perfectionne ses dires et son discours poétique, portée sur l’instabilité d’un couple et du changement de tempérament, suivant l’environnement qui l’entoure. Et le génie dans l’Histoire, parvient à transmettre un amas d’informations en l’instant d’une image ou d’une courte scène. La mise en scène en dit long et la récompense qui lui est due n’est pas déméritée. Nous avons à faire à un très grand cinéma, qui se veut subtil, sensoriel et universel.
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