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    Les Plus belles années de notre vie
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    Youplaboum
    Youplaboum

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    Film surprenant pour cette époque (1946). Sans complaisance, dur, émouvant et parfois drôle, au sujet du retour difficile à la maison de 3 membres de l'armée américaine. Des acteurs, actrices crédibles, peu ou pas connus (enfin pour moi) qui ont su capter mon attention tout au long de ce film, malgré sa durée ( 2h52).
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 384 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2022
    Souvent considéré comme le sommet de la filmographie de Wyler, ( il obtint 9 oscars ), " les plus belles années..." se propose de brosser le portrait de trois militaires qui à la fin de la guerre doivent se réinsérer à la vie civile.

    Référence majeure de l'âge d'or du cinéma hollywoodien des années 40 on retrouvera au milieu d'une distribution de premier ordre Myrna Loy, actrice phare des années 30 ( incarnation subtile de la maîtresse de maison à la beauté extrême mais qui ne verse jamais dans l'incandescence) et Dana Andrews dans un de ses grands rôles.

    On notera que la sexy Virginia Mayo, joue ici la femme fatale, un peu trop vénale, qui trahit ; sorte de personnage fil rouge qu'on retrouve dans beaucoup d'opus de Wyler.

    Le cinéaste, spécialiste du huis clos, des scènes étirées en intérieur qui permettent une description approfondie des caractères des personnages réalise le film de manière contemporaine avec sa réalité historique (1946).

    On sait que pendant la guerre Wyler participa aux prises de vue de films documentaires tournées à bord de forteresses volantes, réellement engagées dans les combats et le personnage incarné par Andrews est sans doute un hommage au vécu du realisateur.

    Wyler est le cinéaste le plus titré de la cérémonie des oscars et obtiendra le grand prix à Cannes ( future palme d'or) avec " la loi du seigneur ".

    Par contre, il est beaucoup moins coté dans l'hexagone, ou on le considère souvent comme un cinéaste académique ( nuance un peu péjorative qu'on attribue à certains classiques dont on souhaite minorer l'oeuvre artistique) ce qui est sans doute largement immérité comme le montre la qualité de " les plus belles années de notre vie"
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 720 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2022
    Illustrant avec pertinence et pudeur les difficultés du retour à la vie civile pour les récents démobilisés ce drame sentimental laisse au spectateur le soin de critiquer les réactions sociétales et humaines face à ces héros de guerre renvoyés à de triviales considérations économiques ou sociales. Sans manichéisme ni pathos la mise en scène fort bien maîtrisée distille une jolie émotion latente, entre tendresse, raillerie et analyse psychologique. Intelligemment touchant.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Trois G.I. américains rentrent à la maison au terme de la seconde guerre mondiale. Loin des leurs depuis des années, ces trois militaires au profil très différents reviennent changés en profondeur ; leur entourage aussi a évolué en leur absence. Le retour des combattants va s’avérer compliqué ; leur réadaptation à la vie civile aussi, surtout que peu de chose ont été prévues pour le retour des héros par la Nation.
    La plus grande force de ce film, et les américains sont forts pour cela, est de traiter un sujet chaud brulant ; on est en 1946 et les GI viennent juste de rentrer. On est bien en 1946, et c’est aussi le reproche que l’on peut faire au film ; c’est un mélodrame. Pourquoi pas ? Mais plus on avance, plus on s’éloigne d’un sujet central intéressant ; ce dernier ne devenant au final qu’un prétexte pour dérouler un mélodrame assez convenu.
    Donc sur le sujet du difficile retour des militaires, le cinéma a livré des films bien plus forts et profonds. Un vieux film à voir sans déplaisir.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    Xavier D
    Xavier D

    47 abonnés 1 045 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2022
    Retour aux pays, pour trois vétérans de la seconde guerre mondiale. Aussi bien interprété que passionnant, et que c'est un film d'époque, de 1946, soit un ans après la fin de cette terrible guerre. Trois personnages aussi riche, que classieux, dont l'un des trois ai été amputé des mains réellement, Harold Russell, l'un des rares non acteur a être oscarisé, et y montre, d'ailleurs, un certain talent avec ces pinces. Les deux autres ne sont pas en reste, non plus. Traumatisés. Non dénouer d'humour, pour ce sujet assez délicat. Cherchant du travail ou ayant des problèmes financiers. Ou de l'amour propre. Aussi charismatique que Frederic March et Dana Andrews, et entouré de formidable d'actrices, aussi belle, que talentueuse. Mais évidemment, tous n'est pas rose, pour ces anciens soldats. Et c'est l'un fes meilleur film qui traite de cela. La vie après la guerre.
    Catherine F.
    Catherine F.

