Avis : Glass - Page 3

Glass, la suite tant attendue d’Incassable et Split est désormais une réalité. Ce film transcende nos attentes et nos visions de ce genre de long métrage. La performance des acteurs est parfaite. Le film arrive à nous maintenir en haleine et en doute avec de simples dialogues. L’action n’est pas omniprésente mais impressionnante à l’écran. David Dunn n’a pas perdu du poil de la bête, tout comme son ennemi surhumain interprété à merveille par James McAvoy. Shyamalan clôture cette trilogie avec brio. Si vous êtes fans des deux films précédents, foncez le voir.

Et n’oubliez pas : ne sous-estimer jamais le stratège !

j'ai perdu deux heures à regarder ce film, et je me suis bien ennuyé, je ne comprends pas d'où viennent les 4 etoile. ce film est vraiment raté le scénario est un désastre ça parle beaucoup pour rien et pendant deux heures . alors que le premier incassable était pas mal.

Bof... Ayant adoré Incassable et Split, j'ai attendu Glass avec impatience mais ce fut une grande déception. Il n'y a aucune action pendant 2h, le film est très lent et, sans spoiler, la fin est nulle. Cependant, on retrouve avec plaisir le casting original des 2 précédents volets, et surtout James McAvoy qui interprète à merveille Kevin et ses 24 personnalités. Les fans de la saga apprécieront (attention, il est nécessaire d'avoir vu les 2 films précédents pour tout comprendre).

Avec "Glass" M.Night Shyamalan confirme son retour en forme initié depuis "The Visit" et en concluant de manière plutôt satisfaisante son univers étendu commencé en 2000 avec "Incassable". Et le moins que l'ont puisse dire c'est que le cinéaste carresse les fans du film précédemment cité dans le sens du poil tout en continuant habilement l'histoire de "Kévin Wendel Crumb". D'ailleurs James McAvoy est toujours aussi excellent et on retrouve avec beaucoup de plaisir ces personnages aperçu dans "Split" et d'autres encore. Une nouvelle performance d'acteur remarquable qui ferait presque de l'ombre aux charismatiques Bruce Willis et Samuel L.Jackson. En bref, "Glass" est l'anti avengers par excellence et assume parfaitement ce statut pendant presque 2h. Il faut aimer le style Shyamalan. Et c'est mon cas. Je recommande.

Du grand art qui vient clôturer, 20 ans après, le cruel dilemne entre héros et gens ordinaires, d'une façon magistrale et interprété prodigieusement. Sarah Paulson est excellente

Dans cette ère cinématographique peuplée d'innombrables super-héros, ce nouveau film de M. Night Shyamalan délivre une vision décalée, presque à contre-courant, anachronique du thème surexploité par les studios Marvel et DC Comics depuis une décennie. Un long-métrage qui, sans être décevant, me laisse une curieuse sensation peut-être pas aussi aboutie ou satisfaisante que les deux précédents tomes de la trilogie. Dans ce qui pourrait presque s'apparenter à un huis-clos psychologique, une construction scénaristique très proche de la structure de "Split" avec une montée graduelle en tension pour aboutir sur un final riche en puissance dramatique et fidèle à sa réputation, le réalisateur livre un twist final surprenant même si celui-ci, à mon avis, apparaît comme le plus déstabilisant, le plus inattendu, peut-être le moins préparé, le moins fluide. Une qualité d'interprétation tout à fait intéressante, James McAvoy est une nouvelle fois excellent dans son personnage aux personnalités multiples même si son jeu est ici un peu moins déroutant. Samuel L. Jackson en génie du mal cabotine avec talent mais Bruce Willis, un peu à l'image du tournant de sa carrière et de ses derniers films, livre une prestation assez neutre, peu remarquable. Au final, un ensemble qui souffre de quelques longueurs en n'atteignant que trop rarement la maestria de "Incassable" et d'un message qui me reste plutôt obscur mais qui demeure plutôt divertissant alors qu'il y avait largement la place pour en faire une oeuvre marquante, inoubliable. Une semi-déception.

