Avis sur Code 211

Un navet de plus malheureusement filmé avec un caméscope, l'image bouge dans tous les sens , quant au scénario il tient sur un timbre poste, 0/5

Je suis fan de Nicolas Cage depuis des années, je continue de l'apprécier en dépit de la qualité variable de ses derniers films et ce film n'arrange clairement pas son cas. Code 211 est un pur navet.
C'est l'histoire d'un groupe qui braque une banque et le gentil policier (Nicolas Cage) doit empêcher le braquage tout en protégeant un petit enfant noir qui l'accompagnait en observation. Voilà, l'intégralité du scénario je viens de l'écrire sur une ligne et demi. C'est un désastre.
Les acteurs sont tous mais alors tous sans exception très mauvais. Même Nicolas Cage tombe dans la médiocrité, lui qui parvient habituellement à sauver les meubles mêmes dans des films mauvais. Cette fois-ci il n'y a rien à faire, les acteurs sont indéfendables. spoiler: Mention spéciale au coéquipier de Cage qui joue mal dès la première scène du film et son niveau de médiocrité ne fera qu'augmenter tout du long.

Au niveau de l'action ca commençait mal il faut le dire, cependant il y a une scène qui était correcte c'est pour cela que je mets 1 plutôt que 0.5 spoiler: il s'agit de la scène dans laquelle Cage et son coéquipier font face au chauffeur de la voiture des braqueurs. L'échange de coups de feu est bien fait avec les flics qui se mettaient bien à couvert et qui se déplaçait intelligemment en faisant du tir de suppression. C'était pas mal vu.
Et encore j'ai du chercher pour le trouver ce point positif. Sinon le reste de l'action c'est ridicule et incohérent. Les ennemis courent à découvert sous le feu de l'équipe d'intervention de la police et personne ne se fait toucher. Les échanges de coups de feu sont interminables et sans dynamisme (pour rallonger la durée du film qui n'a rien d'autre à offrir), et ça n'a aucun intérêt.
Enfin pour la mise en scène c'est digne des pires téléfilms du dimanche après-midi sur TMC. C'est tellement mal filmé, qu'on a l'impression que le film a été tourné avec une caméra de smartphone. C'est risible. Les décors sont fades, la musique est fade, tout est fade.
Code 211 est donc une catastrophe. Si vous êtes fans de Cage, fuyez et allez voir plutôt Mandy. Pour tout les autres, ne perdez pas votre temps, il y a certainement plus intéressant à faire comme ranger ses chaussettes. 1/5

Code 211 (ou 211) est un bon film d'action sur un braquage de banque et prises d'otages .
C'est un film très correct est divertissant d'une heure et demie.
L'histoire est assez simple et classique mais comporte un scénario convenable .
De très bons acteurs mais un ce démarque et c'est bien entendu Nicolas Cage, on peut dire ce qu'on veut mais il joue très bien .

Une fois n'est pas coutume, Nicolas Cage nous offres une grande prestation. Ce Thriller m'a scotché de par son réalisme ! De retour d'Afghanistan, quatre mercenaires sont en quête d'un butin caché dans une banque. Ils décident de braquer l'établissement. Mais ils sont surpris par Mike Chandler, policier veuf et proche de la retraite qui passait en voiture à proximité. Aidé par son équipier, qui est également son gendre, il intervient.Une mise en scène proche de la perfection. La caméra de York Alec Shackleton avec des plans serrés remarquables. Un casting de choix pour ce bon film de braquage. Le déroulé du film ne laisse aucune place à l'ennuie. Bref, un film a voir.

Film vraiment mauvais. Très déçue de Nicolas Cage qui n'est que l'ombre de lui-même. Le filme de trop pour lui. Un film qui ne tient pas la route dans tous les sens du terme. Ne perdrez pas votre temps à voir ce navet, il n'y a vraiment rien qui mérite le détour même pas l'acteur principal.

Un navet comme j'ai rarement vu. Nicolas Cage à vraiment sombré.
Comment peut-on imaginer un scénario aussi incipide.

