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    The Nightingale
    Note moyenne
    3,6
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    64 critiques spectateurs

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    Le pirate 70
    Le pirate 70

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2024
    Histoire banale, l actrice et le principal méchant ne jouent pas trop mal... Les autres on dirait des acteurs de serie b.... En gros un telefilm bas de game et le doublage français catastrophe... Je ne comprends pas les 3,6 de moyenne... Ca mérite 2 en etant de bonne humeur... Déçu
    ianb
    ianb

    32 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2024
    Mon film de ce soir, The Nightingale avec la très belle Aisling Franciosi, découverte dans le film Le Dernier Voyage Du Déméter.
    Format étonnant, 4/3, rappelant les vieux films séries ou plus récemment le format IMAX TV.
    Un Revange-movie assez trash, qui est basé sur des faits historiques que je m'en vais découvrir
    après visionnage, je recommande, seule la VF est assez médiocre, et l'actrice et son jeu m'ont motivé à suivre sa futur filmographie
    Ti Nou
    Ti Nou

    422 abonnés 3 387 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2023
    Après l’excellent "Mister Babadook", Jennifer Kent délaisse le genre horrifique pour le drame historique. Une quête vengeresse en pleine colonisation de l’Australie. Et c’est tout aussi maîtrisé et intelligent.
    Yann IVON
    Yann IVON

    7 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    Ce rape and revenge est décevant.
    Les dialogues sont ternes, les acteurs pas convaincant et les scènes de violence sont là pour choquer jusqu'à l'écœurement...
    Le contexte historique aurait pu donner lieu à un film intéressant mais la réalisation n'est pas à la hauteur . Tout cela se rapproche même parfois de l'amateurisme ; c'est long avec des scènes qui frisent le grotesques.
    Bref, on n'y crois pas ...
    Alasky
    Alasky

    294 abonnés 3 092 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2022
    Un bon film qui fait penser au style western, ici façon "rape and revenge". Une histoire relatée avec brio, sur fond de colonisation britannique en Australie, on assiste à l'épopée sombre et violente de cette jeune vengeresse prête à tout pour retrouver ses bourreaux. L'ambiance brumeuse et hostile m'a plu et fascinée. Certaines scènes choc remuent et le casting est juste, irréprochable.
    Nicow L.
    Nicow L.

    5 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 février 2022
    c'est long, c'est chiant, les plans statiques sur les personnages sont d'une genance extrême, rien ne va

    ne perdez pas 2h de votre temps devant ce "film"
    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2022
    Un très bon film. Une histoire forte et triste sur l'indépendance de l'Australie vécue par une irlandaise.
    Robinsnake37
    Robinsnake37

    1 abonné 131 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 janvier 2022
    Un pur film de vengeance dans la campagne australienne pendant la colonisation par les Britanniques qui va plaire à tous les fans de cinéma de genre et de films historiques.

    Jennifer Kent nous sert sur un plateau d'argent un long métrage de plus de 2 heures, dans un format 4/3 qui n'a malheureusement eu droit qu'a une sortie DVD et VOD alors que ce film aurait clairement eu sa place dans les salles obscures.
    Un scénario plus que parfait, des jeux d'acteurs crédibles au possible et une réalisation nickelle.
    On ne présente plus Sam Claffin qui joue un méchant vraiment très méchant avide de pouvoir et qui se croit supérieur à tout le monde. Damon Herriman se révèle dans le rôle du sergent qui est aussi une belle pourriture.
    Mais on retiendra surtout les performances d'Aisling Franciosi en jeune femme plus que déterminée à faire payer le lieutenant (Sam Claffin) pour sa cruauté et avec elle, Baykali Ganambarr qui nous offre certainement le meilleur jeu d'acteur de tout le film dans le rôle de Billy, le guide aborigène qui défend son peuple;

    Certaines scènes sont vraiment marquantes (les scènes de viols et les scènes de racisme en particulier) et on ne ressort pas indemne de ce film dont on se souviendra longtemps.

    On peut juste reprocher un rythme assez lent et plat pendant quasiment tout le film mais on apprécie quand on voit du sang qui gicle car cela nous replonge direct dans l'action si on a piqué du nez.

    Et des décors de forêts australiennes sublimes au possible.
    Vraiment, allez voir ce film, c'est un petit bijou du cinéma australien.
    Samuel Doux
    Samuel Doux

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Film presque invisible et pourtant un film important, radical. Deux êtres maltraités, soumis, exploités, une femme et aborigène, vont prendre les armes pour se révolter contre leur condition. Plus que se révolter, se venger, mais la violence qu'on retourne contre les bourreaux nous fait-elle devenir ce contre quoi on lutte ? Le film interroge une étrange intersectionnalité des luttes en plein Australie de la fin du 19e, définitivement un des films de l'année 2021.
    Redzing
    Redzing