Vu la bande annonce du film et le casting, je m’attendais réellement a un chef d’œuvre de réalisation

Hors le film est décevant sur presque tous les niveaux. Les scènes de combat sont carrément nulles et incompréhensibles
Je n’arrive pas à comprendre comment la bête qui a pu renverser une voiture de police d’une tonne et demi a main nue a peut être tenu en joue par trois malheureux policiers avec des boucliers en plexi glaces ???
Et comment mr glass peut se déplacer aussi aisément dans un hôpital super surveillé ????
Effets spéciaux quasi inexistants, dialogues monotones et scenario ennuyeux sans le moindre suspens ou rebondissement

Amateurs de bandes dessinées américaines, fans de super-héros, spectateurs qui aimez que l'on vous raconte des histoires avec différentes strates, ne passez surtout pas à côté de ce nouveau long-métrage de M. Night Shyamalan.
Ce dernier continue d'y cultiver avec brio sa vision si personnelle de l'univers des comics.
spoiler: Du point de vue du spectacle, le contrat est hautement rempli, avec des scènes d'action extrêmement intenses entre les êtres surnaturels, et des séquences fortes de suspense psychologique. Et puis il y a, dans la dernière partie du film, trois rebondissements d'importance, dont le scénariste réalisateur a le secret. Ils n'ont pas la même puissance dramatique que des coups de théâtre comme ceux de "Sixième sens", "Incassable", "Signes", ou "Le Village", mais ils sont formidables pour activer notre imagination sur un vaste univers de super-héros, bien au de là du trio formé par David Dunn, Elijah Price et Kevin Wendell Crumb et ses multiples personnalités.

Et s'agissant justement des principaux protagonistes issus de "Split" et "Incassable", il faut saluer l'habileté avec laquelle Shyamalan a fait en sorte qu'ils appartiennent au même univers.
"Glass" fond ces deux histoires en une pour développer toujours plus en substance la culture super-héroïque et sa thématique du bien et du mal.
spoiler: Dans cet ultime opus, cette notion manichéenne est judicieusement bousculée. Et cela semble être un très juste reflet fictionnel de l'actualité de notre monde.

Finement écrit et remarquablement joué, "Glass" clôt en beauté une superbe trilogie cinématographique.

Après un "Incassable" culte et un très bon "Split", M.Night Shyamalan conclut cette trilogie en beauté avec "Glass", claque esthétique instantanée pour ma part.
Glass est un film merveilleusement bien mis en scène : mélange de plan fixes très travaillés, de plans-séquences, et de plans filmés à la GoPro rendant le tout très réaliste.
La photographie, le cadrage, la colorimétrie, la lumière, tout est impeccable.
Les thématiques sont de plus vraiment intéressantes je trouve.
Cependant le film n'est pas sans défauts, on peut y trouver quelques soucis de rythme par moments mais rien de gênant non plus; quelques facilités scénaristiques; et certains aspects du scénario sont assez prévisibles je dois l'admettre.
Mais en toute honnêteté j'ai pris énormément de plaisir à regarder ce film !

Glass de M. Night Shyamalan est la suite d'Incassable et Split donc il faut les avoir vus pour comprendre.
Une excellente réalisation.
Une musique très performante.
On retrouve James McAvoy et Anya Taylor-Johnson dans leurs rôles de Split et ils jouent leur personnages extrêmement bien et même chose pour Bruce Willis et Samuel L. Jackson du film Incassable (L. Jackson domine le casting pourtant exceptionnel). Une nouvelle actrice arrive dans le dernier film de cette trilogie et c'est Sarah Paulson qui est très douée.
L'histoire comporte des rebondissements et des surprises en restants claire et cohérentes.
Un scénario brillant.
Une fin impensable.
Chef d'oeuvre !

Franchement, aucun intérêt. le film commence bien... mais rapidement Night Shyamalan semble intoxique par Marvel. Autant Unbreakable était excellent, autant cette troisième partie est vide. La grande "révélation" qui fait la signature de Night Shyamalan est une sorte de queue de poisson qui ne m’intéresse absolument pas (je parle pour moi... mais je ne dois pas être le seul).

GENIALLISSIME !!! Une intrigue de haut niveau et surtout avec james mcavoy qui est EXCEPTIONNEL dans cette suite . Cette acteur est incroyable il est aussi excellent aussi doué que dans Split son interprétation de la bête est waouh j'en suis rester sans voix !...C'est un thriller époustouflant.
Samuel j jackson îcone de notre époque et véritable légende du cinéma est tout aussi épatant et remarquable comme à son habitude.
Adulé par le public et encensé par les critiques multi récompensés dans le monde night shyamalan le réalisateur nous a encore une fois prouver qu'il était un véritable génie !