Mine de rien, cela faisait quelques mois que je ne m'étais pas fait mon DTV avec Nicolas Cage : cela me manquait presque... « Code 211 » n'est ni le pire, ni le « meilleur ». En fait, c'est juste d'une effrayante banalité. Après une introduction laissant vaguement espérer un thriller géopolitique d'honnête facture, nous revenons très vite à un braquage on ne peut plus basique avec gentils, méchants, rajoutant quelques éléments mélodramatiques lourdingues histoire de bien nous émouvoir de la situation, le tout par des personnages que l'on nous présente vite fait au début afin de vraiment nous faire comprendre qu'ils sont gentils et qu'on est obligé d'être touché par la violence qui va bientôt les frapper. Se regardant tout juste mais visuellement insignifiant et plutôt fauché, l'ensemble offre quelques moments de comique involontaire, à l'image d'une scène de colère où Cage se transforme l'espace d'un instant en plus mauvais acteur du monde, sans parler d'un dénouement d'une platitude tellement ahurissante qu'on en est presque pantois spoiler: (en gros, le chef des mercenaires se fait flinguer, l'agente du Mossad que l'on sentait ambiguë à souhait était une vraie gentille, aucun coup de théâtre, happy end indigent : générique. Au moins ne pourra t-on pas reprocher à York Alec Shackleton de faire dans l'esbroufe)
. Bref, un titre insignifiant de plus dans la carrière déjà bien remplie de notre Nico adoré : l'époque des Coppola, Scorsese, De Palma et autres Parker semble toujours plus lointaine... Assez triste, mais je m'y suis tellement habitué que c'en est devenu presque drôle.

2018 est une nouvelle année charnière pour Nicolas Cage. Sept films au compteur, trois sortis directement en DVD en France (y compris le génial Mandy), un autre diffusé sur Netflix et un dernier toujours inédit chez nous sans compter deux films d'animation dont un salué par les Oscars. En ce qui concerne Code 2011, il appartient à la catégorie des navets sélectionnés par l'acteur pour finir de rembourser ses dettes. Soit disant basé sur la fusillade de North Hollywood où, en 1997, deux braqueurs lourdement armés donnèrent du fil à retordre à la police de Los Angeles, le long-métrage aurait pu donner un thriller nerveux entre les mains d'un David Ayer mais entre celles de York Shackleton, sombre inconnu, le résultat est tout autre. Ne reprenant rien du fait réel, particulièrement mal écrit, essuyant des clichés de débutant (l'agent tenace d'Interpol, les bad guys surentrainés aux dialogues débiles, les flics nourris aux cafés Starbucks jouant aux héros, les fameux chargeurs aux balles illimitées), Code 211 ressemble plus à un téléfilm de seconde zone qu'à un thriller bourrin. Outre la photographie dégueulasse, les cadrages amateurs et la direction d'acteurs inexistante (acteurs eux aussi de seconde zone), nous avons affaire hélas à un interminable prologue nous présentant de manière maladroite les motivations des méchants amenant en milieu de bobine ce fameux braquage ainsi que la confrontation avec la police. Un affrontement de balles pas si raté au final mais pas vraiment original ni pragmatique, Shackleton préférant miser sur les moments "dramatiques" bas de gamme et les exagérations absurdes (l'ado forcé de faire une balade avec des flics pour apprendre de ses erreurs et qui se la joue MacGyver était-il vraiment indispensable ?). Quant à ce bon vieux Nic, il aurait tout aussi bien été remplacé par Wesley Snipes ou Tom Sizemore qu'on n'aurait pas vu de différence, l'ancien Ghost Rider s'efforçant de proposer une interprétation un tant soit peu poignante en dépit de son premier rôle étouffé par des seconds envahissants. Au final, Code 211, mot codé de la police désignant un braquage, aurait pu être bien meilleur sans les artifices habituels qu'il propose ni les fanfaronnades que les scénaristes ont jugé bon d'inclure à un récit inutilement longuet et par conséquent bien moins efficace.

