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    Cornélius, le meunier hurlant
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    35 critiques spectateurs

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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 148 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mai 2018
    Oh le très bel OVNI que ça aurait pu être ce Cornelius ! Une intro superbe d’un point de vue formel ; une intrigue qui avait l’air d’être gentiment foutraque, et une chanson sortie de nulle part interprétée par – excusez du peu – Iggy Pop ! En tout cas, moi, sur les dix premières minutes, j’étais totalement dedans. Le décor et les personnages regorgeaient d’idées. L’intrigue totalement fofolle ouvrait à beaucoup de possibilité. Et l’ami Yann Le Quellec avait l’air de savoir ce qu’il faisait… Et puis finalement non. Très rapidement, le film révèle sa grande faiblesse : il n’a clairement pas l’épaisseur nécessaire pour être un long-métrage. Rapidement les scènes se multiplient pour répéter la même chose. Ça n’avance pas. L’ennui s’installe. Et tout cela sur… deux heures. Et ça c’est l’erreur fatale : deux heures c’était clairement trop. Pour un court-métrage d’une petite demi-heure, ça aurait été nickel. Tout le paradoxe veut même que la bande-annonce est un bien meilleur film que le long-métrage en lui-même… Alors du cou, c’est sûr, j’ai quand même été sacrément très sympa en mettant « deux étoiles » à ce « Cornelius » parce qu’en général, chez moi, quand l’ennui, c’est fatal. Mais bon, malgré mes quelques moments de sommeil et mes longs moments d’ennui, j’avoue que j’ai quand même voulu rester jusqu’au bout. J’étais trop curieux de voir si la réalisation allait nous offrir d’autres saillies artistiques surprenantes. Alors c’est vrai, au final ce ne fut pas trop le cas. Mais bon quand même. Ne serait-ce que pour l’audace qu’il a offert, et les quelques bons souvenirs que j’en garderai, je lui accorde l’indulgence à ce « Meunier hurlant »… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mai 2018
    Le roman dont ce film est l'adaptation est mon préféré de Paasilinna. Aussi étais-je sceptique, en particulier après avoir vu la bande annonce.
    Alors oui, ce qui est impossible est impossible. Il est impossible de rendre à l'écran le style écrit de Paasilinna, il est impossible de respecter le scénario à 100%.
    Mais il n'empêche que j'ai trouvé qu'il s'agissait d'une magnifique adaptation. Non seulement l'esprit et le message du roman sont totalement respectés, mais il y a une touche originale en plus, au niveau du contexte (géographique, culturel), de l'humour, du visuel, de certaines scènes rajoutées.
    J'ai passé une excellente séance, je tire mon chapeau.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2018
    Wahou, ce film vaut vraiment le détour, quelle audace ! C'est surprenant, c'est fou. Sous des allures modeste, il a dû représenter un boulot monstrueux. Tout est précis : les costumes, les décors, le travail des textes. Le moulin est incroyable, le bâtiment de spoiler: l'asile psychiatre
    semble sorti de nulle part et ces décors de montagnes sont à tomber par terre. C'est spectaculaire dans tous les sens du terme; le spectacle vivant est omniprésent dans cette proposition. Les lieux deviennent des scènes où dansent des groupes, où se croisent des personnages au seuil d'une porte qui tient toute seule et les bâtiments, dans lesquels on peut rentrer de tous les côtés deviennent des agrès de cirque. Les comédiens surjouent, comme au théâtre et sont volontairement caricaturaux : il y a les policiers shérifs un peu bêbêtes, le maire sans autorité, l'épouse rondelette, la jeune fille parfaite, et mamie qui tricote, qui tricote, qui tricote. Ce village à tout de ceux que l'on décrit dans les contes pour enfants. Ce film est d'une richesse absolue, aussi bien pour les messages qu'il contient que pour le soin apporté aux détails ( la tête de de la peau d'ours, la doublure de la cape rouge, l'huile de palme, les plantes de patience, la plante seule...). Bref, c'est une réalisation pleine de malice, avec une histoire qui nous embarque grâce à une grande maîtrise visuelle et sonore !
