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    Le Vent dans les roseaux
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Vent dans les roseaux" et de son tournage !

    Note d'intention de la réalisatrice de "Dentelles et dragon"

    "Cette histoire m’a été directement inspirée par ma petite fille. Elle aime les fusées, les pirates et les dinosaures, cela lui a déjà valu des embêtements. Avant d’avoir un enfant, je ne me doutais pas que les stéréotypes garçons / filles étaient aussi présents, et surtout apparaissaient si tôt, dès la maternelle. Dans Dentelles et Dragon, les rôles sont chamboulés, ce qui, en plus de donner un côté loufoque et rigolo, permet de s’interroger sur la place de chacun et sur la question du vivre ensemble. Je voulais raconter cette histoire à la manière d’un conte, pour faire lien avec le thème chevaleresque du jeu de la fillette. Les personnages ont chacun une personnalité bien Ce qui ressort du conte La chasse au Dragon, d’Andréa Nève et Jean-Luc Englebert, est un charme tranquille, avec la légèreté, faussement innocente, d’une après-midi d’enfants. Pas de parents, pas d’éducateurs, mais un espace comme retiré du temps, où pourtant se joue une leçon à hauteur de mômes. Deux garçons jouent les fiers chevaliers partant à la chasse au dragon, dont « ils chassent » en premier lieu leur soeur, parce qu’elle est une « fille ». Et que ce n’est pas une affaire de fille ! À cet argument d’autorité, la princesse répond avec finesse et élégance. Elle cloue le bec de ses deux frères par son imaginaire, et la douceur de sa réponse vaut toutes les morales. On est bien au coeur des rivalités qui tranchée, avec un ressort comique en sus : le dragon désabusé, le chat qui veut se faire plus gros qu’il ne l’est, le coq mégalo… Les rencontres à répétition, tout en permettant au jeune spectateur de se projeter, créent aussi la surprise : quel personnage typique des contes de fées va être attribué à quel animal ? En bouleversant ainsi les codes, Dentelles et Dragon provoque un joyeux chambardement !"

    Note d'intention du réalisateur de "La Chasse au dragon"

    "Ce qui ressort du conte La chasse au Dragon, d’Andréa Nève et Jean-Luc Englebert, est un charme tranquille, avec la légèreté, faussement innocente, d’une après-midi d’enfants. Pas de parents, pas d’éducateurs, mais un espace comme retiré du temps, où pourtant se joue une leçon à hauteur de mômes. Deux garçons jouent les fiers chevaliers partant à la chasse au dragon, dont « ils chassent » en premier lieu leur soeur, parce qu’elle est une « fille ». Et que ce n’est pas une affaire de fille ! À cet argument d’autorité, la princesse répond avec finesse et élégance. Elle cloue le bec de ses deux frères par son imaginaire, et la douceur de sa réponse vaut toutes les morales. On est bien au coeur des rivalités qui se jouent souvent dans les fratries. C’est avec le sourire que ce film permet aux filles de donner un petit coup de griffe au machisme naissant des jeunes garçons. Et ce dans une musique d’inspiration médiévale, flûtes, tambourins… qui donne au film des rythmes dansants et joyeux !"

    Note d’intention de la réalisatrice de "La Petite Fille et la Nuit"

    "Pour cette histoire, je me suis inspirée des contes des peuples de la toundra du nord de l’Asie. Dans ces contes, les frontières entre l’homme et l’animal sont souvent estompées. L’histoire se déroule dans un monde onirique. Une petite fille découvre dans les roseaux un petit garçon dont l’âme se transforme en oiseau lorsqu’il dort. Et cet oiseau chante si merveilleusement que la reine de la nuit s’en empare pour le mettre dans une petite cage, espérant qu’il chante pour son plaisir. Car le monde sombre de la reine de la nuit terrifie tout le monde. C’est pourquoi elle est toujours seule, ce qui la rend très triste. La petite fille, comme tous les autres, a peur de la grande dame. Mais sa volonté de libérer l’oiseau prisonnier est telle qu’elle en dépasse sa peur. Elle sait que la reine de la nuit a un coeur doux, et qu’elle est sensible au chant de l’oiseau. Je suis originaire d’Asie centrale, et j’ai mis dans ce film un peu de ma culture, notamment dans la musique, qui utilise des instruments typiques, et dans la chanson de l’oiseau, mélodie poétique et émouvante."

    Note d’intention du réalisateur de "La Licorne"

    "Lorsqu’Arnaud Demuynck m’a proposé d’adapter ce livre, je n’ai pas hésité un instant. J’avais été tellement touché par l’univers de Martine Bourre, par sa fantaisie, sa poésie et son humour que l’idée d’en faire un film à destination du jeune public m’a immédiatement enthousiasmé. Par-dessus tout, l’histoire de La Licorne parlait d’un sujet que je trouvais particulièrement intéressant de proposer aux enfants. Elle abordait, au travers de ce petit roi capricieux et sa douce et affectueuse petite reine, le thème de la liberté et du bonheur des autres aux dépens de ses propres aspirations, de son propre contentement. Face à ce besoin de liberté et d’espace de la licorne, la petite reine, par son empathie et sa sagesse donnera au spectateur l’image d’un modèle à suivre, d’une question à se poser. Ce que je veux pour moi est-il bon pour l’autre ? Assurément, ce petit roi, impulsif et superficiel – quoiqu’ attachant par son côté burlesque et dérisoire – ne se pose d’abord pas la question. Cette licorne, animal mythique et convoité, source de gloire doit être sienne. Mais en la voyant au plus mal, il se rend bien compte que la place de la licorne n’est pas au château…"

    Note d’intention du réalisateur du "Vent dans les roseaux"

    "Le graphisme du Vent dans les roseaux se situe dans la veine de mes précédents travaux : recherche de simplification des formes (corps géométriques, surface rythmée par des jeux de pleins et de vides et par de multiples ponctuations graphiques et musicales), tout en conservant cette chaleur propre aux techniques traditionnelles (gouache, crayon de couleur, pastel). J’emploie pour ce film une palette de couleurs lumineuses pour donner toute son intensité à cette histoire, car le travail sur les ambiances et la lumière est une de mes préoccupations centrales. La technique du papier découpé numérique utilisée pour réaliser ce film permet une approche très sensible des mouvements les plus délicats. La mise en scène est entièrement pensée pour embarquer le jeune spectateur dans un récit énergique, musical et sautillant à l’image de son héroïne Éliette, avec la fraîcheur, l’audace et le brin de folie du personnage du troubadour. En 2011, ma petite fille Lily a quatre ans et demi quand elle entend parler à la radio du « Printemps arabe ». Comme elle me demande ce que signifie cette expression somme toute assez poétique, je commence à lui parler de désobéissance civile, d’indignation, de révolution pacifique. Devant ses petits yeux tout ronds, je décide de lui écrire un conte abordant ces sujets. C’est ainsi qu’est née l’histoire d’Éliette, la fille du luthier emprisonné par un roi qui a interdit la musique et le chant dans son pays parce que son fils est devenu sourd et muet. Par son courage, et grâce à quelques complices, Éliette, à laquelle le jeune spectateur pourra facilement s’identifier, insufflera à tout un pays le courage de reconquérir la liberté par la musique."

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