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    The Nightingale
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    64 critiques spectateurs

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    Nicolas V
    Nicolas V

    68 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2021
    Jennifer Kent signe un film violent, voir meme limite regardable pour certains au debut. Mais une violence qui se diffuse dans un contexte de racisme et sexisme dans une Australie en guerre.

    Un film de revanche plus psychologique qu'axé sur la violence. Les scènes de cauchemars , rêves sont réussies, et illustrent assez bien la psyché de cette veuve en quête de justice. quant aux scènes de combats : expéditives et dotées d'une trop grande sobriété pour etre jouissives.

    Avec une mise en scène très discrète et réalisme, the nightingale est un film véritablement sombre et froid. Tant sur le fond que la forme.
    babadook est une oeuvre plus accomplie est à la mise en scène plus inventive de cette réalisatrice.
    ianb
    ianb

    32 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2024
    Mon film de ce soir, The Nightingale avec la très belle Aisling Franciosi, découverte dans le film Le Dernier Voyage Du Déméter.
    Format étonnant, 4/3, rappelant les vieux films séries ou plus récemment le format IMAX TV.
    Un Revange-movie assez trash, qui est basé sur des faits historiques que je m'en vais découvrir
    après visionnage, je recommande, seule la VF est assez médiocre, et l'actrice et son jeu m'ont motivé à suivre sa futur filmographie
    Roub E.
    Roub E.

    761 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2021
    Un rape and revenge en costume avec comme toile de fond la colonisation australienne voilà ce que propose la réalisatrice du déjà très bon Mr Badabook. C’est un film d’une brutalité extrême, mais qui ne se complaît pas dans sa violence. On suit quasiment tout du long le personnage de Clare et l’empathie va fonctionner au maximum avec elle, surtout que le chef de ses agresseurs est un salopard ultime (peut être même trop pour que le film soit encore plus intéressant). La plongée dans le bush australien est elle aussi très réussie et angoissante. Seul le final qui traîne en longueur m’a un peu déçu sinon c’est remarquable.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2021
    Le comportement erratique d’un enfant génère toute la cruauté du chagrin, dans un cercle familial et social fermé. C’est au moins ce qu’on a pu découvrir au sein d’un « Mister Babadook » qui également su interroger sur le désir de mort chez des parents en détresse. Jennifer Kent explore alors un autre versant, toujours aussi froid, mais qui ne distance pas le spectateur de ses sujets, rattraper par l’horreur de l’humanité. Ici, la réalisatrice ne s’engouffre pas dans la radicalité d’un rape and revenge, genre à double tranchant, où la misogynie et le voyeurisme ne font pas bon ménage avec la forme de justice que les victimes empoignent. Au contraire, cette force, cette vitalité s’extirpe de la vulnérabilité de chacun. Tous les personnages en possèdent et ne démontrent pas moins d’ardeur que de laideur le moment venu. Il n’est plus question de rendre les coups parce qu’il le faut et les intentions de Kent se dérivent magnifiquement vers la mélancolie.

    Une longue peine purgatoire s’engage alors en Tasmanie, où l’on assiste au modèle réduit de la colonisation de tout un continent, basée sur un rapport de domination, voire d’humiliation. Rarement développée avec autant de hargne, l’Australie du XIXe siècle appartient avant tout aux victimes qui ont irrigué ces terres inhospitalières de leur sang, leur sueur et leurs péchés. Ce foyer pénitentiaire correspond à un climat intolérant et qui ne prend pas le temps de cultiver la sagesse pour s’épanouir. Les hurlements, les complaintes ou simplement le malheur des autres sont l’ennemi de l’officier Hawkins (Sam Claflin), comme de l’ensemble des Britanniques qui s’abandonnent à toute forme de violence. Mais si au fond de son âme, il peut être touché par l’unique chant du rossignol Clare (Aisling Franciosi), il y a fort à parier qu’il ne sait pas ce qu’il écoute. La beauté, la pureté et la sincérité de l’Irlandaise passent bien évidemment par ses mots, mais il n’y en aura jamais assez pour convaincre les abominables de s’abattre sur son foyer, son indépendance et sa liberté. En lui privant de tout cela, en plus de son corps, le tourment est mécanique et retient captif par la même occasion un spectateur, impuissant et voyeur malgré lui.