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2018
    Place à l’imagination sans limite, place à la fantaisie la plus débridée ! En allant chercher son inspiration chez le romancier Arto Paasilinna, Yann Le Quellec a pu laisser s’exprimer à volonté ses penchants pour l’excentricité, l’écrivain finlandais étant réputé pour ses récits tissés d’extravagance.
    Voici donc l’histoire étrange de Cornélius (Bonaventure Gacon), un garçon costaud sortant de nulle part, enfin pas tout à fait de nulle part, d’une plage d’où il surgit à la manière d’un crabe ou d’une tortue, et, après des errances, parvenant à un éperon rocheux qui lui semble un lieu idéal pour y implanter un moulin. Ah ! Mais c’est qu’il va falloir compter avec le village qui se trouve juste en dessous ! Qu’à cela ne tienne ! Les habitants sont braves, ils l’accueillent comme un messie, et le maire Cardamome (Gustave Kervern) ne se fait pas prier pour lui céder le terrain. Un meunier au village ! Quelle aubaine ! Carmen (Anaïs Demoustier), la jolie fille du maire, quant à elle, ne tarde pas à être séduite : ni les manières du garçon ni sa longue barbe ne la rebutent, au contraire !
    Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes… Non, pas vraiment, car, rapidement, se font entendre la nuit des hurlements qu’on attribue d’abord à des loups errants avant de se rendre à l’évidence. Ce ne sont pas des canidés qui hurlent, mais le meunier en personne, empêchant les braves gens de dormir. Il n’en faut pas davantage pour que les regards et pour que la bienveillance laissent place à l’hostilité, voire à l’agressivité. Seule Carmen, plus enamourée que jamais, ne cède pas au trouble. Mais pourquoi le meunier crie-t-il ainsi et que peut-il devenir face à la méfiance, à la fatigue et à l’animosité de tout un village ?
    Même si l’on peut relever l’une ou l’autre scène un peu plus faible, un peu moins inspirée que les autres, le film de Yann Le Quellec ne manque pas de qualités. La réalisation multiplie les scènes fantasques et drôles, comme il se doit pour un film de ce genre. Les acteurs et actrices conviennent plutôt bien au ton le plus souvent burlesque de l’histoire. Quant à celle-ci, malgré les apparences, elle ne repose pas uniquement sur de la simple divagation. L’air de rien, l’aventure et les personnages loufoques invitent à une réflexion sur la raison et la déraison, la sagesse et la folie. Qu’est-ce que la folie ? Qui considère-t-on comme fou ? Le meunier, parce qu’il hurle chaque nuit ? spoiler: Le film suggère que la folie n’est pas réservée à quelques-uns, qu’elle est présente en chacun. N’y a-t-il pas, à des degrés divers, des grains de folie présents en chaque être humain ? En fin de compte, ceux qu’on considère comme fous ne sont peut-être que ceux qui ne savent pas dissimuler leur grain de folie ou dont le grain a tant grossi qu’ils ne peuvent plus le garder au fond d’eux. Les braves gens, les gens sensés, les gens qui se croient normaux (comme si cela avait une signification !) ne supportent pas de voir (ni d’entendre) leur propre folie extériorisée chez autrui. La folie, il faut la masquer, sans quoi on risque de vous enfermer à l’asile
    ! Comme on le constate, avec sa fable d’allure extravagante, Yann Le Quellec nous interroge tous et toutes sur notre rapport à la folie, la nôtre et celle des autres !
    selenie
    selenie

