Une suite qui dérange : le temps de l'action : Critique presse
Une suite qui dérange : le temps de l'action
Note moyenne
2,8
19 titres de presse
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
L'Express
L'Obs
La Croix
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Monde
Les Inrockuptibles
Paris Match
Première
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Positif
Studio Ciné Live
L'Humanité
Le Figaro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans ce documentaire édifiant, Al Gore raconte son combat depuis "Une vérité qui dérange", son réquisitoire contre le réchauffement climatique en 2006.
Le Parisien
par Catherine Balle
"Une suite qui dérange", document percutant poignant, donne envie de participer à la défense de l'environnement. Comme l'indique le sous-titre du film : "le Temps de l'action".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un sequel plus abouti, qui ne transige jamais sur l’importance politique et citoyenne dans la lutte contre le réchauffement climatique, tout en offrant à la pédagogie l’émotion qui manquait à la première mise en garde cinématographique d’Al Gore.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Maladroit dans sa démarche et pauvre en cinéma, "Une suite qui dérange" distille tout de même quelques idées intéressantes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Thierry Chèze
Un témoignage d'intérêt public.
L'Obs
par François Forestier
Hélas, le film a été réalisé avant la prise de pouvoir de Trump. Depuis, celui-ci a abandonné l'accord de Paris et a traité les lanceurs d'alerte de "fakes". Les prix du solaire baissent, ceux de l'éolien aussi, et que fait Trump ? Il fait le bouffon, voilà tout. Gore, lui, continue infatigablement à promouvoir son message.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Mais le film tourne au panégyrique d’Al Gore. La pédagogie est abandonnée au profit de sa glorification. Militant d’une cause juste, il finit par encombrer l’écran de son omniprésence. Le mode de narration horripilant, à coups de musiques assommantes et récit emphatique, finit par se retourner contre son objet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce combat, la lutte pour le développement des énergies renouvelables dont il détaille les progrès fulgurants, Al Gore les range au niveau des grands débats de société, ceux qui ont abouti à l’abolition de l’esclavage, à la fin de l’apartheid, au droit de vote des femmes. En ces temps de cyclones, raz-de-marée et tremblements de terre à répétition, ce documentaire tombe à pic !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Offrant un vague côté de campagne politique, le film met largement en valeur son interprète, mais, en même temps, il montre un homme à la hauteur du discours qu’il tient : fort et respectable.
Le Monde
par Murielle Joudet
Un nouveau documentaire revient sur l’action d’Al Gore avec enthousiasme.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un documentaire un peu rébarbatif mais au thème irréfutable, corroboré par une actualité qui donne raison à Gore : les tempêtes à répétition qui saccagent les régions tropicales et qui sont dues au réchauffement des océans.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Si le film est dans l'auto-promo de l'ancien vice-président américain et fait l'impasse sur le cap Trump, le récit des négociations de la COP21 est passionnant. Et après Houston et les ouragans Irma et Maria, le propos d'Al Gore devient presque prophétique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Sylvestre Picard
Dommage que le vrai climax du film - la rencontre entre Trump et Gore dans une Trump Tower surprotégée par des superflics - n'ait pas été filmée. Le Président écolo-sceptique ne voulait pas de caméras dans son bureau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Si ce nouveau documentaire suit, trop simplement, la logique d’une conférence, les informations glanées sont souvent passionnantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une décennie s’est écoulée depuis “Une vérité qui dérange” avec Al Gore. Ce nouveau documentaire fait le bilan de dix années de tentatives, de stagnation, d’avancées, mais néglige un peu trop la forme.
Positif
par Dominique Martinez
Dommage que le cinéma soit absent de ce film dont l'esthétique navigue entre le spot publicitaire et le reportage au long cours.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un film inégal, mais d'intérêt public.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Croisade restreinte et routinière dont on se demande si elle ne sert pas essentiellement à prolonger l’existence médiatique du politicien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
Le film s'attarde trop sur ses échecs personnels, l'histoire de sa famille, ses rencontres internationales ou ses cours pour créer des défenseurs du climat !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Dans ce documentaire édifiant, Al Gore raconte son combat depuis "Une vérité qui dérange", son réquisitoire contre le réchauffement climatique en 2006.