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2023
    Un chef d'oeuvre, un noir et blanc magnifique, excellents acteurs, un très bon scénario, plusieurs Oscars très mérités en 1947.. 3 hommes reviennent de la Guerre, ils habitent la même ville, bien que de milieux très différents ils sympatisent et se confient; pour différentes raisons, ils appréhendent leur retour au "bercail"; un film presque témoignage, car filmé peu de temps après la guerre ce qui lui apporte un accent de vérité supplémentaire; bref on y croit, un film plein de surprises, qui fait du bien, très émouvant, plein d'humanité, sans jamais tomber dans la mièvrerie; à voir impérativement;
    CH1218
    CH1218

    151 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 août 2022
    Les 165 minutes de ce mélodrame de William Wyler ne sont jamais ennuyeuses. Elles se focalisent sur le retour au foyer ainsi que sur la difficile réinsertion et accoutumance à la vie civile de 3 soldats américains déphasés au lendemain de la Seconde guerre mondiale. Parfois drôle, parfois poignant et toujours respectueux, « Les Plus Belles Années de Notre Vie » se veut un film aussi réaliste qu’humain, même si depuis sa sortie en 1946, le sujet a fait l’objet d’autres approches beaucoup plus fortes et percutantes, notamment sur l’après-Vietnam. A noter parmi les personnages de cette immense succès celui d’Homer Parrish, interprété par un acteur non professionnel amputé des deux bras - Harold Russel, qui recevra deux Oscars pour sa touchante prestation.
    Romain Z
    Romain Z

    10 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2022
    Merveilleux film du grand William Wyler.
    La thématique du retour des combattants de la seconde guerre mondiale , la démobilisation a donné lieu à quelques très bonnes réalisations, notamment au formidable "Act of Violence " de F. Zinnemann sorti en 1948 et au sulfureux "Feux croisés" d' E. Dmytryk sorti lui en 1947.
    Wyler injustement accusé d'académisme parvient au contraire par une mise en scene d'une grande rigueur, à catalyser et exprimer la charge émotionnelle que représente la souffrance de ses hommes à retrouver leur vie d'avant qui parfois n'est plus, confrontés à des problématiques de reclassement et d'identités une fois l' uniforme et son prestige rangé dans une armoire.
    Et si James Stewart incarnait comme le disait Daney l'Honnête homme du cinema Américain des années 30 ,le merveilleux Dana Andrews pourrait être lui, celui des années 40 .
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2022
    « Les plus belles années de notre vie » est l’un des très rares films de William Wyler qui fassent l’unanimité critique. Dans le dernier classement de l’American Film Institute (2007), il est encore classé à la 37ème place. A la cérémonie des Oscars de 1947, huit statuettes vinrent récompenser cette romance traitant du difficile retour du front des GI’s après l’intervention des Etats-Unis sur les plages normandes et dans le Pacifique. Sam Goldwyn qui avait décidé de traiter du problème suite à la lecture d’un article dans le Time, décida de confier la réalisation du projet à William Wyler dont ce serait le retour à la fiction après son implication dans le conflit qui le vit réaliser deux documentaires sur les raids aériens menés en Allemagne, en Corse et en Italie. On connaît l’implication des réalisateurs du Nouvel Hollywood (Hal Ashby, Michael Cimino, Ted Kotcheff, Martin Scorsese,…) dans des films qui sous différentes formes ont traité de la difficile réadaptation des GI’s à la vie civile suite au conflit vietnamien. William Wyler à son époque était donc un pionnier qui a choisi le roman de MacKinlay Kantor s’intéressant aux destins de trois soldats de conditions différentes qui doivent affronter un retour au domicile que visiblement ils redoutent, chacun pour des raisons différentes. Faisant connaissance lors du trajet du retour dans leur ville de Boone City (ville fictive du Midwest), ils vont voir leurs trajectoires se croiser puis se nouer tout au long d’un film de près de trois heures tenant parfaitement la distance grâce à des retournements de situation certes souvent attendus mais parfaitement crédibles grâce à une présentation de la psychologie de chacun des protagonistes lors d’un préambule didactique mais jamais ennuyeux. Pour plus de crédibilité, William Wyler a fait appel à Harold Russell, soldat amputé de ses deux mains suite à une manipulation du TNT, après qu’il l’eût remarqué dans un documentaire produit par l’armée. Est ainsi posé le problème de l’acceptation du handicap dont Wyler nous montre qu’elle ne prend pas toujours naissance là où on l’imaginerait. Dana Andrews, incarne le plus gradé des trois qui retrouve sa condition modeste et ne sait plus très bien quel sens donner à sa vie après avoir constaté que sa jeune épouse (formidable Virginia Mayo) n’avait pas eu la patience de l’attendre. Enfin. Frederic March, le plus âgé des trois et le plus établi fait lui aussi l’amer constat que son retour à la vie d’avant ne sera pas si simple malgré l’amour sans faille de sa femme (Myrna Loy comme toujours lumineuse) et de sa fille (Teresa Wright). Bien sûr, les ressorts du mélodrame sont largement utilisés mais sans que jamais le propos initial ne soit perdu de vue. Une fois de plus, difficile de constater les fondements objectifs du procès en fadeur qui est régulièrement intenté à William Wyler.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    Ce film raconte l'histoire de trois jeunes et moins jeunes soldats, dont un était tout de même capitaine et l'autre sergent, qui reviennent dans leur ville natale juste après avoir passé deux à trois ans à se battre lors de la seconde guerre mondiale. Ils ont du mal à retrouver la vie civile, à retrouver leur famille et leur emploi. La guerre les a changé et ce film décrit cela dans le détail. Même si toutes les conditions sont réunis pour accueillir à bras ouverts les soldats, ces derniers ne veulent plus de leur vie d'avant. Ce film est une critique non pas de la guerre en elle-même, mais dans un sens quand même, mais plutôt une description de la vie au lendemain de la guerre dans une petite ville des Etats-Unis. Bien que salué par de nombreuses récompenses, et réalisé par le réalisateur de Ben-Hur, ce film a vieilli et il n'est pas toujours facile de se plonger dedans, surtout lorsqu'on ne connait pas les acteurs.
    Captain Hub'
    Captain Hub'