    5 439 abonnés 6 017 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2018
    Voilà un premier long métrage audacieux, un OFNI (Objet Filmé Non Identifié) qui sera pour les uns savoureux pour les autres trop confidentiel. Pour commencer notons la chanson du film qui est interprété par un certain Iggy Pop ! Si on est sous le charme la plupart du temps, avec un univers franchement original et burlesque on est tout aussi désarçonné par ce patchwork surprenant. On mettra un bémol sur le jeu trop théâtral de l'ensemble, trop de dialogues qui sentent la simple récitation. Une expérience enrichissante, une gourmandise à la recette sans doute maladroite mais qui vaut le détour. A conseiller.
    Site : Selenie
    traversay1
    traversay1

    3 097 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2018
    Cela fait longtemps maintenant que l'on connait la production romanesque du talentueux et loufoque écrivain finlandais Arto Paasilinna. Un auteur difficile à adapter car ses livres regorgent d'événements invraisemblables contés avec un ton inimitable difficilement transposable au cinéma. Yann Le Quellec s'y attelle dans son premier long-métrage Cornélius, le meunier hurlant et sa principale réussite est d'avoir su créer un climat très personnel à la fois éloigné et proche du romancier. Son film adopte certains codes du western tout un créant un environnement singulier et intemporel qui colle assez bien avec la volonté de réaliser un conte humaniste en faisant fi de tout réalisme. Cela se concrétise dans le choix des costumes et des décors qui ne se rattachent pas à une temporalité définissable. Il y a beaucoup de fantaisie dans cette fable sur la différence où le meunier du village, un étranger suspect, passe ses nuits à hurler au grand dam de la communauté. Son moulin va trop vite, comme dans la chanson, et l'ostracisme ne tard pas à se manifester. Venu du monde du cirque, l'acteur principal fait admirer son élasticité dans des gags très burlesques mais son jeu est plutôt limité, surtout confronté à celui d'Anaïs Demoustier, toujours irréprochable. Narrativement parlant, Cornélius, le meunier hurlant est laborieux et inégal, s'affirmant surtout par des saynètes plus ou moins drolatiques. De belles images mais un manque de liant et de conviction certain.
    mat niro
    mat niro

    295 abonnés 1 721 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2018
    Voila une comédie complétement loufoque réalisée par Yann Le Quellec. Cornélius, meunier au sommet du village, ne peut s'empêcher de pousser des hurlements chaque nuit. C'est un film burlesque, drôle et parfois assez déroutant également. Bonaventure Gacon, qui, à part ses cris n'est pas trop loquace, préférant le langage du corps pour transmettre ses émotions est assez juste. Par contre le rythme de la deuxième partie du film a parfois tendance à retomber. Une oeuvre atypique mais pas dénuée d'un coté poétique et envoûtant.
    Daeriss W.
    Daeriss W.

    14 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2019
    En visionnant ce film, j'ai eu le sentiment de voir en image l'illustration du sketch de Fernand Raynaud.. Mais une fois que Cornelius quitte le village, chassé par ceux qui l'avait accueilli avant d'être occis, les villageois, se demandent qui va moudre leur grain. Sur ce scénario, se greffe une histoire d'amour avec Camen. Limaginaire de Paasilinna m'a alors transporté dans une version farfelue de Carmen et son toréador. Même si ce film n'est pas un chef d'oeuvre cela reste plaisant à regarder
    fasskinder
    fasskinder

    25 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mai 2018
    un téléfilm grotesque, sans aucun intérêt... ça passe comme roman mais en images c'est une catastrophe qui se déroule sous nos yeux... un jeu théâtral, des images d’Épinal, une façon de penser le cinéma assez rétrograde et archaïque
    coperhead
    coperhead

    19 abonnés 472 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Une histoire qui est plutôt un conte avec ce meunier atypique qui s installé au bout du monde et qui va se mettre a dos tout le petit village d'en bas a cause de ses hurlements la nuit. Le film est loufoque et burlesque et présente des moments très intéressants comme cette danse choregraphiee avec des végétaux .Mais les scènes d'excitation de Bonaventure Gacon sont trop fréquentes et répétitives et finissent par lasser .On avait compris qu'il avait besoin d'hurler pour faire sortir une énergie débordante.Les paysages choisies comme le cirque du Larzac sont magnifiques.
    FaRem
    FaRem

    7 410 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2018
    Un film original qui m'a néanmoins laissé sur ma faim. Avec cette adaptation du roman de l'écrivain finlandais Arto Paasilinna, Yann Le Quellec propose une fable fantasque et burlesque qui est aussi étrange qu'originale. Le début est très intrigant avec meunier réservé qui s'installe en haut d'une colline située près d'un village et qui une fois la nuit tombée est pris d'une crise violente qui l'oblige à crier ou plutôt hurler pour faire partir ce mal. Une habitude qui va vite lasser les habitants et créer des problèmes. J'ai vraiment apprécié cette première partie non conventionnelle avec ces personnages atypiques et cette histoire intrigante seulement pour ce qui est la suite, on dirait qu'il n'y avait plus d'idées... Par exemple, la scène où Cornelius se met à crier devient un running gag redondant qui n'amène à rien. On n'en apprend pas plus sur lui et c'est bien dommage. L'histoire se focalise simplement sur une romance très commune qui ne fonctionne pas vraiment malgré la belle performance d'Anaïs Demoustier et de Bonaventure Gacon. C'est vraiment un film frustrant qui aurait pu être un très bel OFNI. A la place, on assiste à un film bien fou, original et dynamique qui se laisse regarder sans problème, mais qui ne tient pas la distance à cause d'un manque de consistance au niveau du scénario.
    lionelb30
    lionelb30