Une femme fait semblant de taper sur son clavier d'ordi... explosions... des dialogues confus et bien mièvres s'en suivent... Des figurants prennent soudain la paroles, débutant une nouvelle carrière face caméra [...] soyons sérieux, cette séquence d'ouverture ne pouvait pas être pire.
Producteur malveillant qui rajoute une séquence au premier montage ou réalisateur débutant, un peu fragile, heureusement la suite ne pourra être que plus intéressante, offrant même quelques instants réussis où l'émotion nous gagnerait presque. Nicolas Cage apparaît rincé, au volant d'un véhicule de police et après une séquence soap qui nous présente son partenaire, l'intrigue se place. Les séquences de fusillades sont un calvaire et on ne s'arrêtera pas à la seul présence de l'acteur pour dire que ce réalisateur, pourrait faire du soap opera une carrière solide.

un zéro pointé. ce qui me scandalise c'est le gros racisme qu'il y a envers les affro-américains je cache pas avoir eu l'impression de retourner 60 ans en arrière, le pauvre petit jeune recois la tête dans les toilettes par trois harceleurs et il est envoyé en journé de correction avec la police ?? quel SCANDALE !!!, les deux flic bon a rien qui s'en prennent a un jeune qui n'as absolument rien fait, PENDANT CE TEMPS les terroristes en profite pour organiser un braquage de banque, la plupart du temps c'est AFFREUSEMENT LONG au point de m'endormir devant. nul nul.

le film le plus osef que j'ai jamais vu avec nicolas cage , malgrès quelque bonne idée de réa, la photo est moche et le scénario n'a rien de nouveau a offrir.

En un mot ! NUL !
J adore les film de Nicolas cage mais la je comprends pas!!

Scénario bidon, les acteurs jouent hyper mal, si encore les scènes d action tenaient la route...!

C est digne d un téléfilm sur la 6 un dimanche après midi.

Produit par des spécialistes du film d'action à petit budget, réalisé par un inconnu ancien snowboarder, Code 211 est ce qu'il est : une série B de supermarché tourné en Bulgarie avec un acteur has-been. Si ce portrait peut convenir à un Steven Seagal, depuis le milieu des années 2000, Nicolas Cage les enchaîne lui aussi et c'est lui qui s'y colle. Contrairement à Steven, Cage, lui, sait qu'il a été un acteur autrefois et un bon acteur. Jamais, je ne l'ai vu démissionner et Code 211 ne fait pas exception : en témoigne la scène où il s'emporte face à des agents du S.W.A.T à qui il reproche leur lenteur. Ce n'est pas spécialement ce qui me ferait hausser le ton chez eux. Mais leur incroyable maladresse arme à la main. Parce que ça tire. Mais qu'est ce que ça tire ! D'un côté, on a des mercenaires, de l'autre des policiers et des agents du S.W.A.T donc mais tout le monde vide ses chargeurs et tirent dans le vide. Tu parles de professionnels. Tout ceci est très mal amené de toute façon. On ne sait pas vraiment qui sont ces mercenaires, ce qu'ils font en Afghanistan (enfin, on dirait une carrière de pierres), pourquoi ils atterrissent pile dans le patelin de Nicolas Cage, pourquoi une agent d'Interpol leur colle au train comme ça (elle est super belle donc c'était peut-être pour caser la roumaine Alexandra Dinu), pourquoi le S.W.A.T met une heure avant d'arriver alors que c'est une banque qui est attaquée et plutôt sauvagement. Retenons juste que Code 211 est moins casse-pied que Froide Vengeance par exemple ou que d'autres nanars avec Nicolas Cage. Ce n'est pas le choix qui manque.

un thriller qui met en avant le grand Nicolas Cage je dit grand car la c'est vraiment un grand Nicolas Cage que l'on vois dans ce thriller qui est plutôt un thriller dans la lignée des thriller des années 80 . Mais le problem cest que oui le film démarre bien et fort mais le problem cest que sa stagne vite et deviens que un film parlotte pendant une grande majorité du film . Après quand l'action et de retour sa carnarde de partout et beaucoup mais c'est vraie que en terme d histoire on a l'impression que c'est bacler.

Code 211 n'est pas si pitoyable que cela, Nicolas Cage traîne sa carcasse sans trop de conviction dans cette production américaine tournée dans des studios bulgares mais c'est assez efficace par contre au bout d'un moment les situations sentimentales et dramatiques sont plutôt ridicules et c'est le problème de ce film qui aurait du se concentrer essentiellement sur le braquage de la banque et la prise d'otages.