Je ne sais pas par quoi commencer tellement ce film m’a déçu.
J’étais tout d’abord attiré par le casting et le bon ressenti que j’avais eu concernant Split, qui était pour moi plutôt angoissant et intéressant.
Dans ce film ci, les quelques 2 heures de film sont d’un ennui; les quelques suspenses sont gâchés car ne dure que quelques secondes, la musique semble être un copié/coller de split, les quelques scènes d’action sont gâchées par des conversations inintéressantes et une banalisation des personnages environnants qui ne font strictement rien si ce n’est y assister sans broncher.
Les personnages ne sont pas travaillés, le scénario semble avoir été écrit les yeux fermés...
Le dénouement cependant m’a étonné, mais également bâclé car il n’est pas appronfondi, pour faire court : spoiler: vous êtes des super-héros, vous aviez raison, on est les méchants humains et on veut vous tuer. Faites en ce que vous voulez -> FIN
. Donc pour moi c’est une énorme déception et c’est pourquoi je rédige ma première critique sur ce site, tant je ne m’attendais pas à regarder un film aussi mal écrit et aussi lent.

Film bien les 15 premières minutes puis on bascule dans un scénario bourré d’incoherences. De bons acteurs mais un film ou l’on s’ennuie beaucoup. Je m’attendais à un film plus accès sur la psychologie et on se retrouve à la limite du comics ... très déçue.

Après Incassable et Split, M.Night Shyamalan vient clore sa trilogie avec Glass, et comme souvent, Shyamalan, on aime, ou pas. La presse US a rejeté le film en masse (36% sur Rottentomatoes… sic.) et au regard de ce chapitre final, on peut le comprendre, sans pour autant être d’accord. On se rappelle alors aux bons souvenirs de La Jeune fille de l’eau film « ego trip » mais diablement bien écrit, loufoque et féérique, tout en proposant une auto-analyse de son travail de metteur en scène (écho à son égo…). Effectivement, au jeu du Shyamalan perché on s’y perd un peu entre narcissisme et génie créatif.
Glass, lui, est autre chose dans son fond, on joue ainsi des frontières et invite le spectateur à la danse réflective. On s’amuse, même le caméo de Shyamalan (dans presque tous ses films) est raccord avec sa présence passée dans Incassable (marrant), private joke, clin d’œil à sa trilogie en forme de jeu pour le spectateur, toujours, sinon, souvent au service de l’histoire. Et si Glass semble bavard il n’en n’est pas vide pour autant, en s’interrogeant sur les super-héros et notre rapport à ce nouveau genre cinématographique. Intéressant de voir d’ailleurs qu’à l’époque de la sortie du premier chapitre de la trilogie, les vengeurs de l’espace et autres capés qui sauvent le monde n’avaient pas du tout de vitrine. Depuis, l’histoire (économique avant tout) et créative du 7ème art a bien changé, et au lieu de prendre le train en marche Shyamalan faire la route de son côté avec une proposition, cohérente sur 20 ans, et reflet de notre société dans ce dernier chapitre. Il est alors amusant de voir à quel point il colle à notre époque (trop dans son twist final ? pas sûr, car très malin et à propos) tout en intégrant et se questionnant sur les règles du monde des super-héros. Si le concept peut sembler parfois fumeux, il est aussi fascinant dans sa mécanique scénaristique quand bien même on ne s’intéresse pas aux super pouvoirs et autre comics.
Ce petit malin réussi même à nous impressionner en nous faisant croire qu’il aurait pu penser et écrire sa trilogie en un seul tenant et ce depuis le début. Tout s’imbrique parfaitement et l’illusion d’un tout pensé comme un seul film dès le début fait écho (pas tout le temps le cas dans certaines pseudos trilogies).
Evidemment, la mise en scène renvoie à des élans hitchcockiens (comme depuis les débuts de Shyamalan dans 6th Sens) mais s’imprègne d’une vraie grammaire cinématographique, où on fait durer les plans et on soigne le découpage. A ce titre, la réalisation sublime de manière inconsciente le film et lui donne une vraie hauteur cinématographique. Shyamalan est bien là. Glass confirme donc le retour du réalisateur, certes dans sa gamme, mais avec une partition tenue de la sorte et jouer jusqu’à sa dernière note, il monte crescendo pour accéder à son habituel twist qui ici s’inscrit plus comme un climax fort, qui boucle une trilogie éclectique par son fond et unifiée par sa forme. C’est brillant, peut-être un peu brumeux pour certains, mais sa proposition détonne et fait un bien fou dans les films à gros budgets. requiemovies.over-blog.com