    954 abonnés 4 314 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2021
    Dans une Australie sauvage et reculée, en proie à la guerre civile, notre protagoniste voit sa famille se faire massacrer par un groupe de brutes, et se lance dans une vengeance. Non, vous ne lisez pas le pitch de « Mad Max » ! Il s‘agit de « The Nightingale », qui se déroule en Australie coloniale (ou plus exactement en Tasmanie) et où l’héroïne, en prime allègrement violée, pourchasse ses agresseurs, qui ne sont autres que des soldats britanniques. Le film est moins un rape & revenge qu’une vision très noire de la période coloniale, dépeinte comme vraiment pas glorieuse. Entre une population blanche majoritairement composée de condamnés, les opportunistes qui les exploitent sans vergogne, les soldats britanniques qui semblent être la lie du corps militaire, et les Aborigènes en cours d’extermination ou d’assimilation, personne n’en sort grandi ! Jennifer Kent pointe la barbarie de cette époque en insistant sur la violence et le peu de moralité de ses personnages. A ce niveau, on peut saluer l’intention, tout à fait légitime. Mais l’exécution en fait souvent trop. Une violence parfois à la limite de la complaisance. Et surtout des méchants tout de même très excessifs, à un point que l’on ne peut plus vraiment comprendre leurs motivations, et qu’ils deviennent des figures trop abstraites. spoiler: On a compris que l’officier et le sergent pensent avec leurs gonades plus que leurs grenades, qu’ils ne sont pas finauds, et souvent alcoolisés. Mais au bout du cinquième viol et du quatrième meurtre, est-il encore nécessaire d’aligner les méfaits pour que le spectateur comprenne que ce sont bien eux les méchants ?
    Néanmoins, la forme est intéressante. Aisling Franciosi est très impliquée en prisonnière irlandaise déterminée à se venger brutalement, qui va pourtant se rend compte qu’il n’est pas si facile de tuer quelqu’un et de vivre avec. Et la mise en scène est intéressante, exploitant les décors naturels, et optant pour un surprenant format en simili 4/3. Une manière de se focaliser sur les acteurs et leurs actes, souvent en gros plan, plutôt que sur un tableau général. Peut-être aussi une manière d’évoquer les débuts du cinéma, renvoyant aux instincts primitifs de certains personnages ? On reprochera cependant une durée un poil trop longue. A l’arrivée, « The Nightingale » est une variation historique intéressante du rape & revenge, mais sa violence fait qu’il n’est pas à mettre entre toutes les mains.
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    55 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    Ce film, de Jennifer Kent, date de 2018, mais malheureusement n'est jamais sorti en France, malgré son Lion d'or gagné à Venise.

    Sur le papier, le film a tout d'un "Rape and revenge", mais on en est loin, et on a affaire à une œuvre dense, riche et profonde.
    On est même très loin du gore débile qui colle souvent au genre. On a ici affaire à un film historique, mais avant tout à un grand drame psychologique, qui lorgne vers le road movie et le western.
    Mais autant vous prévenir tout de suite, même si le film ne cherche pas à impressionner par de la violence graphique ou du voyeurisme (les scènes de viol ayant lieues en costume, c’est à peine si l’on voit une épaule dénudée), il reste extrêmement choquant par son réalisme et arrive à être traumatisant dans ce qu’il ne montre pas.

    Le film est d’une froideur bluffante. Sa photographie terne, couplée avec une image au format 4/3, intensifie le côté oppressant. On notera d’ailleurs l’absence de musique qui pousse un peu plus le réalisme de l’ensemble.

    Le film prend place au début du dix-neuvième siècle, et abordera le colonialisme australien et le racisme, en en faisant bien plus qu’un prétexte pour placer son histoire. Notre héroïne, esclave partie en chasse de ses bourreaux, fera appel à un aborigène pour lui servir de guide dans la forêt tasmanienne. La relation entre ces deux personnages qui vont apprendre à se connaitre fait merveille et est au centre du film. Elle y sera même pour beaucoup dans sa réussite.

    Mais bien sûr le thème principal du film sera le deuil, admirablement traité à travers toutes ses phases, la colère, la culpabilité, la tristesse, le désir de vengeance… Le film ne fait jamais l’erreur de faire de son personnage une femme badass qui dézingue à tout va. Au contraire, ses réactions restent souvent humaines, on y croit et ça aide énormément à l’empathie qu’on ressent pour elle. Tout cela aidé par une interprétation de haut vol de l’actrice qui nous fait ressentir ses émotions.