    Nous sommes au cœur d’un débat, où la passivité n’a pas sa place. Les sentiers de la vengeance sont empruntés avec toute la détermination attendue par les codes du genre. Mais au-delà d’une traque qui repousse sans cesse l’échéance et le sentiment de triompher des agresseurs, le film pose une mise en scène radieuse, au milieu d’une jungle qui entretient la même problématique d’une épouse et d’une mère de famille. Un regard suffit à enterrer nos sombres prédictions, d’une part auprès de l’autochtone Billy (Baykali Ganambarr) et d’autre part du côté du premier retour de bâton imposé par Clare. Pourtant, son affrontement suscite un tout autre intérêt que la consolation ou le soulagement, qu’elle guette comme une réaction divine entre deux branches. La foi ne lui est d’aucuns recourt, quand bien même elle commence à y songer. C’est pourquoi elle dévoile tous les maux de son époque en une unique scène physiquement éprouvante, où le titre de bourreau lui révèle enfin ses limites et la vulnérabilité de sa condition de femme blanche. Billy a également ses démons à exorciser, mais son rôle de guide lui permet d’imposer son rythme. Ce personnage qui a tout pour gagner, ce funambule entre deux cultures qui vantent la diplomatie avant la violence, mesure toutefois la portée de son existence, comme d’une servitude qu’il convient de s’émanciper.

    « The Nightingale » sonne la révolte contre l’oppression, celle qui a bâti le monde d’hier et celle qui s’est confortablement installée dans nos enjeux d’aujourd’hui. En évitant quelques écueils évidents et souvent mal interprétées, Kent parvient à trouver de la verticalité dans son format 1,37 pour mieux bombarder son cadre de haine et de châtiments, où la loi humaine a autant de valeur que le malaise qu’elle génère. L’impérialisme est ainsi à son meilleur rendu poétique et sert idéalement la culpabilité qui enrobe ce voyage cathartique. Les personnages n’auront que deux horizons à contempler, une vers les nuages et le passé, l’autre vers une aurore qui épargnerait enfin ces âmes mutilées. Mais le printemps qui arrive ne reflète qu’un cycle, une spirale chaotique où les maladies et la faim seront bien les derniers soucis des survivants et des orphelins de ce monde étripé.
    eldarkstone
    eldarkstone