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2022
    En 1945, trois vétérans américains fraîchement démobilisés – Homer Parrish (Harold Russell), un marin de l’US Navy, Fred Derry (Dana Andrews), un capitaine de l’USSAF, membre d’un équipage de bombardier et Al Stephenson (Fredric March), un sergent de l’armée de terre – rentrent chez eux, à Boone City, quelque part dans le Midwest des États-Unis. Dans Les Plus belles années de notre vie (The Best Years of Our Lives, 1946), aux antipodes des films patriotiques et héroïques qui ont jalonné la guerre, William Wyler filme avec un humanisme et un lyrisme douloureux, non pas le retour de trois guerriers auréolés de leur victoire sur le Japon et l’Allemagne mais des hommes en proie au doute et au questionnement, appréhendant les changements survenus dans leur pays durant leur absence.

    Retrouvez mon analyse complète sur un photogramme de " The best Years of our Lives " de William Wyler sur mon blog :
    http://etoilesdetoiles.blogspot.com/2022/06/lobsolete-chez-william-wyler.html
    velosolex
    velosolex

    4 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2022
    Magnifique film, que je situe bien au dessus de la critique asssz lamentable de " Télérama", notant d'une simple étoile ce chef d'oeuvre qui passait hier soir sur Arte, et qui s'accompagnait d'un avis assez tranchant et négatif., dont je livre quelques lignes. "Surestimé à l'époque, Wyler est un pro un technicien habile. Lorsqu'il se laisse aller à l'émotion, en revanche, c''est la charge de la brigade pas toujours légère".....Télérama n'a t'il pas confondu avec " Mais où est passé la septième compagnie?"
    Pour moi, ce film qui date de 1946, reste toujours très pertinent, dans le contexte actuel. Le sujet du retour des vétérans de guerre a été traité plus d'une fois au cinéma, que ce soit par "Voyage au bout de l'enfer", de Cimino, ou par Jeunet, dans "un long Dimanche de fiançailles" . Sans doute celui ci est plus pudique, mais tout autant efficace dans la dénonciation de la guerre. Il faut bien sûr le remettre dans son contexte de 46, avec la difficuté de ne pas blesser un public très patriotique, marqué par les événements tous récents, alors que l'europe est encore par terre.
    Cela expliquera la fin du film sans doute loukoum, trainant un peu en longueur, soucieux d'établir une happy end à chacun des protagonistes.
    Trois véterans de retour de la guerre en Europe, ou dans le paciifique, rentrent chez eux, dans cette petite ville bien américaine, où ils ont passé leur jeunesse. Leur rencontre, dans un appareil militaire, regagnant enfin leur ville tant rêvée, avec ces vues plongeantes sur le paysage paisible, en rupture de celui d'une europe dévastée, est déjà saisissant, et est émblématique des longs plans séquences de ce très long film de 165 mn.
    L'un deux a été capitaine au sein d'une unité de bombardiers, et son sommeil est agité de visions cauchemardesques. Les deux autres ramènent aussi un vécu douloureux, dont ills ne parleront pas, mais dont leur corps, ou leur esprit portent des stigmates, et des traumatismes récurents, dont la consommation d'alcool assez débridée, semble bien en rapport. Les voilà ensuite dans un taxi s'apprétant avec hâte, et tout autant d'appréhension à retrouver pour l'un, le plus âgé, sa famille, et pour les deux autres, l'un sa jeune femme, et l'autre sa fiancée....