    Au final le film ressemble bien plus à un Impitoyable ou un Délivrance qu’à un I spit on your grave. Bref, même si il ne plaira pas à tout le monde, je vous invite à découvrir ce film intense, tout en sachant que l’expérience sera extrêmement éprouvante.

    https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 667 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    D'une extrême violence, le film ouvre l'histoire sur un viol collectif sous le regard d'un mari impuissant et d'un bébé à l'agonie dans l'Australie du 19eme siècle. Une fois passée cette scène d'horreur, on est dans le style road trip revenge à travers une Australie sauvage et austère. Une rencontre avec un aborigène qui souffre des blancs comme l'héroïne souffre des hommes. Une belle rencontre de personnage donc et un film d'aventure et historique qui se regarde avec beaucoup de plaisir finalement.
    Bryce
    Bryce

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 septembre 2021
    Moche, cheap, long, ennuyeux et mal interprété. Tout y est pour bien perdre son temps. Au secours...
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2021
    Je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre avec ‘The nightingale’, film tour à tour hué et encensé dans les festivals où il fut projeté, ensuite malheureusement passé à la trappe pour cause de crise sanitaire. Son schéma primitif rejoint celui du Rape& Revenge, sous-genre complaisant s’il en est, mais le film de Jennifer Kent ne peut être réduit à cette caractéristique restrictive et peu valorisante, car ce n’est pas que la vengeance d’une femme à l’encontre de ses agresseurs qui est traitée ici : c’est aussi celle d’une prisonnière irlandaise déshumanisée par les soudards anglais qui peuplent une Australie coloniale où règne la barbarie la plus abominable, et celle d’un aborigène, témoin de l’extinction inéluctable de son peuple, qui ne peut leur opposer de prime abord qu’une révolte silencieuse et butée. Western historique éminemment australien mais qui ne réclame pas de trésors d’imagination pour se voir doté d’une portée universelle, ‘The nightingale’ a surtout le mérite de n’être jamais là où on l’attend, et de mettre perpétuellement le spectateur en terrain instable, quand bien même ce même spectateur parviendrait à supporter les quelques scènes à la cruauté insoutenable qui ont valu au film sa réputation sulfureuse . Rien que d’un point de vue technique, ‘The nightingale’ est filmé avec une volonté de réalisme cru, presque documentaire, qui renforce sa violence et rend ses scènes oniriques et pseudo-fantastiques presque déplacées...mais c’est dans son climat général que le film recèle ses paradoxes les plus déstabilisants. Pour ne citer que quelques exemples, la scène de viol n’a rien de graphique...mais n’en devient que plus dérangeante, au point de convoquer les souvenirs d’un film comme ‘Irréversible” qui, pourtant, en prenait l’exact contrepied. Loin de faire front contre un ennemi commun, les deux réprouvés, ancrés dans leurs préjugés ethniques, n’éprouvent que haine et mépris l’un envers l’autre. La première fois que Clare retourne la violence contre l’un de ses oppresseurs, situation à nouveau tout en paradoxes puisque l’intéressé est celui qui a commis l’acte le plus impardonnable et celui qu’on aurait pourtant instinctivement préservé de la vengeance en vertu des habitudes de ce genre de cinéma, la scène est filmée du point de vue de ce prédateur devenu victime, ce qui devrait avoir pour conséquence théorique de retourner l’empathie en faveur de celui qui va mourir, et pour tour de passe-passe pratique de ne (consciemment) pas y parvenir. Enfin, lorsque l’instant du dénouement tant espéré arrive, il ne se déroule pas exactement comme on l’avait prévu : c’est une déception...et en même temps un soulagement, même si c’est difficile à expliquer. Sans doute ‘The nightingale’ est-il parvenu à amener son public à un point de saturation tel qu’il ressent instinctivement que rien ne peut être plus cruel que ce à quoi il a déjà assisté et dès lors, que rien ne peut plus être libérateur et cathartique...et il s’agit là d’une sensation unique, totalement contraire à “l’éthique” des films de ce genre, et qui pourtant ne suscite pas le moindre regret.. Bien sûr, au jugé, il subsiste quelques maladresses de (presque) débutante (Jennifer Kent a signé l’intéressant “Babadook’ voici quelques années), quelques longueurs, quelques éléments qu’on aurait imaginé bien différemment pour maximiser l’impact du film...et pourtant, par son âpreté absolue, sa synthèse contre-nature et pourtant brillante de nihilisme et d’espérance et sa capacité à balloter le spectateur de malaise en malaise encore plus grand, sans jamais lui laisser reprendre pied, ‘The nightingale’, plus que beaucoup d’autres, aurait tellement mérité de trouver le chemin des salles où il aurait pu, j’en suis sûr, donner la pleine mesure de son impact.
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2021
    Croisade vengeresse d’une femme meurtrie dans une Tasmanie soumise alors au colonialisme barbare des Anglais. Attention, Jennifer Kent ne ménage pas le spectateur et veut clairement marquer les esprits. L’intensité et l’âpreté du film est ainsi accrue par le réalisme immersif de sa mise en scène et bien que sa caméra évite d’en montrer trop, la dureté et la cruauté de certains scènes (viols, infanticides, meurtres) peuvent choqués. Et même si on adhère à ce choix pour le moins radical, « The Nightingale » ne convainc pas totalement, victime de sa prévisibilité et de ses longueurs, ceci malgré la forte impression laissée par Aisling Franciosi, Sam Claflin et Baykali Ganambarr dans le rôle du guide aborigène.
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