    385 abonnés 2 496 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Le genre de film frustrant. Non conventionnel , acteurs atypique , un debut de film tres intrigant mais malheureusement cela ne dure pas longtemps avec une histoire qui s'etiole au fil des minutes jusqu'à une fin sans interet. Vraiment enervant et sentiment de gachis.
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2018
    J’attendais mieux du premier film de Yann Le Quellec ; c’est un conte moral avec de très belles images des acteurs sympathiques mais ça manque de contenu de vraie folie . Il y a quelques jolies idées mais rien qui justifie un film d’1h45. Espérons que le prochain essai sera plus consistant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 283 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2018
    Un meunier venu de nulle part s'installe près d'un petit village coupé du monde. Il y construit un moulin, y fabrique la meilleure des farines. Il n'a qu'un seul défaut : la nuit tombée, il hurle à la mort, empêchant les villageois de trouver le sommeil.

    On attendait avec gourmandise le premier long de Yann Le Quellec qui avait sorti en 2012 deux moyens métrages enthousiasmants : "Je sens le beat qui monte en moi" et "La Quepa sur la Vilni". On l'attendait d'autant plus qu'il adaptait un roman du loufoque auteur finlandais Arto Paasilinna qui, depuis qu'il a été tardivement traduit en français ("Le Lièvre de Vatanen" écrit en 1975 n'est traduit qu'en 1989) s'est acquis dans l'hexagone un public fidèle.

    On est bien déçu par le résultat qui ne fonctionne pas.
    Pourtant ce western poétique, cette comédie grave, cet hymne à la différence avait de quoi séduire. Comme dans "Je sens le beat...", Yann Le Quéllec filme des corps : celui massif et gigantesque de Cornélius Bloom interprété par Bonaventure Gacon (des faux airs de Depardieu jeune), celui gracile et séduisant de Carmen Cardamome, la fille du maire interprétée avec toujours autant de fraîcheur par Anaïs Demoustier. Il a même demandé à Maguy Marin de les chorégraphier dans des séquences aussi belles qu'enlevées.

    Sa fable gentiment absurde se laisse voir sans déplaisir. On se laisse conquérir par l'ambiance bon enfant de ce village d'opérette ; on est impressionné par les paysages sauvages des Cévennes et par ce moulin steampunk construit à partir de rien ; on est attendri par la folie douce de Cornélius et par l'amour naïf qui l'unit à Carmen. Mais, ce sympathique bric-à-brac, aussi pétri soit-il de bonnes intentions et de bonnes idées, ne suffit pas à faire un film avec un sujet et un point de vue.

    Le public ne s'y est pas trompé qui a boudé la sortie de "Cornélius...", quasiment sorti des écrans au bout de quelques semaines.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 172 abonnés 3 973 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juin 2018
    Quel étrange ovni que ce conte maladroitement excentrique. Dans une période et un lieu indéterminé, un homme sort du sable, tel un crabe sur la plage, pour construire un moulin dans un village qui n’a plus de pain. Chacun l’accueille à bras ouverts à sa façon. Mais lorsque les villageois découvrent que cet homme appelé Cornélius, hurle la nuit, l’envie de l’expulser est grandissante. Seule la jolie fermière, Anaïs Demoustier, s’éprend réellement de lui, malgré sa différence. Filmé dans le Larzac, à Salses et au-dessus de l’Alpe d’Huez, il y a au moins les décors qui mettront tout le monde d’accord, ils sont sublimes. Quant à l’histoire, celle-ci déroute et part dans des fantasmes qui ne cessent de changer de ton. Comédie, satire sociale, fantastique, western ou comédie musicale, il est difficile de classer ce « Cornélius, le Meunier Hurlant » tellement ils empruntent de multiples genres. Quoi qu’il en soit, on entre ou on entre pas dans cet univers et c’est à chacun d’oser franchir le pas.
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