    188 abonnés 1 971 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2021
    Un ( trop ) long rape and revenge, froid, lent, chiant, sans grand intérêt, malgré l'époque, le et le contexte thème voulue dans le film ...
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2021
    Croisade vengeresse d’une femme meurtrie dans une Tasmanie soumise alors au colonialisme barbare des Anglais. Attention, Jennifer Kent ne ménage pas le spectateur et veut clairement marquer les esprits. L’intensité et l’âpreté du film est ainsi accrue par le réalisme immersif de sa mise en scène et bien que sa caméra évite d’en montrer trop, la dureté et la cruauté de certains scènes (viols, infanticides, meurtres) peuvent choqués. Et même si on adhère à ce choix pour le moins radical, « The Nightingale » ne convainc pas totalement, victime de sa prévisibilité et de ses longueurs, ceci malgré la forte impression laissée par Aisling Franciosi, Sam Claflin et Baykali Ganambarr dans le rôle du guide aborigène.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    D'une extrême violence, le film ouvre l'histoire sur un viol collectif sous le regard d'un mari impuissant et d'un bébé à l'agonie dans l'Australie du 19eme siècle. Une fois passée cette scène d'horreur, on est dans le style road trip revenge à travers une Australie sauvage et austère. Une rencontre avec un aborigène qui souffre des blancs comme l'héroïne souffre des hommes. Une belle rencontre de personnage donc et un film d'aventure et historique qui se regarde avec beaucoup de plaisir finalement.
    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2022
    Un très bon film. Une histoire forte et triste sur l'indépendance de l'Australie vécue par une irlandaise.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    43 abonnés 920 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Dur et violent, sur un contexte historique peu traité au cinéma, le film se révèle courageux et offre quelques morceaux de bravoure sans concessions! En plus d'afficher de belles ambitions et de proposer un beau duo de cinéma, les décors naturels sont un personnage à part entière et jouent un rôle fondamental dans la fascination que peut exercer le film (à la manière de "La leçon de piano"). Effectivement plus qu'un rape & revenge sanglant, le film s'appuie néanmoins sur quelques ressorts simplistes du genre (cruauté extrême et à répétition, personnages stéréotypés inhumains de méchanceté,...) pour ne laisser, finalement, aucun doute sur ses préoccupations autrement plus humanistes! Imparfait, mais singulier et courageux!
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre avec ‘The nightingale’, film tour à tour hué et encensé dans les festivals où il fut projeté, ensuite malheureusement passé à la trappe pour cause de crise sanitaire. Son schéma primitif rejoint celui du Rape& Revenge, sous-genre complaisant s’il en est, mais le film de Jennifer Kent ne peut être réduit à cette caractéristique restrictive et peu valorisante, car ce n’est pas que la vengeance d’une femme à l’encontre de ses agresseurs qui est traitée ici : c’est aussi celle d’une prisonnière irlandaise déshumanisée par les soudards anglais qui peuplent une Australie coloniale où règne la barbarie la plus abominable, et celle d’un aborigène, témoin de l’extinction inéluctable de son peuple, qui ne peut leur opposer de prime abord qu’une révolte silencieuse et butée. Western historique éminemment australien mais qui ne réclame pas de trésors d’imagination pour se voir doté d’une portée universelle, ‘The nightingale’ a surtout le mérite de n’être jamais là où on l’attend, et de mettre perpétuellement le spectateur en terrain instable, quand bien même ce même spectateur parviendrait à supporter les quelques scènes à la cruauté insoutenable qui ont valu au film sa réputation sulfureuse . Rien que d’un point de vue technique, ‘The nightingale’ est filmé avec une volonté de réalisme cru, presque documentaire, qui renforce sa violence et rend ses scènes oniriques et pseudo-fantastiques presque déplacées...mais c’est dans son climat général que le film recèle ses paradoxes les plus déstabilisants. Pour ne citer que quelques exemples, la scène de viol n’a rien de graphique...mais n’en devient que plus dérangeante, au point de convoquer les souvenirs d’un film comme ‘Irréversible” qui, pourtant, en prenait l’exact contrepied. Loin de faire front contre un ennemi commun, les deux réprouvés, ancrés dans leurs préjugés ethniques, n’éprouvent que haine et mépris l’un envers l’autre. La première fois que Clare retourne la violence contre l’un de ses oppresseurs, situation à nouveau tout en paradoxes puisque l’intéressé est celui qui a commis l’acte le plus impardonnable et celui qu’on aurait pourtant instinctivement préservé de la vengeance en vertu des habitudes de ce genre de cinéma, la scène est filmée du point de vue de ce prédateur devenu victime, ce qui devrait avoir pour conséquence théorique de retourner l’empathie en faveur de celui qui va mourir, et pour tour de passe-passe pratique de ne (consciemment) pas y parvenir. Enfin, lorsque l’instant du dénouement tant espéré arrive, il ne se déroule pas exactement comme on l’avait prévu : c’est une déception...et en même temps un soulagement, même si c’est difficile à expliquer. Sans doute ‘The nightingale’ est-il parvenu à amener son public à un point de saturation tel qu’il ressent instinctivement que rien ne peut être plus cruel que ce à quoi il a déjà assisté et dès lors, que rien ne peut plus être libérateur et cathartique...et il s’agit là d’une sensation unique, totalement contraire à “l’éthique” des films de ce genre, et qui pourtant ne suscite pas le moindre regret.. Bien sûr, au jugé, il subsiste quelques maladresses de (presque) débutante (Jennifer Kent a signé l’intéressant “Babadook’ voici quelques années), quelques longueurs, quelques éléments qu’on aurait imaginé bien différemment pour maximiser l’impact du film...et pourtant, par son âpreté absolue, sa synthèse contre-nature et pourtant brillante de nihilisme et d’espérance et sa capacité à balloter le spectateur de malaise en malaise encore plus grand, sans jamais lui laisser reprendre pied, ‘The nightingale’, plus que beaucoup d’autres, aurait tellement mérité de trouver le chemin des salles où il aurait pu, j’en suis sûr, donner la pleine mesure de son impact.
    Spider cineman
    Spider cineman