Le Parisien
"Une suite qui dérange", document percutant poignant, donne envie de participer à la défense de l'environnement. Comme l'indique le sous-titre du film : "le Temps de l'action".
aVoir-aLire.com
Un sequel plus abouti, qui ne transige jamais sur l’importance politique et citoyenne dans la lutte contre le réchauffement climatique, tout en offrant à la pédagogie l’émotion qui manquait à la première mise en garde cinématographique d’Al Gore.
CinemaTeaser
Maladroit dans sa démarche et pauvre en cinéma, "Une suite qui dérange" distille tout de même quelques idées intéressantes.
L'Express
Un témoignage d'intérêt public.
L'Obs
Hélas, le film a été réalisé avant la prise de pouvoir de Trump. Depuis, celui-ci a abandonné l'accord de Paris et a traité les lanceurs d'alerte de "fakes". Les prix du solaire baissent, ceux de l'éolien aussi, et que fait Trump ? Il fait le bouffon, voilà tout. Gore, lui, continue infatigablement à promouvoir son message.
La Croix
Mais le film tourne au panégyrique d’Al Gore. La pédagogie est abandonnée au profit de sa glorification. Militant d’une cause juste, il finit par encombrer l’écran de son omniprésence. Le mode de narration horripilant, à coups de musiques assommantes et récit emphatique, finit par se retourner contre son objet.
La Voix du Nord
Ce combat, la lutte pour le développement des énergies renouvelables dont il détaille les progrès fulgurants, Al Gore les range au niveau des grands débats de société, ceux qui ont abouti à l’abolition de l’esclavage, à la fin de l’apartheid, au droit de vote des femmes. En ces temps de cyclones, raz-de-marée et tremblements de terre à répétition, ce documentaire tombe à pic !
Le Dauphiné Libéré
Offrant un vague côté de campagne politique, le film met largement en valeur son interprète, mais, en même temps, il montre un homme à la hauteur du discours qu’il tient : fort et respectable.
Le Monde
Un nouveau documentaire revient sur l’action d’Al Gore avec enthousiasme.
Les Inrockuptibles
Un documentaire un peu rébarbatif mais au thème irréfutable, corroboré par une actualité qui donne raison à Gore : les tempêtes à répétition qui saccagent les régions tropicales et qui sont dues au réchauffement des océans.
Paris Match
Si le film est dans l'auto-promo de l'ancien vice-président américain et fait l'impasse sur le cap Trump, le récit des négociations de la COP21 est passionnant. Et après Houston et les ouragans Irma et Maria, le propos d'Al Gore devient presque prophétique.
Première
Dommage que le vrai climax du film - la rencontre entre Trump et Gore dans une Trump Tower surprotégée par des superflics - n'ait pas été filmée. Le Président écolo-sceptique ne voulait pas de caméras dans son bureau.
Télérama
Si ce nouveau documentaire suit, trop simplement, la logique d’une conférence, les informations glanées sont souvent passionnantes.
Les Fiches du Cinéma
Une décennie s’est écoulée depuis “Une vérité qui dérange” avec Al Gore. Ce nouveau documentaire fait le bilan de dix années de tentatives, de stagnation, d’avancées, mais néglige un peu trop la forme.
Positif
Dommage que le cinéma soit absent de ce film dont l'esthétique navigue entre le spot publicitaire et le reportage au long cours.
Studio Ciné Live
Un film inégal, mais d'intérêt public.
L'Humanité
Croisade restreinte et routinière dont on se demande si elle ne sert pas essentiellement à prolonger l’existence médiatique du politicien.
Le Figaro
Le film s'attarde trop sur ses échecs personnels, l'histoire de sa famille, ses rencontres internationales ou ses cours pour créer des défenseurs du climat !