    . N'attendez pas d'images de violences, ni de flash backs sur la guerre passée, le cinéaste s'est appliqué à montrer les grandes difficultés d'adaptation de ces vétérans, et leurs efforts, et tout autant ceux de leurs proches, pour retrouver la vie d'avant, autant que faire se peut !
    C'est admirablement écrit. La photo est belle, les dialogues sont forts, et la qualité du scénario et le métier du réalisateur sautent aux yeux. Les clichés sont évités. Les personnages ont une épaisseur, échappant à les placer de façon caricaturale, comme cela se fait souvent, en tant que héros, lâches, opportunistes, crétins ou salauds, obeissant à une norme sociologique définie. Telle le personnage de la femme de l'aviateur, une blonde semblant ecervelée, égoiste et stupide, mais finalement bien plus complexe, affichant son indépendance, son refus de rester femme au foyer .
    Ce fillm n'est en rien une exaltation de la guerre, bien au contraire. les plans et les travellings sont parfois admirables,et sociologiquement intéressants, comme ceux de la traversée de la ville en taxi, où les tableaux offerts, semblent sortis du monde d'Edward Hooper. C'est du même intéret que le film de Carol Reed, " le troisième homme", daté de 1948, montrant lui aussi une ville en reconstruction, Vienne, et ses fantômes issus de la guerre. C'était à cette époque un cinéma populaire, mais responsable, réussissant à faire avec ce cahier des charges, des chef d'oeuvres inoubliables, et non destinés uniquement aux teenagers. .
    SB88
    SB88

    13 abonnés 1 011 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2022
    Le film a vieilli dans les mises en situations. Les écorchés, les hommes dépressifs, dépendants à l'alcool. Tous essaient la reconstruction et c'est sur ce sujet que le film est. Malheureusement, tout est trop lent et trop basique. On a eu tellement de bons films dans ce domaine
    On y voit aussi les relations hommes/femmes de l'époque
    2,8/5
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2022
    Le difficile retour à la vie civile de trois soldats américains à la fin de la Guerre en 1945.
    Récompensé par une pluie d’Oscars (dont celui du meilleur film), un mélodrame profond, émouvant et humaniste, témoignant de la difficulté de se réintégrer pour des soldats brisés par la guerre.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    159 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2022
    Les Plus Belles Années de notre vie (The Best Years of Our Lives) est un film américain réalisé par William Wyler et sorti en 1946.
    le Tournage a eu lieu du 15 avril 1946 au 9 août 1946 Samuel Goldwyn décida de produire le film après avoir lu un article dans le magazine hebdomadaire Time dans lequel était traité la difficile réinsertion des soldats dans la vie civile
    William Wyler demanda aux acteurs principaux de porter leurs propres vêtements afin que leurs personnages respectifs soient en lien avec la vie réelle
    Il n'y a que 13 ans d'écart entre les actrices Myrna Loy et Teresa Wright qui jouent respectivement le rôle de la mère et de la fille
    William Wyler se servit de son expérience pendant la guerre pour traiter les rapports humains entre soldats
    Le film a fait l'objet d'un remake pour la télévision en 1975 : Returning Home de Daniel Petrie, dans lequel Tom Selleck reprend le rôle, de dana andrews
    .Le film fut l'objet d'une adaptation en pièce radiophonique sur NBC le 17 avril 1949
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