    118 abonnés 1 829 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2021
    Ne pas se fier à l affiche, ce n est pas un film de guerre avec des batailles. C est l histoire d opprimés en Australie, des immigrés forces et populations locales sous le joug anglais. Une illustration de la colonisation. Assez dur, qui se veut restituer la fidèlement les conditions, le scénario reste assez simpliste, comme les personnages sans nuances et caricaturaux. Ça se laisse regarder grace a ce souci de réalisme, néanmoins le rythme reste lent et cela Se clôt par une fin sans surprise.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 août 2021
    Pourquoi c'est ce que je me demandais à la fin de The Nightingale. Vous avez été violée sous les yeux de votre mari votre bébé a été tué sous vos yeux et vous êtes laissée pour morte. Vous vous lancez dans une longue et périlleuse quête pour trouver l'homme qui a fait ça et quand vous le rattrapez enfin vous vous dégonflez. J'ai compris cet homme vous a fait peur il vous a contrôlé il vous a tout pris donc la peur peut vous consumer. Mais quand vous le rencontrez à nouveau tout ce que vous pouvez faire est de rassembler la rage et le courage de le blesser. La fin a ruiné cette histoire qui avait commencé avec tant de promesses. Bien sûr notre héroïne que nous avons suivie pendant tout ce temps a eu sa revanche mais par la main de son compagnon. Sérieusement cela aurait pu être un bon 5 étoiles mais ne faisons pas en sorte que l'héroïne soit faible et fragile à la fin et que l'homme prenne la vedette. Je ne suis pas anti-homme je suis un homme mais j'aime aussi un bon personnage féminin. Ce n'était pas ce que j'attendais donc c'est un film très décevant...
    Chris01600
    Chris01600

    6 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2021
    Dans les catégories vengeance ce film est très violent voir insupportable par moment en fait de nombreux films sont plus durs mais la ténacité de cette femme est pathétique .
    j’ai trouvé ce film très esthétique bien filmé images très belles et surtout une excellente prestation d’acteurs que je ne connaissais absolument pas Accrochez-vous ce film est long très long surtout que la chute on l’a deviné depuis le début .
    je reste un peu sur ma faim concernant ce film
    Ludovic E
    Ludovic E

    11 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mai 2021
    Bonjour :)
    Afr je voulais tellement le voir, j'avais adoré Mister Ba... que dire…pour moi il n'est pas réussi :( c'est une histoire que l'on connait (vu et revue) mais qui manque ici énormément de force, rien n'est apporté à ce genre d'histoire de vengeance et c'est mme donc très faiblard. Le méchant est bien trop méchant sans pour autant être si méchant, je veux dire par là que le personnage est une coquille vide, ses actes sont affreux, mais lui n'est pas assez sombre, ni psycho... c'est le défauts de tous les personnages, ils manquent de profondeur. Le début traine beaucoup trop en longueur et malheureusement rien n'est transcendant. On ne connait pas Billie, rien n'est magique, on apprends rien en profondeur sur lui et sur son monde (il parle de lui mais un film ce n'est pas du blabla mais des images) Claire idem ...je suis triste pour le metteur en scène que j'avais beaucoup qu'apprécié ds son 1er film, son prochain sera surement à la hauteur du 1er. Je n'ai pas plus à dire car malheureusement l n'y a pas plus ... Prenez soin de vous.
    stephane cormary
    stephane cormary

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2021
    Beaucoup de bon sentiment, certes, dans la mouvance d'un nouveau cinéma horrifique à portée sociale, mais que de longueur. Des scènes qui n'apporte rien ou si peu, entre l'ouverture plutôt violente et radicale, et la conclusion assez belle, ça flotte un peu et le récit s'enlise dans une problématique "qui est capable de tuer qui", entre atermoiements et meurtres gratuits, on dévisse un peu. Le scénario pêche a mi-film. C'est dommage
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